Le groupe français Total vient de signer un contrat pour opérer deux blocs offshores supplémentaires au large de la Mauritanie. La major renforce ses activités d’exploration dans le pays, après y avoir acquis trois blocs en 2017.
Suite à la proposition algérienne de convoquer une réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA), la Tunisie et la Mauritanie se sont manifestées pour l’organiser.
Bloqués depuis 2012, les pourparlers pour trouver une issue au conflit au Sahara occidental reprennent à Genève mercredi 5 et jeudi 6 décembre, sous l’égide de l’envoyé spécial de l’ONU Horst Köhler. Définition des rôles des participants, composition des délégations, prises de positions… Jeune Afrique vous résume les grands enjeux.
Du ministre de la Défense Mohamed Ould Ghazouani à celui de l’Économie et des finances, Moktar Ould Diay, en passant par le Ministre d’État Yahya Ould Hademine et le président de l’Assemblée Cheikh Ould Baya, revue d’effectif des potentiels successeurs du président Mohamed Ould Abdelaziz.
S’il est presque sûr que le chef de l’État ne briguera pas sa propre succession en 2019, nul doute qu’il choisira avec soin son successeur. À l’instar d’un certain Vladimir Poutine.
Ordre du jour, taille de chaque délégation… Ce que contient la lettre d’invitation de l’envoyé spécial onusien pour le Sahara occidental, Horst Köhler, adressée aux quatre parties qui participeront à la table ronde de Genève, les 5 et 6 décembre.
Les participants à la 36e assemblée parlementaire ACP-UE à Cotonou, sommet sur la Centrafrique à Khartoum, Michel Sapin en Mauritanie… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie continentale.
Dimanche 18 novembre, la Mauritanie s’est qualifiée pour la première Coupe d’Afrique des nations de son histoire grâce à sa victoire face au Botswana (2-1). Pour Corentin Martins, le sélectionneur français des Mourabitounes, cette performance s’inscrit dans la logique du travail réalisé depuis plusieurs années.
Interpol a annulé les « notices rouges » relayant les mandats d’arrêt délivrés par la République islamique de Mauritanie contre l’homme d’affaires Mohamed Ould Bouamatou et son principal collaborateur, Mohamed Ould Debagh. L’organisation considère que l’affaire comporte « une dimension politique ».
Pour favoriser une alternance au pouvoir en 2019, Messaoud Ould Boulkheir, le patron de l’Alliance populaire progressiste (APP), a déposé une « feuille de route » à la présidence.
Trois ans après son lancement, le « Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud » prend forme. Un programme sur lequel Rabat entend s’appuyer pour faire prévaloir son approche de la question sahraouie.
L’Algérie, le Maroc puis la Tunisie se sont relayés à Nouakchott ces derniers jours, avec pour objectif de renforcer leurs liens avec leur voisin méridional. Échanges commerciaux, diplomatie, relations bilatérales… retour sur les motivations de chacun.
Au pouvoir depuis juillet 2009, réélu en 2014, le président mauritanien s’est engagé à ne pas modifier la Constitution pour s’ouvrir le droit à briguer un troisième mandat en 2019. Cet ancien général accorde très peu sa confiance, si ce n’est à son tout premier cercle, qu’il sollicite quotidiennement.
Donald Trump a informé le Congrès américain qu’à partir du 1er janvier 2019, il mettra fin « à l’admissibilité de la Mauritanie aux avantages en matière de préférence commerciale, en vertu de la loi sur la croissance et les perspectives économiques en Afrique (Agoa), en raison des pratiques de travail forcé ».
Le président Mohamed Ould Abdel Aziz a nommé Premier ministre, lundi 29 octobre, Mohamed Salem Ould Béchir. Ancien ministre et directeur de plusieurs sociétés d’État, celui-ci remplace à ce poste Yahya Ould Hademine.
Après plusieurs semaines d’attente, le gouvernement mauritanien a été remanié mardi 30 octobre. Le président Mohamed Ould Abdelaziz en a profité pour placer ses fidèles aux postes clés.
Le parti islamiste Tewassoul, principal parti d’opposition en Mauritanie, a remporté samedi l’élection pour la mairie d’Arafatt, son fief principal dans la capitale Nouakchott, a annoncé dimanche la Commission électorale indépendante nationale (Céni).
Genèse du Pacte pour la paix au Mali, première conférence du Groupe des amis de la Mauritanie, abandon des poursuites contre le Chinois Tong Mei au Bénin… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
L’Algérie et la Mauritanie ont récemment accepté l’invitation de l’envoyé spécial onusien, Horst Köhler, à venir discuter les 5 et 6 décembre à Genève de l’avenir du Sahara occidental avec le Maroc et le Front Polisario, selon l’Organisation des Nations unies.
Journaliste, conseiller à la présidence, il a écrit tous ses livres dans la capitale mauritanienne. Voici quelques-uns des lieux où il aime à se rendre régulièrement.
Élu président de l’Assemblée nationale le 8 octobre, Cheikh Ould Baya, un député issu du parti au pouvoir et un proche du président Mohamed Ould Abdelaziz, a recueilli 118 voix contre 27, face au candidat du parti islamiste Tawassoul.
Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a demandé mercredi au Conseil de sécurité « de prolonger d’un an le mandat » de la force de paix Minurso au Sahara Occidental, afin de soutenir la reprise de négociations politiques début décembre à Genève.
Une semaine après la victoire du parti au pouvoir au second tour des élections législatives, régionales et locales en Mauritanie, le professeur de droit Lô Gourmo Abdoul affirme qu’une modification constitutionnelle permettant au président Aziz de briguer un troisième mandat est impossible, sauf coup d’État juridique.
Si son ancien parti, le RFD, a obtenu des résultats décevants aux élections du 1er et du 15 septembre, Ahmed Ould Hamza, ex-président de la Communauté urbaine de Nouakchott, ne croit pas que la victoire du parti de Mohamed Ould Abdelaziz ouvre la voie à un troisième mandat présidentiel.
Le président Mohamed Ould Abdelaziz a remporté les élections législatives, régionales et municipales du 1er et du 15 septembre. Va-t-il en profiter pour modifier la Constitution afin de pouvoir se présenter une troisième fois en 2019 ?
Le parti au pouvoir en Mauritanie a difficilement gagné les élections municipales et régionales à Nouakchott et a remporté tous les sièges au second tour du scrutin législatif qui s’est tenu samedi, selon les premiers résultats annoncés dimanche.
Mohamed Ould Maouloud (UFP) se félicite que l’union de l’opposition ait mis en ballottage le parti présidentiel dans toutes les grandes villes, à l’occasion du premier tour des élections nationales, régionales et locales mauritaniennes du 1er septembre.
L’anthropologue Mohamed Fall Ould Bah, secrétaire général du Centre d’études et de recherches de l’ouest saharien (Ceros) de Nouakchott, analyse les positions respectives des partis présidentiel et islamiste aux trois élections mauritaniennes.