Le premier est l’un des leaders de la bande FM au Maroc, le second a choisi une diffusion sur internet. Mais tous deux mènent une bataille pour séduire les 15-30, une tranche qui représente près de 30% de la population marocaine.
Dans un contexte social tendu, Mohammed VI s’agace des retards pris dans la mise en œuvre de la dynamisation des territoires. Pourquoi les mesures annoncées restent-elles au point mort ?
Malgré l’accord de libre-échange opérationnel depuis 2006 entre les deux pays, aucun cadre réglementaire ne régissait jusque-là l’importation de volailles américaines au Maroc. Une lacune désormais corrigée, même si cette nouvelle concurrence potentielle inquiète peu les producteurs locaux.
Brookstone Partners, un fonds américain, lance un projet de centrale éolienne à Dakhla. La production électrique sera utilisée pour le minage de cryptomonnaie.
L’envoyé spécial onusien pour le Sahara occidental doit passer ce mercredi devant les membres du Conseil de sécurité à New York. Entre sa dernière tournée et les discussions autour du prolongement du mandat de la Minurso, Horst Köhler doit surtout faire face à la lassitude des diplomates.
Deux mois après avoir démissionné, le ministre marocain des Affaires générales et de la Gouvernance est toujours en poste. Une situation révélatrice d’un malaise plus large au sein du gouvernement.
Mohammed VI a reçu le 30 juillet Aïcha El Khattabi, la fille du héros rifain Abdelkrim. Elle avait récemment écrit au souverain pour soutenir les meneurs du Hirak, condamnés à de lourdes peines.
Cet ingénieur marocain des Ponts et Chaussées connaît bien la filiale du holding royal Al Mada puisqu’il a été à sa tête entre 2001 et 2003 après six ans à différents postes de direction. Nommé président du conseil d’administration, il dirige en parallèle son propre cabinet de conseil dans l’industrie et les infrastructures.
Acteurs clés du changement, les 15-34 ans représentent un tiers de la population. Si moult rapports ont souligné l’urgence de les placer au cœur des stratégies de développement, la croissance ne leur profite toujours pas. Le royaume peut-il se passer plus longtemps de ce formidable atout qu’est la jeunesse ?
Au Maroc, il y a toujours eu une volonté d’impliquer davantage les jeunes dans le processus de prise de décision, mais ses effets n’ont pas été ressentis.
Salaheddine Mezouar, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), présente ses objectifs pour doper la création d’emplois, un défi qu’il souhaite voir relevé au niveau régional.
La mondialisation, l’internet et surtout les réseaux sociaux semblent bien avoir mis un terme aux années fastes des Dar Chabab (« maisons des jeunes »).
Pour endiguer le chômage des jeunes, le gouvernement vient de mettre en place un plan qui préfère être réaliste plutôt que vainement ambitieux. Objectif : remobiliser, en responsabilisant.
Difficile de s’envoler pour le Maghreb ces derniers jours… Après la Royal Air Maroc, c’est au tour d’Air Algérie de faire face aux revendications de ses employés. En Tunisie, l’Office de l’aviation civile et des aéroports menaçait elle aussi d’une grève générale, avant de se raviser au dernier moment.
Bank Al Maghrib, la banque centrale marocaine, vient de publier son rapport annuel sur la supervision bancaire, qui constitue une véritable cartographie du secteur. Décryptage en 7 points.
Dans son discours prononcé dimanche à l’occasion de la fête du Trône, le roi du Maroc a insisté sur la nécessité des réformes sociales et d’un cadre favorisant l’investissement, se montrant critique à l’égard de ce qu’il a qualifié d' »anomalies » administratives. Sans nommer le Hirak, le mouvement de colère qui a agité le Rif, il a également lancé un appel à la stabilité.
C’est un réseau d’immigration clandestine « haut de gamme » vers l’Europe que les limiers de la DGST marocaine, que dirige Abdellatif Hammouchi, ont démantelé avec l’arrestation, le 18 juillet à Casablanca, à Mohammedia et à Benslimane, de 14 personnes, dont un Franco-Algérien.
Après deux ans et demi aux commandes de la Royal Air Maroc (RAM), le dirigeant connaît son premier bras de fer avec le redoutable syndicat des pilotes de ligne. Une sérieuse crise sociale qui le met à l’épreuve.
Le roi Mohammed VI a longuement évoqué dans un discours télévisé prononcé dimanche soir la « question sociale » au Maroc, exhortant le gouvernement à adopter des « mesures d’urgence », notamment en matière de santé et d’éducation.
La Fondation nationale des musées marocains a reçu un guerrier masaï du célèbre artiste sénégalais Ousmane Sow. Ce dernier est désormais visible sur l’une des principales artères de la capitale.
Une production céréalière en hausse de 7,3 % et des rendements qui bondissent de 27 % : lors de sa dernière sortie médiatique, le ministre marocain de l’Agriculture s’est montré enchanté des résultats de la campagne agricole 2017-2018.
Après sept jours de tensions sociales entre la RAM et ses pilotes, plus de 65 vols ont été annulés pour plus de 11 000 billets à rembourser. Un nouveau round de négociations a été enclenché.
Depuis plus de dix ans, les soulaliyates se battent pour obtenir l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’indemnisation lors de transactions foncières. Pour la première fois, certaines ont reçu des lots de terrain après la cession de terres collectives.
Un nouveau think tank marocain vient de voir le jour : le Cercle des patriotes. À sa tête, des proches du ministre de l’Agriculture et président du Rassemblement national des indépendants (RNI), le milliardaire Aziz Akhannouch. Des meneurs qui laissent peser le doute sur l’indépendance de ce centre de réflexions.
Le rapport du département d’État américain consacré au climat de l’investissement dans le monde passe cette année en revue les économies de la RDC, de la Guinée, de l’Algérie et du Maroc.