Ce projet, au coût de 925 millions de dollars, vise à accroître de quatre millions de tonnes la capacité de production de minerai de fer du gisement mauritanien.
Ahmed Ould Abdel Aziz, un détenu de la prison militaire américaine de Guantanamo, a été transféré en Mauritanie, a annoncé le Pentagone jeudi. Qui est-il ? Réponse en quatre points.
La justice et les autorités boursières américaines s’intéresseraient notamment à des paiements irréguliers en faveur de hauts responsables mauritaniens.
Dix ans après son renversement, en août 2005, alors qu’il était sur le chemin du retour d’un voyage en Arabie saoudite, l’ancien président mauritanien Maaouiya Ould Taya vit toujours en reclus au Qatar, où l’émir lui a accordé l’asile politique.
À deux mois de l’ouverture de la COP21 à Paris, quinze pays africains ont pour l’heure annoncé leurs engagements en matière de réduction de gaz à effet de serre. Découvrez leurs engagements sur notre carte.
Historien mauritanien et haut fonctionnaire à l’Unesco, où il est en charge du prix Houphouët-Boigny, Alioune Traoré retrace l’itinéraire de Cheikh Hamahoullah, qui fut l’une des grandes figures de l’islam en Afrique de l’Ouest à l’époque coloniale.
Toujours disponible, la maire de Tevragh-Zeina, la plus riche des neuf communes de la capitale, s’évertue depuis quatorze ans
à améliorer la ville… Pour tous.
En très gros, l’homme est arrivé en Mauritanie il y a un million d’années, pour y devenir sapiens. Pour le savoir, il faut dénicher le Musée national que recommandent « Le Guide du routard », « Le Petit Futé » et « Lonely Planet ».
Le pétrole ? La chute des cours a refroidi les majors. Le fer et l’or ? Eux aussi font grise mine. Reste le gaz, sur lequel Nouakchott compte beaucoup pour vendre de l’électricité au Sénégal et au Mali.
Entre des prix de l’once en baisse et des coûts de production particulièrement élevés, le Canadien Kinross est contraint de réduire la voilure à Tasiast, le principal gisement du pays.
Si le pays a réussi à progresser depuis 2010 en dépit d’un environnement international défavorable, l’embellie risque de tourner court. Explication en cinq points sensibles.
L’opposition est aphone ? Les mouvements négro-mauritaniens en profitent pour faire entendre leur voix et porter sur la place publique les questions du « racisme d’État » et de l’esclavage.
Au fil de plusieurs rencontres, le pouvoir s’est montré prêt à écouter l’opposition. Mais d’une oreille distraite, et sans apporter de réponse claire à ses revendications.
Alors que les relations avec Rabat sont glaciales et que celles avec Alger se rafraîchissent, Nouakchott opère un rapprochement savamment contrôlé avec ses voisins subsahariens.
Le pays a rarement été aussi calme. Un an après la confortable réélection de Mohamed Ould Abdelaziz, les politiques se concentrent sur… la présidentielle de 2019. Et en attendant, rien ne semble plus bouger.
Le capitaine des Mourabitounes, l’équipe nationale, a vu le football mauritanien considérablement évoluer ces dernières années. Même si beaucoup reste à faire.
Une nouvelle loi durcit la répression de l’esclavage. Mais les autorités semblent toujours peu enclines à éradiquer cette pratique répandue. Et préfèrent souvent l’ignorer.
Jugés en appel, trois activistes de la lutte contre l’esclavage, dont Biram Ould Dah Ould Abeid ont été condamnés jeudi 20 août à deux ans de prison par le tribunal d’Aleg. Bala Touré, porte-parole de leur organisation, l’Initiative de résurgence du mouvement abolitionniste (IRA) revient sur l’affaire des trois accusés et sur le travail de leur organisation.
Les trois activistes de la lutte contre l’esclavage ont été condamnés en appel ce jeudi à deux ans de prison par le tribunal d’Aleg. Ils avaient été interpellés alors qu’ils menaient une campagne de sensibilisation contre l’esclavage. Alors que le pays vient d’adopter une loi qualifiant l’esclavage de « crime contre l’humanité », cette condamnation témoigne d’une toute autre réalité.
L’Assemblée nationale mauritanienne a adopté mercredi soir une nouvelle loi durcissant la répression de l’esclavage, reconnue désormais comme un « crime contre l’humanité », et doublant les peines contre ses auteurs.
Après l’intervention de membres de sa communauté auprès des autorités mauritaniennes, l’ancien porte-parole d’Ansar Eddine, Sanda Ould Boumama, a été libéré par Nouakchott. Mais ses anciens compagnons jihadistes, qui s’estiment trahis, le recherchent pour l’abattre.
Lancée il y a un an, l’opération de l’armée française pourrait s’éterniser. Reportage dans son QG de N’Djamena, au Tchad, d’où l’on traque sans relâche – et avec des succès mitigés – les jihadistes du désert.
Visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) depuis 2009, le président soudanais Omar el-Béchir ne devrait pas être inquiété lors de son déplacement en Mauritanie, lundi, pour participer à un sommet sur la Grande muraille verte, un projet pour stopper l’avancée du désert.