Depuis le mois de mai, le ramassage des ordures laisse à désirer à Nouakchott, devenu une véritable décharge à ciel ouvert. Face à ce désastre, des habitants se mobilisent.
Un an après le retour au pays de leurs leaders, les militants de la cause négro-mauritanienne des Forces de libération africaines de Mauritanie (Flam) s’entre-déchirent. Faut-il intégrer un parti politique ou rester au sein de la société civile ?
L’accord de 2013 avec l’Union européenne garantit la pérennité des ressources halieutiques tout en protégeant les intérêts des pêcheurs locaux. Sa renégociation donne lieu à d’âpres discussions.
Mohamed Ould Abdelaziz ne s’en laisse pas conter, délègue peu et décide tout seul. Portrait d’un omniprésident Mauritanien qui semble décidé à faire de la lutte contre la pauvreté et la corruption son cheval de bataille. Reste à obtenir des résultats.
La Société nationale industrielle et minière (Snim) voit grand. Mais la chute de 40 % des cours du minerai pourrait la contraindre à revoir ses ambitions à la baisse.
Les principaux adversaires du régime ont boycotté le dernier scrutin présidentiel. Atteints par la limite d’âge, ils ne pourront se présenter en 2019. Et, pour le moment, aucun dauphin ne pointe son nez.
Elle n’a que trois années d’existence. Mais déjà, la Banque islamique de Mauritanie s’est fait une place dans le paysage bancaire national. Sa recette ? Des services pratiques et, surtout, halal.
Deux Mauritaniens ont été condamnés à mort par la cour d’appel du tribunal de Nouakchott, pour l’assassinat de quatre touristes français en 2007, a-t-on appris mercredi.
Sphere Minerals, la filiale du groupe Glencore, a entamé le réexamen du projet minier d’Askaf en Mauritanie. La production de minerai de fer, prévue pour 2017, devrait être retardée, dans un contexte de chute des cours et d’offre excédentaire sur les marchés internationaux.
De la Mauritanie à Djibouti, leur présence ne fait plus grincer des dents. Américains, Français ou Britanniques, on se les arrache au nom de la lutte contre le terrorisme. Résultat : les soldats étrangers n’ont sans doute jamais été aussi nombreux en Afrique depuis les indépendances.
Tamagot Bumi et Bumi Mauritania, deux sociétés actives dans le minerai de fer, ont annoncé leur saisie du Cirdi contre la Mauritanie. Elles dénoncent une « expropriation », décidée fin 2013 par le ministre du Pétrôle, de l’énergie et des mines.
Délogés par des coups d’État, des rébellions ou des révolutions, de nombreux chefs d’État africains ont définitivement quitté leurs palais dans des conditions parfois rocambolesques. De Mobutu à Amadou Toumani Touré en passant par Ben Ali, voici quelques-uns des dirigeants « fuyards » les plus célèbres du continent.
De Nouakchott à Niamey, le nouvel envoyé spécial de l’ONU se démène pour mobiliser chefs d’État et partenaires internationaux. Son nom ? Hiroute Guebre Sellassie.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, investi le 2 août pour un second mandat, a nommé mercredi un nouveau Premier ministre, Yahya Ould Hademine. Cet ancien ministre de l’Équipement et des Transports du gouvernement sortant remplace Moulaye Ould Mohamed Laghdaf.
Le président mauritanien a inauguré, le 3 août, l’extension du Port autonome de Nouakchott. Ces nouvelles installations, réalisées par le groupe chinois SNCTPC, ont permis d’accroître de 3 à 6 millions de tonnes par an les capacités du PANPA.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, réélu en juin avec près de 82% des voix, a été investi samedi pour un second mandat de cinq ans, promettant de continuer à lutter contre le terrorisme.
L’Union européenne (UE) et la Mauritanie se sont accordées sur la prolongation jusqu’en décembre de l’accord de pêche qui les lie. Un arrangement à l’amiable qui ouvre la voie à la reprise des négociations.
Créé en 2001, Wikipédia s’est imposée depuis comme l’encyclopédie numérique la plus consultée au monde. Participative, elle rassemble des informations collectées par les utilisateurs mais elle permet également de prendre le pouls de la webosphère. Voici les présidents africains qui intéressent le plus les internautes.
L’ancien diplomate et militant de la libération des peuples, Ahmed Baba Miské, couche désormais sur le papier sa très longue expérience africaine. Rencontre.
Un peu partout dans le monde, les musulmans ont commencé à fêter l’Aïd el-Fitr, la fête de la fin du mois sacré de ramadan. Si certains ont débuté les festivités lundi, voire dimanche, d’autres doivent patienter jusqu’à mardi.
Même s’ils ont dû renoncer à leurs ambitions présidentielles en boycottant le scrutin de juin, les opposants Ahmed Ould Daddah et Messaoud Ould Boulkheir ne raccrochent pas les gants.
L’opération « Barkhane », du nom de la nouvelle configuration stratégique de l’armée française dans le Sahel qui devrait mobiliser 3 000 soldats environ, sera officiellement lancée le 1er août à N’Djamena.
La première phase de négociations de paix directes entres les autorités maliennes et les groupes armés du Nord est censée s’ouvrir d’ici à la mi-juillet à Alger. Avant que les belligérants ne s’assoient à la même table, retour sur une année de blocage depuis la signature de l’accord de Ouagadougou, en juin 2013.
De l’assiette à la télévision, impossible d’échapper au ramadan, qui impose son rythme à l’ensemble de la communauté musulmane. Paradoxalement, au Sénégal, la période de jeûne est synonyme de hausse vertigineuse de la consommation. Un casse-tête pour l’État, qui doit s’assurer de la qualité de la marchandise et de la stabilité des prix.
Confortablement réélu lors d’un scrutin boycotté par l’opposition, le chef de l’État mauritanien se prévaut d’un bilan « positif », notamment en matière de lutte antiterroriste.