Budget de l’État, aides au secteur privé, mais aussi Zlecaf et normalisation avec Israël : à l’occasion du premier anniversaire de son élection à la tête du patronat marocain, Chakib Alj se confie à Jeune Afrique.
En 2011, le parti de la Lampe prônait le changement. Après deux législatures, soit une décennie au pouvoir, les « islamistes » se sont surtout beaucoup policés. Un pragmatisme à toute épreuve, qui pourrait bien leur coûter des voix.
Après avoir scellé des alliances avec le RNI et le MP, le Front de l’action politique amazighe rompt avec la politique de la chaise vide et entend imposer sa cause dans la campagne électorale à venir.
Si la pandémie de Covid-19 a mis au jour les faiblesses du royaume, notamment la vaste part de l’informel dans son économie, elle a aussi révélé sa réactivité.
Affichant clairement ses ambitions pour déloger les islamistes du gouvernement, le parti des Indépendants se prépare de manière studieuse aux prochaines échéances électorales, prévues en septembre.
Réalisé en 2012, l’ovni cinématographique « Jajouka, quelque chose de bon vient vers toi » des frères Hurtado vient de sortir en DVD. Une nouvelle manière de se laisser envoûter par le rock psychédélique du groupe qui fascine des artistes du monde entier.
Pour espérer une paix durable avec ses voisins arabes, Israël ne peut plus se contenter d’une diplomatie tactique, mais doit se pencher sur les problèmes de fond, selon l’ex-ambassadeur marocain Ahmed Faouzi.
Accusé de concurrence déloyale par le champion local Mosaic, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab est engagé dans une bataille inédite pour le stratégique marché nord-américain.
Ancien ambassadeur d’Israël à Paris et à l’ONU, ce diplomate natif de Bejaâd au Maroc, incarne la relation particulière qui lie le royaume à la communauté juive.
L’autorisation du vaccin suédo-britannique développé par AstraZeneca et l’université d’Oxford présage du lancement imminent de la campagne de vaccination contre le Covid-19.
L’appel à suspendre la distribution des dividendes émis par le wali de la Banque centrale Abdellatif Jouahri a été ignoré par les établissements bancaires, trop soucieux de satisfaire leurs actionnaires.
Immigration clandestine, terrorisme, trafic de drogue… À la croisée des routes maritimes majeures Est-Ouest et Nord-Sud, doit faire face à des défis sécuritaires d’ampleur majeure.
Si Le Caire fait figure de pilote pour le projet d’expansion du concept d’appartements avec services hôteliers de Radisson, d’autres villes devraient suivre rapidement.
Si le bilan de la place marocaine n’est pas aussi sombre que d’aucuns auraient pu le craindre, Casa le doit à une poignée d’entreprises qui ont tiré vers le haut l’ensemble de la cote.
Le constructeur français espère un coup de boost pour ses usines marocaines grâce à la remise au goût du jour de deux de ses anciens succès commerciaux et au renforcement de son intégration locale.
Lutte contre la criminalité, soutien social et sanitaire, gouvernance sécuritaire… La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) présente son bilan d’une année 2020 marquée par un contexte sanitaire exceptionnel.
La reprise des relations entre le royaume et l’État hébreu met le chef du gouvernement dans une situation délicate, où il est tiraillé entre les attentes de sa base électorale (PJD) et le respect des consignes royales.
Conscient de l’énorme potentiel du marché égyptien, le constructeur recommande au Caire, qui aspire à devenir le hub automobile de la région, de suivre le modèle de production locale de composants ainsi que le régime fiscal du royaume chérifien.
Le monarque a présidé la signature d’un accord historique tripartite entre le Maroc, Israël et les États-Unis. Objectif : concrétiser rapidement les annonces effectuées par le président Trump le 10 décembre.
Dix jours après la reconnaissance par le président Trump de la souveraineté marocaine sur le Sahara, une délégation américano-israélienne menée par son conseiller spécial Jared Kushner est arrivée au royaume à bord d’un avion de la compagnie El Al.
En liant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental par Donald Trump à la normalisation des liens du royaume avec Israël, Mohammed VI se prémunit contre toute annulation de cette décision par Joe Biden.
Le 15 décembre, c’est un pionnier du septième art marocain qui s’en est allé. Toute sa vie, Noureddine Saïl s’est battu pour développer l’industrie et la création cinématographique dans son pays et en Afrique.
Joachim Schuster a annoncé le 15 décembre sa décision de quitter la direction de l’intergroupe parlementaire « Paix pour le peuple sahraoui » du Parlement européen. En cause : la stratégie de confrontation choisie par le Polisario.
Au terme d’un long processus de certification, ce label américain garantit un encadrement de qualité et permet à ses membres de nouer des partenariats et des échanges internationaux.
Son poste a rarement été aussi exposé. Depuis sa nomination en octobre 2019, le ministre a eu à prendre des décisions difficiles du fait de la crise sanitaire.
L’annonce du président Trump de la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental a déjà fait couler beaucoup d’encre. Mais des incertitudes demeurent sur les contours de cet accord.