La nouvelle sortie du représentant permanent du Maroc à l’ONU face à l’ambassadeur algérien aux Nations unies montre que Rabat est désormais déterminé à utiliser la carte kabyle comme outil de contre-attaque dans le dossier du Sahara occidental.
Rapatriés in extremis, les étudiants maghrébins ne savent pas ce que l’avenir leur réserve. Transfert dans un pays étranger ou intégration aux universités locales, d’où viendra la délivrance ?
Alors que la Russie fait l’objet de sanctions internationales et que la Chine a donné un coup de frein à ses exportations d’engrais, le géant marocain du phosphate enchaîne les performances grâce à l’envolée des prix et prévoit d’augmenter sa production pour répondre à la demande.
Les hommes d’affaires russes, dont beaucoup sont liés au Kremlin, ont longtemps essayé de nouer des liens d’affaires au Maroc. Mais la plupart des accords n’ont jamais abouti, et la méfiance entre Rabat et Moscou est réciproque…
Ancien patron de Valyans Consulting, le ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des politiques publiques semble avoir toute la confiance du chef du gouvernement.
Comptant sur l’écosystème des start-up pour améliorer l’expérience client, optimiser les processus internes ou développer les services auxiliaires, la Royal Air Maroc amorce sa révolution 3.0.
Depuis de longues années, le royaume manifeste sa volonté d’être associé au contrôle des mosquées et de l’islam en Espagne. Ce qui ne va pas sans obstacles.
Le 11 mai, le Maroc organisait à Marrakech la 9e réunion de la Coalition internationale contre Daech. L’occasion pour le royaume de faire avancer son agenda sur le Sahara occidental et pour les États-Unis, coprésident du sommet, d’étendre leur influence sur le continent.
La tradition de cette prérogative royale remonte à l’époque des sultans alaouites. Parfois outil de régulation de la contestation politique, ce droit constitutionnel permet d’annuler ou de réduire la peine d’un condamné. Explications.
Dans un communiqué, les autorités néerlandaises ont qualifié le plan d’autonomie marocain sur le Sahara occidental de « contribution sérieuse et crédible ».
Les confréries soufies ont souvent été présentées comme des alliées du Protectorat français (1912-1956). Mais la réalité est plus complexe et nuancée. Récit.
Figure du PAM, ce quadragénaire s’est imposé comme l’une des têtes d’affiche du gouvernement Akhannouch. Itinéraire d’un jeune prodige de la politique.
En avril, les universités de Martil, d’Oujda et d’Agadir ont été le théâtre d’une série d’affrontements entre factions étudiantes rivales. Des incidents qui, sans être aussi sanglants qu’au début des années 2000, inquiètent les autorités.
Depuis 2007, les deux royaumes ont figé leurs négociations concernant la délimitation de leurs eaux territoriales respectives sur la façade atlantique. Un dossier particulièrement sensible qui devrait bientôt être rouvert.
Son goût du mystère n’a d’égal que sa soif de développement. À 91 ans, le patriarche de la banque marocaine n’envisage pas du tout de prendre sa retraite, mais la question de sa succession revient avec insistance.
L’accord social signé par le gouvernement, la CGEM et les syndicats vient en réponse aux importantes revendications des travailleurs marocains, dont le pouvoir d’achat est mis à mal par plusieurs mois d’inflation.
Le temps d’un week-end, à Madagh, au cœur de la zaouïa Qadiriya Boutchichiya, Jeune Afrique a rencontré Sidi Jamal, le grand maître de cette confrérie soufie dont l’influence dépasse les frontières du royaume.
Au royaume, face à la cherté de l’essence et du gasoil, nombreux sont ceux qui soupçonnent les distributeurs de réaliser des « marges immorales » ou d’entente sur les prix. Ahmed Rahhou, président du Conseil de la concurrence, a décidé de rouvrir l’enquête sur un dossier explosif.
Perspectives prometteuses, incitations fiscales attractives, avalanche de permis de prospection… Caressant toujours l’ambition de devenir une puissance pétrolière, le royaume met les bouchées doubles pour développer l’exploration de l’or noir.
Si le déploiement de l’armée israélienne sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem a provoqué la colère des États arabes, les deux voisins du Maghreb ont surtout trouvé dans ces événements de quoi nourrir leur antagonisme.
L’homme fort des Émirats arabes unis et prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, a passé une partie de son adolescence au Maroc. Condisciple du futur roi Mohammed VI, il a aussi été… serveur dans un restaurant de Rabat.
Le renchérissement des matières énergétiques plombe le bilan de l’Office nationale de l’électricité et de l’eau potable (Onee). Un déficit de plus de 2 milliards d’euros est envisagé. Éclairage.
Au cœur de la relance économique, l’ancienne directrice marketing a de grandes ambitions pour son ministère, qui couvre le tourisme, l’artisanat, mais aussi l’économie sociale et solidaire. Rencontre avec l’une des pièces maîtresses du gouvernement Akhannouch.
Spécialiste de l’industrie sucrière, le Marocain Hassan Mounir a été promu à la tête de Cosumar. Deux ans après la crise du Covid-19, et quelques mois après avoir amorcé sa diversification à l’international, le leader chérifien entame une nouvelle période riche pleine de défis.
« Gangs of Maghreb » (1/3). En un claquement de doigts, Ridouan Taghi est passé du rang de petit dealer à celui de parrain de la Mocro Maffia, une organisation criminelle aux ramifications rifaines qui terrorise le Benelux et sévit dans l’ensemble de l’Europe.
Dans cette circonscription, l’incertitude qui plane sur le sort du député sortant M’jid El Guerrab dont le procès a eu lieu le 7 avril, a aiguisé l’appétit de nouveaux prétendants.
Même si le Maroc est qualifié pour la Coupe du Monde, le sélectionneur Vahid Halilhodzic n’est pas certain de rester à son poste. À en croire les propos de Fouzi Lekjâa, le président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF).