Des fonctionnaires venus du Maroc sont actuellement en mission à Paris, pour identifier les mineurs marocains qui errent dans les rues du 18e arrondissement depuis deux ans.
L’Union européenne et le Maroc ont paraphé ce mardi un nouvel accord de pêche valable pour les quatre prochaines années, qui inclut explicitement les eaux adjacentes au Sahara occidental.
Le roi du Maroc est arrivé lundi dans la soirée à Al Hoceima, à bord d’un bateau en provenance de M’diq où le souverain passe une partie de ses vacances. C’est la première visite de Mohammed VI dans la région depuis le mouvement de contestation social qui y a éclaté en octobre 2016.
Durant la séance mensuelle relative à la politique générale devant la Chambre des représentants, Saâdeddine El Othmani, le chef de l’exécutif, a balayé d’un revers de la main l’existence de conflits au sein de son équipe.
Le gouvernement allemand a validé un projet de loi visant à classer la Tunisie, le Maroc et l’Algérie comme « pays sûrs ». Si le texte est adopté par le Parlement, les ressortissants de ces pays ne seront donc plus considérés comme des réfugiés par Berlin.
Le mouvement islamiste Al Adl Wal Ihsane perd de sa force de mobilisation. La dernière marche, le 15 juillet, en soutien aux détenus du Rif, en a fait la démonstration.
Dépenses « irrationnelles et injustifiées », situation budgétaire « instable et précaire », manque de coordination avec le ministère de tutelle… Après la parution d’un rapport parlementaire sur la gestion de l’ONMT, son nouveau patron, Adel El Fakir se trouve confronté à sa première crise.
Dix vols de la Royal Air Maroc (RAM) ont été annulés vendredi et d’autres pourraient connaître des perturbations, a annoncé la compagnie, en proie à de vives tensions sociales avec ses pilotes.
En cours de rénovation à l’initiative du conseiller royal André Azoulay, la synagogue marocaine de Slat Attia, à Essaouira, abritera bientôt un centre de recherches et un musée.
Une quinzaine de personnes, soupçonnées d’avoir mis en place un réseau délivrant de faux passeports et des certificats de résidence à des candidats à l’immigration illégale en Europe, ont été arrêtées au Maroc, ont annoncé jeudi les autorités locales.
Après avoir engagé 100 millions de dirhams (9 millions d’euros) dans 17 start-up sur les huit dernières années, Maroc Numeric Fund double la mise pour sa deuxième opération.
Sa maison est sous scellés depuis dix ans. « Al oustad » (« le professeur »), qui dirige la puissante association islamiste Al Adl Wal Ihsane (« Justice et Bienfaisance »), est l’un des premiers opposants du Maroc. Il est le « secrétaire général » d’une Jamaâ qui n’a connu qu’un seul guide (« mourchid »), son fondateur, Cheikh Yassine, décédé en 2012.
Fin de parcours pour la très jeune entreprise LH Aviation Maroc, qui voulait être la première à construire un avion 100 % marocain. Placée en redressement judiciaire, sa maison-mère attend sa liquidation.
Plusieurs centaines de Marocaines s’apprêtent à devenir notaires de droit islamique, un métier jusque-là réservé aux hommes. Retour sur une petite révolution.
La SGTM, fondée par Ahmed Kabbaj, et TGCC, dirigé par Mohamed Bouzoubaâ, sont respectivement numéro un et numéro deux du secteur du BTP au Maroc. Si les deux patrons évitent de se croiser en public, chacun surveille en coulisse les projets de l’autre.
La fuite d’une intervention de Abdelali Hamieddine, un dirigeant du PJD (parti islamiste), très critique envers la monarchie marocaine, a soulevé une tempête politique qui affaiblit davantage le chef du gouvernement, Saâdeddine El Othmani.
Des milliers de personnes ont manifesté dimanche à Rabat pour dénoncer la condamnation des meneurs du mouvement de protestation « Hirak », qui avait agité la région du Rif (nord), en 2016 et 2017, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Les développeurs d’énergies renouvelables commencent à bouder le royaume chérifien. Ils reprochent à l’agence Masen de confier la quasi-totalité de ses projets aux saoudiens d’Acwa Power.
Dans un secteur économique en plein boom dominé par les entreprises étrangères, les capitaines d’industrie du pays amorcent une percée en s’appuyant sur les usines Renault et Peugeot.
Les Printemps arabes sont au cœur de la dernière publication de l’OCP Policy Center. Le think tank lié à l’entreprise publique des phosphates du Maroc n’élude pas les récentes manifestations du Nord du pays.
Le futur TGV marocain, première ligne à grande vitesse d’Afrique qui entrera en service fin 2018, a été baptisé par le roi du Maroc, Mohammed VI, « Al Boraq », en référence à une « fantastique monture ailée », a indiqué jeudi l’Office national des chemins de fer (ONCF).
Le 10 juillet, l’OMC a annoncé avoir reçu une plainte de la Tunisie, qui reproche à son voisin les mesures antidumping sur les cahiers scolaires provisoirement adoptées par Rabat en mai dernier.
Figure du patronat marocain et « pro » de la communication, Neila Tazi a aussi lancé le Festival Gnaoua Musiques du monde d’Essaouira, dont la dernière édition, en juin, a fait un tabac.
Les entreprises marocaines les plus gourmandes en énergie seront bientôt obligées d’effectuer des audits énergétiques, comme le prévoit un décret du ministère de l’Énergie diffusé par le secrétariat général du gouvernement. Le Maroc rêve d’une consommation optimale des énergies.
Fait rare dans la tradition gnaoua, la maâlema Asmâa Hamzaoui joue avec le guembri de son père, Rachid Hamzaoui. Et partage la scène avec la Malienne Fatoumata Diawara.
Si la restauration de la médina de Fès doit s’achever en 2023, celle-ci permet déjà de donner une impulsion au rayonnement de la ville, soutient Adberrafia Zouitene, président de la fondation Esprit de Fès et ancien patron de l’Office national du tourisme.
Sept joueurs belges et quatorze Français ont au moins un parent d’origine africaine. Un record dans cette Coupe du monde, hors équipes du continent. Décryptage.