L’économie marocaine devrait connaître un léger ralentissement cette année et n’atteindre que les 2 % de croissance en raison des incertitudes extérieures, d’après Ludovic Subran, chef économiste et directeur de la recherche économique du groupe Allianz. Ce dernier n’hésite pas à se montrer critique à l’égard des banques marocaines notamment.
En signant, coup sur coup, deux contrats d’une durée de trois ans et d’un montant total de quelque 17,6 millions d’euros avec les constructeurs automobiles français Renault et PSA, Suez confirme sa position de leader dans le pays.
Réputé direct et audacieux, Abdellatif Ouahbi, le nouveau secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité pourrait réorienter la ligne de la formation marocaine, en crise depuis plusieurs mois. Portrait.
La première banque marocaine en Afrique, qui a passé le cap des 100 milliards de dirhams (9,2 milliards d’euros) de valorisation à la Bourse de Casablanca, a restructuré son état-major et repensé l’architecture interne en créant de nouvelles entités pour une nouvelle phase de croissance sur le continent. Décryptage.
Des organisations issues de la gauche marocaine parient sur un rapprochement entre partis, syndicats et associations. Un front pluriel dont l’objectif est de réduire le fossé entre les revendications sociales et les luttes politiques.
Quelques milliers de manifestants ont défilé dimanche dans les rues de la capitale économique pour dénoncer les inégalités sociales, demander la libération des « détenus politiques » et lancer un appel pour une « vraie démocratie ».
Comores, Gabon, Guinée, Côte d’Ivoire… Plusieurs Etats africains ont choisi d’ouvrir ces derniers mois des représentations consulaires à Laâyoune et Dakhla. Des décisions très politiques, aussitôt critiquées par les autorités algériennes.
Le conseil d’administration du troisième opérateur marocain a décidé de retirer la plainte qu’elle avait déposé en 2018 au tribunal de commerce de Rabat contre Maroc Telecom. Ce choix intervient après que le régulateur a sanctionné lourdement fin janvier ce dernier pour « abus de position dominante ».
Malgré la pression du FMI, qui voudrait voir la réforme du régime de change accélérer au Maroc, Mohamed Benchaâboun et Abdellatif Jouahri insistent sur la souveraineté du royaume et misent sur une bascule « progressive » vers le nouveau système.
Avant les événements de New York (mai) et Londres (octobre), la foire d’art contemporain africain créée par la Marocaine Touria El Glaoui fait escale pour la troisième année consécutive à Marrakech, le temps d’un week-end dans le très luxueux palace de La Mamounia.
Très exposé au risque de pénurie d’eau, le Maroc vient de lancer un programme alliant nouvelles infrastructures et mesures d’optimisation des ressources.
Dans ses récentes sorties, la fille du président américain ne tarit pas d’éloges sur le royaume, notamment au sujet de la réforme des terres collectives. Et tant mieux si ça peut servir au passage le « deal du siècle » promu par son époux, Jared Kushner…
Avec des revenus en hausse de 0,9 % en 2019, le groupe contrôlé par l’émirati Etisalat affiche une croissance réelle mais timide, tirée principalement par la consommation de data mobile.
Pendant que le chef du gouvernement Saadeddine El Othmani s’évertue à chanter les louanges des réformes entreprises par son gouvernement, le président de la Cour des comptes Driss Jettou n’a de cesse de souligner ses failles. Décryptage d’un duel entre deux très hauts commis de l’État marocain.
Après avoir conduit le plan Maroc Vert pendant plus d’une décennie, le ministre marocain de l’Agriculture a présenté une nouvelle feuille de route, plus axée sur l’humain.
Après les menaces de fermeture de Moulay Hafid Elalamy, les responsables de la chaîne de distribution discount turque BIM, répondent. Une bataille médiatique qui précède la révision de l’accord de libre-échange entre les deux pays.
Dans les tuyaux depuis 2017, le Takaful, produit d’assurance conforme aux préceptes de l’islam, tarde à voir le jour, malgré l’adoption de la loi y afférant et sa publication au Journal officiel, le 22 août 2019.
Le très ambitieux programme d’appui et de financement aux TPE et PME vient d’entrer en vigueur au Maroc et attire l’intérêt des porteurs de projet. Mais ces derniers ne savent pas toujours à quel interlocuteur s’adresser. Jeune Afrique a fait le point.
Tancé par le roi Mohammed VI dans un discours, en octobre 2019, le secteur financier lance un vaste programme consacré au soutien de l’entrepreneuriat. Le ministre de l’Économie et des Finances du royaume nous en explique la genèse, les contours et les objectifs.
Alors que le ministre du Commerce Moulay Hafid Elalamy est en plein pourparlers pour renégocier l’accord de libre-échange liant le royaume à la Turquie, le PJD entre en ligne pour se positionner en défenseur des intérêts d’Ankara. Explications.
Avec un budget de 6 milliards de dirhams sur trois ans, le fonds spécial « d’appui au financement de l’entrepreneuriat » permettra de garantir les emprunts des porteurs de projets.
Il y a un an, le groupe marocain affichait une bonne santé financière, un nombre record d’ouvertures de magasins et une volonté d’expansion en Afrique de l’Ouest. Depuis, le numéro deux de la grande distribution du royaume maintient le cap.
Au terme d’un congrès bouillonnant, le Parti authenticité et modernité (PAM) a enfin élu un nouveau secrétaire général : Abdellatif Ouahbi, figure de proue du courant de l’avenir.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dimanche à Rabat contre le plan du président américain Donald Trump pour résoudre le conflit israélo-palestinien, et ont appelé à boycotter les produits américains.
L’école de commerce casablancaise, qui a décroché le label AACSB – gage de prestige et d’excellence académique –, veut devenir une référence au sein des pays émergents.
Heetch, le leader du VTC au Maroc, a saisi le Conseil de la concurrence pour statuer sur la légalité des activités de Careem, à qui elle reproche d’exercer sans que ses chauffeurs n’aient d’agrément du ministère de l’Intérieur.