L’annonce du président Trump de la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental a déjà fait couler beaucoup d’encre. Mais des incertitudes demeurent sur les contours de cet accord.
Cette reconnaissance du Sahara marocain est une victoire pour la diplomatie du royaume chérifien. Elle s’est accompagnée, selon le président américain, de la signature d’un accord de normalisation complète des relations du Maroc avec Israël. Un évènement que Trump présente comme « historique ».
Venu à Douala révéler la nouvelle identité visuelle de la Bicec, rachetée en 2019 au français BPCE, le directeur général de BCP se dit prêt à étudier « toute nouvelle opportunité » qui se présenterait.
Le Garde des Sceaux français Eric Dupond-Moretti a signé avec son homologue marocain un accord portant sur « la protection des mineurs non accompagnés ». Mais c’est aussi la relation franco-marocaine qu’il est venu raviver.
Le musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain accueille une exposition dédiée au peintre Fouad Bellamine. Mais trois tableaux de l’artiste, offerts par Hassan II au Parlement, restent introuvables.
Le royaume espère lancer sa campagne de vaccination contre le Covid-19 avant la fin de l’année. Et projette, à terme, de devenir un hub régional de fabrication et de distribution de vaccins.
Décédé ce 28 novembre à 83 ans des suites du Covid-19, le patron de presse a largement contribué à la modernisation du paysage médiatique au Maroc à la fin des années 1990.
Chacun à sa façon, le souverain chérifien et les présidents béninois et rwandais incarnent en Afrique une forme de leadership reconnue. Analyse de ces trois cas d’école.
Dans un ouvrage consacré à la gouvernance, les deux politologues reviennent sur une singularité du royaume chérifien : la coexistence de l’État-nation et d’une logique impériale.
Accuser le Maroc d’avoir rompu le cessez-le-feu, alors que ce dernier était de facto violé par les indépendantistes saharaouis depuis leur implantation illégale à Guerguerat, revient à confondre le pompier avec le pyromane.
Ce poste frontalier stratégique avec la Mauritanie a été au cœur d’une crise qui a poussé le Polisario à rompre les accords de cessez-le-feu au Sahara. Road trip jusqu’à la pointe sud du royaume.
En attendant la campagne de vaccination qui démarrera en décembre, la deuxième vague de la pandémie continue d’enfler, avec une explosion des cas positifs et des décès.
Malgré un budget d’investissement ambitieux et une économie diversifiée, la relance de la croissance marocaine sera aussi dépendante de la météo et de la santé financière de ses partenaires.
Figure incontournable de la vie politique du royaume pré et post-indépendance, le fondateur du Mouvement populaire a rendu l’âme après une longue maladie.
Cette députée a épousé la cause d’associations qui militent pour la préservation de la daya de Dar Bouazza. Un espace naturel de la banlieue de Casablanca menacé par la spéculation immobilière.
Les forces armées royales ont installé un cordon de sécurité pour mettre un terme au blocage de la zone-tampon par une soixantaine de miliciens du Polisario.
Sous la houlette de son nouveau PDG, Azzedine El Mountassir Billah, le troisième opérateur marocain compte se lancer hors de ses frontières. Reste à trouver la bonne formule.
Les forces armées royales ont installé un cordon de sécurité pour mettre un terme au blocage de la zone-tampon par une soixantaine de miliciens du Polisario.
Alors que le Polisario cherche à s’installer dans la zone tampon séparant entre le Maroc et la Mauritanie, Rabat prend à témoin la communauté internationale. Sur le terrain, la crise prend une ampleur inédite.
Selon les instructions de Mohammed VI transmises le 9 novembre, la campagne de vaccination doit atteindre d’ici fin mars l’ensemble de la population âgée de plus de 18 ans.
Si certains récusent la divination et la magie au nom de leur religion, de plus en plus de leaders politiques y ont recours, pour attirer la baraka ou conjurer le mauvais œil.
Moulay Hafid Elalamy, Saâdeddine El Othmani… avec la pandémie, les leaders politiques comme les institutions ont fait du digital la clé de voûte de leur communication.
Alors que les impayés bondissent et que près de 10 000 entreprises sont menacées de faillite, le gouverneur de Bank al-Maghrib se penche sur la solvabilité des établissements de crédit.
La dernière résolution adoptée par le Conseil de sécurité est une copie quasi conforme de celle de l’année dernière. Pour autant, ce surplace dans les arcanes des Nations unies ne décourage pas la diplomatie chérifienne.
L’ouverture à venir d’un consulat émirati à Laâyoune marque un retour à la normale dans les relations entre les deux pays. Rabat espère voir d’autres États du Golfe suivre l’exemple d’Abou Dhabi.
Offres de médiation concurrentes au Mali et en Libye, lutte d’influence à l’Union africaine, le tout assorti de déclarations peu amènes… La joute diplomatique entre Rabat et Alger a repris de plus belle.
Sorties médiatiques, réunions régionales, recrutement de notables… Le premier secrétaire du parti socialiste est sur tous les fronts. Objectif : éviter une nouvelle Bérézina électorale.
La crise du Covid-19 force les banques à évaluer leurs risques de crédit sur une base très incertaine. Décryptage avec Ismail Douiri, DG délégué de Attijariwafa Bank.