Créativité culturelle, innovation architecturale, développement de la qualité de vie et de l’attractivité économique… sont autant de leviers qui permettraient à la capitale économique du Maroc de rivaliser avec les plus grandes métropoles du monde.
Mis à l’épreuve durant cette pandémie, le système de santé public du royaume s’est dépassé pour offrir à tous un service de qualité. La démonstration que la réforme tant attendue de ce secteur est à portée de main.
Alors que la justice vient d’autoriser l’État marocain à disposer des capacités de stockage de la Samir, le feuilleton de la liquidation du raffineur national n’est toujours pas bouclé.
Des discussions sont engagées avec l’État et avec les salariés pour renflouer la compagnie aérienne, qui connaissait déjà des problèmes de trésorerie avant la crise du Covid-19.
Chercheur en immunologie originaire du Maroc, Moncef Slaoui s’est vu confier par le président américain Donald Trump la direction scientifique d’un ambitieux programme. Son objectif ? Trouver un vaccin contre le coronavirus.
Amir Peretz, Orly Levy, Aryé Deri, Miri Regev… Le gouvernement d’union présenté par Benyamin Netanyahou ce 17 mai compte pas moins de dix ministres originaires du Maroc.
En dépit d’un rating en recul de la part de l’agence américaine, le géant marocain des phosphates, qui maintient ses activités malgré le coronavirus, met en avant la résilience de son modèle et des perspectives de marché sur la pente ascendante.
Empêtré dans le scandale du projet de loi 22-20 sur les réseaux sociaux, le ministre de la Justice socialiste se fait très discret depuis quelques semaines. Soutenu tant bien que mal par son Chef de parti, Mohamed Ben Abdelkader parviendra-t-il à se relever ?
Après un chiffre d’affaires en baisse de 30 à 40 % pour les mois de mai et juin du fait de la crise liée au coronavirus, les centres d’appels marocains tablent sur un retour à la normale pour la fin de l’année. Le point avec Otmane Serraj, le président de l’Association marocaine de la relation client.
Des propos prêtés à un diplomate marocain dans une vidéo devenue virale a déclenché la colère du ministère des Affaires étrangères algérien. Une réaction qui n’a suscité aucune réaction officielle de Rabat pour le moment.
France, Allemagne, Suisse, Sénégal, Roumanie… Les masques produits par le Maroc pour se protéger du coronavirus seront bientôt exportés partout dans le monde. Une prouesse industrielle, doublée d’un sérieux atout diplomatique pour le royaume de Mohammed VI.
A une semaine de la fin du confinement, tout porte à croire que celui-ci sera prolongé jusqu’à la fin du Ramadan. Autoriser une libre circulation des personnes à la veille des célébrations de l’Aïd El Fitr, prévu le 24 mai, réduirait à néant tous les efforts déployés jusque-là par le royaume.
Saluant la capacité d’adaptation de l’économie marocaine à la crise du coronavirus, le patron de Casablanca Finance City appelle à imaginer des réponses collectives et innovantes.
Alors que la France s’apprête à sortir du confinement, avec un manque criant de masques de protection, la capacité du Maroc à en produire rapidement est encensée par les médias et les figures d’opposition de l’Hexagone.
Jugé « liberticide» et « taillé sur mesure au profit de certains lobbys économiques », le projet de loi sur l’utilisation des réseaux sociaux a provoqué une véritable levée de boucliers au Maroc. Surnommé « loi du masque-muselière », il est d’ores et déjà suspendu.
Dans leur rapport « Crise sanitaire Covid-19 : des lueurs d’espoir au bout du tunnel », les analystes d’Attijari Global Research se sont penchés sur les secteurs qui bénéficient ou vont bénéficier d’une nouvelle dynamique de croissance du fait de la crise.
Face à la crise inédite due au coronavirus, le ministre marocain de l’Économie et des Finances est en première ligne. Jeune Afrique l’a suivi – à bonne distance – le temps d’une journée, au cœur de la riposte socio-économique d’un royaume en quarantaine.
Mauvaise nouvelle pour le secteur bancaire marocain. L’agence de notation américaine a revu à la baisse les perspectives du secteur, qui passent de « stables » à « négatives », en répercussion de la crise économique liée au coronavirus.
Les craintes étaient de voir le coronavirus frapper les camps de réfugiés de Tindouf, en Algérie, où la vie est déjà précaire. Mais ce sont les conséquences économiques de la pandémie qui suscitent désormais l’inquiétude.
Au Maroc, si le secteur du tourisme est particulièrement touché par la crise sanitaire, Risma en est l’un des exemples. Après avoir investi pendant de nombreuses années dans la rénovation de ses établissements, dont le Sofitel de Marrakech, l’hôtelier devrait plonger un peu plus dans le rouge durablement.
En imposant des mesures restrictives dès le début du mois de mars et en communiquant très vite auprès de la population, le Maroc a su limiter la propagation du virus, estime le professeur Mohammed Amine Serghini, de l’Université Ibn Zohr d’Agadir.
Représentant 11 % du PIB et 5 % des emplois du pays, le secteur est à l’arrêt dans le royaume. Appelant à un soutien des pouvoirs publics pour passer la crise, les professionnels savent qu’ils vont devoir revoir leur offre pour se centrer sur la clientèle marocaine.
Le secteur de hébergement/restauration et les TPE sont frappés de plein fouet, annonce le Haut-commissariat au plan qui a dévoilé un rapport sur les conséquences immédiates de la crise sanitaire.
Les conséquences socioéconomiques et sanitaires de la pandémie de Covid-19 alimentent les échanges au Parlement comme au sein des partis politiques. Et le débat public pourrait courir jusqu’aux élections législatives de 2021.
Après plus d’un mois d’arrêt, les deux usines marocaines de Renault doivent reprendre progressivement leurs activités, tout en respectant un protocole sanitaire pour assurer la sécurité des employés.
En s’acquittant de l’amende de 3,3 milliards de dirhams infligée par le régulateur suite à une plainte du concurrent Inwi, Maroc Telecom confirme une accalmie dans un secteur marocain des télécoms jusqu’ici caractérisé par de vives tensions entre opérateurs.
Touristes étrangers toujours bloqués sur le sol marocain, binationaux qui voudraient regagner l’Europe, touristes marocains bloqués à l’étranger… Le rapatriement est géré au compte-gouttes par les autorités marocaines.