Sous contrat depuis peu avec Universal France, le rappeur casaoui Issam connaît un succès fulgurant avant même la sortie de son premier album, prévue début 2020.
Installé dans quatorze pays africains, le premier groupe bancaire marocain rêve d’expansion intercontinentale et se dote d’une nouvelle équipe de choc.
Si l’américain Uber a quitté le Maroc l’an passé, son rival français a su s’allier avec les chauffeurs locaux pour devenir leader du VTC dans la capitale économique marocaine.
Radisson Hotel Group vient d’inaugurer son premier hôtel à Casablanca, trois ans après celui de Marrakech. Nourrissant d’importantes ambitions au Maroc, le groupe espère ouvrir deux autres établissements dans un avenir proche.
L’action de la société immobilière est le titre le moins cher de la cote casablancaise. Une chute interminable qui démontre le manque de confiance dont souffre le groupe.
La situation financière de l’Office national de l’eau et de l’électricité (Onee) s’est fortement dégradée cette année. Les dirigeants espèrent la mise en place d’un nouveau contrat-programme. La scission de l’Office en trois entités est envisagée.
Le Maroc et le Royaume-Uni ont signé le 26 octobre un accord censé définir les relations entre les deux pays après le Brexit. Véritable succès diplomatique pour Rabat, ce nouvel accord devrait s’appliquer à l’ensemble du territoire marocain, Sahara inclus.
Patrimoine immatériel, goût du savoir, égalité des sexes… Pour l’économiste marocain, revenu de tous les dogmes en la matière, le progrès n’est pas qu’une affaire de chiffres et de courbes ascendantes.
Dans la compétition que se livrent les métropoles francophones africaines, Casablanca s’appuie sur les atouts du Maroc : une population importante, mais aussi des liens économiques forts avec les pays d’Afrique de l’Ouest.
Attendu depuis des mois, le nom du président de la commission chargée d’élaborer un nouveau modèle de développement a été dévoilé mardi 19 novembre : il s’agit de Chakib Benmoussa, reçu par le roi Mohammed VI. Sa mission : élaborer des solutions visant à ce que les politiques économiques et sociales soient efficaces et inclusives.
La nomination surprise de Mohamed Amekraz à la faveur du dernier remaniement procède d’une demande de Mohammed VI. Retour sur le parcours de ce jeune ministre du Travail, qui continuera à diriger la Jeunesse du PJD.
Malgré les 500 millions de dirhams investis par le royaume pour l’amélioration des urgences, ce service hospitalier souffre toujours du manque de moyens, d’équipements et de ressources. Au détriment des 6 millions de Marocains qui le fréquentent chaque année.
Quelques jours après la fuite sur les réseaux sociaux d’un enregistrement audio dans lequel le leader rifain réaffirme avoir été « tabassé » et « violé » par les forces de l’ordre lors de son arrestation, en juin 2017, le parquet se dit disposé à ouvrir une nouvelle enquête à condition que le militant du « Hirak » apporte « de nouvelles preuves ».
Le parti de l’opposition, pour qui le dernier remaniement ministériel n’a « aucune identité politique et qui met en péril la légitimité démocratique », appelle à de nouvelles réformes politiques et institutionnelles.
Le Marocain Ali Maychou, considéré comme le numéro deux et leader religieux du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), organisation jihadiste reliée à Al-Qaïda, a été tué par les forces françaises au Mali début octobre, a annoncé mardi la ministre française des Armées Florence Parly.
L’accord signé entre le manufacturier du Kansas et le groupe canadien doit permettre la poursuite des investissements sur le site de production. Une extension est prévue dans quelques mois avec 450 emplois supplémentaires à la clé.
Le leader du mouvement de contestation du « Hirak » qui a agité le nord du Maroc en 2016-2017, Nasser Zefzafi, a réaffirmé dans un enregistrement audio réalisé depuis sa prison avoir été victime de « torture » et de « viol » durant son arrestation.
L’USFP prépare la création d’une Fondation Abderrahmane Youssoufi. Le but : honorer l’œuvre de l’ancien Premier ministre de Hassan II et ex-premier secrétaire du parti.
Le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies a renouvelé mercredi 30 octobre pour un an sa Mission pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso).
La polémique qui a éclaté, début 2019, après la publication de photos montrant Amina Mae El Ainine sans son voile lors d’un séjour à Paris, a éclipsé le discours de cette députée à la fois indépendante et fidèle aux valeurs d’un mouvement islamiste qu’elle a rejoint dès l’adolescence. Entretien.
L’organisation patronale devrait élire son nouveau président le 22 janvier prochain. Dans l’attente des élections, Mohamed Bachiri a été choisi pour assurer l’intérim.
Élue lundi 28 octobre à la tête du conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, l’ex-journaliste Fatima El Hassani succède à Ilyas El Omari, son ancien mentor et chef de son parti, le PAM. Un lourd héritage qu’aucune autre formation politique n’a voulu assumer.
Le patron de presse a vu sa peine alourdie en appel par la justice marocaine, qui l’a finalement condamné à 15 ans de prison pour violences sexuelles. L’accusé dénonce un « procès politique ».
Le Parti du progrès et du socialisme (PPS), membre de tous les gouvernements depuis plus de vingt ans, a quitté l’équipe de Saadeddine El Othmani à la faveur du remaniement ministériel de début octobre. Comment peut-il se positionner pour continuer à exister ? Analyse.
Si la classe politique pointe du doigt des problèmes de gouvernance et de distribution, pour de nombreux analystes, le Maroc est confronté à un problème plus vaste, coincé entre le réchauffement climatique et des industries gourmandes en eau.
La romancière franco-marocaine Saphia Azzeddine répond à sa manière aux questions de Jeune Afrique, alors que la société française se déchire une fois de plus autour de la question du « voile ».
Abdellatif Jouahri, le gouverneur de Bank Al-Maghrib n’entend pas céder au FMI, qui souhaite voir le Maroc accélérer sa libéralisation du régime de change pour le dirham. Le royaume attendra encore avant d’engager une nouvelle étape de cette réforme.
Le leader marocain des télécommunications maintient sa croissance au Maroc comme sur le reste du continent. Mais si le parc d’abonnés fond en Mauritanie et au Mali, il s’élargit à vue d’œil en revanche au Niger et en Centrafrique.