Ils sont beaux, riches et ont la vie devant eux… Les enfants des capitaines d’industrie du royaume ne font pas que mener grand train. Ils sont déjà actifs dans ces immenses conglomérats qui leur appartiendront un jour.
Dans une circulaire, le ministère public a demandé aux autorités judiciaires de veiller au respect d’une loi offrant de nouveaux droits aux travailleurs domestiques, adoptée en octobre mais très peu appliquée.
Son dernier ouvrage, « Sahih Al Boukhari, fin d’une légende », avait fait polémique au Maroc et en Tunisie. Jeune Afrique a rencontré l’auteur Rachid Aylal à Marrakech.
Il n’avait que cinq ans quand son père, Moulay Hafid Elalamy (MHE), a créé le groupe Saham. Mais, à 28 ans, Moulay M’hamed endosse bien son costume de successeur. « Il a hérité du charme et du sens de la diplomatie de son père, mais aussi de cette capacité à rester bien entouré », nous confie un proche du groupe.
« J’ai travaillé toute ma vie, et il est temps pour moi de passer le relais à mes enfants », nous déclare Said Alj, fondateur du groupe Sanam, qui pèse aujourd’hui quelque 6 milliards de dirhams (550 millions d’euros) de chiffre d’affaires. Ce passage de témoin est mené progressivement depuis plusieurs années par le self-made-man.
Il y a quelques années, c’est le fils aîné de Lhaj Ahmed Jamai qui se positionnait comme futur dauphin. Ismail Jamai était devenu le visage médiatique de la famille, l’héritier à mettre en avant.
Malik Sefrioui a eu à peine le temps de finir ses études au Babson College, aux États-Unis, qu’il était nommé, en 2014, vice-président du groupe cimentier Ciments de l’Atlas-Ciments de l’Afrique, fondé en 2007 par son père, Anas, et qui totalise aujourd’hui une quinzaine d’unités au Maroc et sur l’ensemble du continent.
Kamal Benjelloun est loin d’être le genre d’homme à vouloir vivre dans l’ombre de son père. Jusqu’en 2005, ce diplômé en anthropologie est resté loin des affaires familiales, préférant s’engager en faveur de l’écologie et accorder des dons généreux à Greenpeace.
Fidèle à sa réputation de visionnaire, le créateur de grandes enseignes, comme Palmeraie ou Dolidol, a organisé sa succession. En 2014, Abdelali Berrada Sounni a créé un family office qu’il préside lui-même et dont ses deux fils, Hicham et Saad, sont vice-présidents. Chacun d’eux détient les rênes de l’une des structures du groupe tout en occupant la seconde position dans l’autre.
Un Suisse installé au Maroc a été arrêté samedi à Marrakech (centre) pour son lien présumé avec certains suspects dans le récent meurtre de deux jeunes randonneuses scandinaves dans le sud du Maroc, a annoncé le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ).
Au début de 2019, Leila Mechbal fêtera sa sixième année à la tête de la direction générale d’Air Arabia Maroc. Cette jeune dirigeante a lancé, en 2018, une douzaine de nouvelles lignes internes à des prix défiant toute concurrence pour, dit-elle, démocratiser les voyages par avion.
Adopté le 26 décembre par une centaine d’élus présents au Parlement sur les 395 représentants, le projet de loi relatif au service militaire traduit la timidité des débats autour de ce sujet.
Le principal groupe politique salafiste du royaume a condamné le meurtre des deux randonneuses scandinaves au pied du Mont Toubkal et a rediffusé ses principales revendications.
Alors que les délégations marocaine, algérienne et tunisienne demandent des réponses concrètes et plus de moyens pour faire face au dérèglement du climat, la COP24 s’est contentée de valider l’accord de Paris, entré en vigueur en novembre 2016.
La foule était présente en masse devant la Cour d’appel de Fès, mardi 25 décembre, pour l’ouverture du procès de la figure du PJD Abdelali Hamieddine, jugé une nouvelle fois pour le meurtre en 1993 d’un étudiant d’extrême gauche. Un énième rebondissement qui rappelle que la violence s’exerce largement sur les campus marocains depuis les années 1980.
Le porte-parole de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN, la police marocaine) est intervenu dimanche soir à la télévision pour livrer les derniers éléments de l’enquête ouverte après l’assassinat « terroriste » de deux touristes scandinaves, le week-end dernier dans les environs de Marrakech.
« Un anniversaire qu’on fête ressemble à un inventaire qu’on ouvre. » Le 30 juillet prochain – l’un des événements marocains majeurs de l’année 2019 –, le roi Mohammed VI célébrera ses vingt ans sur le trône, et nul doute qu’un bataillon d’exégètes du sultanat et d’hagiographes de la monarchie, mais aussi de cassandres de mauvais augure, s’emploiera à donner un contenu à la citation qui précède.
Abdelhak Bassou, ancien directeur central des renseignements généraux marocains, revient sur le double meurtre commis le week-end dernier dans la région de Marrakech, qualifié par les enquêteurs d’acte terroriste.
Neuf personnes ont été arrêtées jeudi et vendredi dans plusieurs villes du Maroc, en raison de leurs liens présumés avec le meurtre de deux jeunes randonneuses scandinaves dans le sud du royaume, a annoncé vendredi l’unité antiterroriste de la police marocaine.
Après avoir bondi dans le classement Doing Business, le gouvernement veut garder son élan, en concoctant une stratégie nationale pour l’amélioration du climat des affaires.
Les discussions sur le projet de loi concernant le service militaire ont commencé au Parlement. Selon le ministre délégué chargé de l’Administration de la Défense nationale, 10 000 conscrits seront appelés sous les drapeaux dès septembre 2019.
Le Maroc a vécu sans attentat majeur sept ans durant, alors que des attaques survenaient dans de nombreux pays alentour. Le royaume est choqué après la découverte d’un crime terroriste près de Marrakech, mais compte sur une solide armature de lutte contre le phénomène.
La piste terroriste est confirmée pour le meurtre des deux randonneuses scandinaves, survenu ce week-end dans la région de Marrakech. Les services de sécurité ont interpellé dans la Ville ocre les trois principaux suspects impliqués.
La nomination du nouveau médiateur du royaume, Mohamed Benalilou, jeudi 13 décembre, a donné un nouveau souffle à une institution chargée de promouvoir l’intermédiation entre les citoyens et l’administration. Zoom sur son fonctionnement.
L’assassinat de deux jeunes randonneuses scandinaves au pied du Mont Toubkal, dans le sud du Maroc, a ébranlé le village d’Imlil, inquiet d’une possible désaffection des touristes étrangers pour la région du Haut-Atlas.
La première session de l’arbitrage opposant, devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements de Washington, le groupe Corral Petroleum Holdings AB du Saoudo-Éthiopien Mohammed Hussein Al Amoudi et le Maroc s’est tenue le 29 novembre.
Le 17 décembre, après plusieurs semaines de pourparlers, le conseil d’administration du FMI a donné une suite favorable à la demande du Maroc de souscrire à une quatrième Ligne de précaution et de liquidité (LPL) auprès du Fonds monétaire international.
Au lendemain des Dialogues atlantiques, organisés à Marrakech par le Policy Center for the New South (ex-OCP Policy Center), l’organisateur fait le bilan d’une septième édition qui a notamment connu la participation de Madeleine Albright, Amr Moussa ou encore Hubert Védrine.