Le FIFM est à la fois un rendez-vous de stars – pour son 10e anniversaire, du 3 au 11 décembre, il en a réuni une incroyable pléiade avec laquelle seul le Festival de Cannes est sans doute capable de rivaliser –, une compétition cinématographique internationale de très bonne tenue et un instrument efficace de promotion au Maroc du cinéma sous toutes ses formes.
Après un premier accord datant de 2007, le contrat vient d’être officialisé. Pour un montant de 400 millions d’euros la société française Alstom va fournir au Maroc 14 rames de TGV.
Le Prix Nobel de la paix est remis aujourd’hui à l’opposant chinois emprisonné Liu Xiaobo, en son absence. Sur les six pays africains invités à la cérémonie, seul un, l’Afrique du Sud, a répondu favorablement.
Décideurs politiques, hauts fonctionnaires, patrons, avocats, journalistes, hommes de culture… Ils incarnent la passerelle entre les deux rives de la Méditerranée. Une histoire d’amitié, de rivalités, de business et de petits secrets.
Le Maroc et sa monarchie restent une exception dans le jeu diplomatique français. La richesse de l’axe Paris-Rabat est protéiforme : économique, diplomatique, bien sûr, mais aussi humaine, culturelle et presque familiale.
Depuis dix ans, le Maroc se bat pour attirer toujours plus de stars. Et pour offrir une sélection de films en lice pour l’Étoile d’or dignes des plus grands festivals. Une ambition qui reste à confirmer.
Le général guinéen Sékouba Konaté, toujours officiellement président de la Guinée, a été chargé de mettre en place la future « Force africaine en attente », et de superviser la planification des opérations de paix de l’Union africaine.
Une série de télégrammes diplomatiques américains, publiés par WikiLeaks samedi, détaille les discussions menées, à quatre, entre le président burkinabé Blaise Compaoré, les États-Unis, la France et le Maroc sur le sort du président guinéen déchu Moussa Dadis Camara, entre fin 2009 et début 2010. Récit.
Moins de six mois après son arrivée au CS Sfaxien (D1 tunisienne), l’entraîneur français Pierre Lechantre a trouvé un accord amiable avec les dirigeants du club pour mettre un terme à son contrat. Une décision annoncée le dimanche 5 décembre, au lendemain de la défaite en finale retour de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) face au Fath Rabat (2-3).
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR) à Genève a confirmé samedi la libération par le Front Polisario d’un ancien responsable sahraoui, accusé d’espionnage au profit du Maroc.
« La France n’a jamais vraiment accepté l’indépendance algérienne » et tente de régler ses comptes avec l’Algérie « en appuyant le Maroc », estimait en 2007 le président algérien Abdelaziz Bouteflika, selon des mémos diplomatiques américains diffusés par WikiLeaks.
Les rapports tumultueux entre l’Espagne et le Maroc viennent de connaître un nouveau coup de froid, toujours à cause du démantèlement du camp de Gdeim Izik. Rabat demande désormais une « réévaluation globale des relations » entre les deux pays.
Les résultats provisoires de l’élection présidentielle en Guinée ont été confirmés. Cellou Dalein Diallo a accepté la décision de la Cour suprême attribuant à Alpha Condé, le président élu, 52,52 % des voix contre 47,48 % pour le candidat malheureux.
Créé en 1983, l’un des leaders marocains de la monétique, affiche une santé étincelante. Le moment idéal selon son dirigeant, Aziz Daddane, et ses actionnaires pour introduire 30 % du capital à la Bourse de Casablanca.
Le Belge Éric Gerets s’est installé pour la première fois sur le banc de touche marocain le 17 novembre dernier en Irlande du Nord (1-1). Le nouveau sélectionneur des Lions de l’Atlas, débauché d’Al-Hilal (Arabie Saoudite), suscite déjà beaucoup d’espoirs parmi les joueurs de l’équipe nationale de football, comme Youssouf Hadji.
Le marché de l’automobile affiche des résultats encourageants en Afrique du Nord, où les marques françaises, Renault en tête, restent les préférées des consommateurs.
De nouveaux câbles recueillis par WikiLeaks et publiés mardi, décrivent les premiers pas de Nicolas Sarkozy en tant que président avec ses partenaires du continent. Outre quelques « bourdes » protocolaires du président français, ils exposent les raisons pour lesquelles, selon Washington, Paris n’a pu mettre fin à la « Françafrique » comme il l’avait annoncé.
Malgré ses errements idéologiques, l’opposant historique de Hassan II, qui nous a quittés le 18 novembre, incarnait à l’époque une autre manière de faire de la politique, comme nous l’avions écrit, en 1974, dans un article dont nous vous proposons de larges extraits.
En signe d’apaisement, le Maroc a décidé d’approuver une commission d’enquête pour faire le jour sur les conditions du démantèlement du camp de Gdeim Izik, au Sahara occidental.