L’opposition mauritanienne a « exigé », dimanche 2 juin, la publication du bulletin de santé du président Mohamed Ould Abdel Aziz. Selon elle, le chef de l’État est introuvable depuis plusieurs semaines.
Les Américains ont remis cette semaine à Nouakchott un Mauritanien membre d’Al-Qaïda, qui était détenu dans la prison américaine de Bagram en Afghanistan, et non pas des prisonniers de Guantanamo, a expliqué une source sécuritaire.
Les Etats-Unis ont remis vendredi soir à Nouakchott deux détenus mauritaniens de Guantanamo, « innocentés » par les tribunaux américains après avoir passé plusieurs années dans cette prison américaine à Cuba, a-t-on appris de sources humanitaires et sécuritaires.
Condamné à trois ans de prison ferme et à une lourde amende pour détournement de fonds, l’ex-commissaire aux droits de l’homme, finalement libéré sous caution, continue de clamer son innocence. Et de dénoncer les alliances tribales.
Les chefs des armées de Mauritanie et du Sénégal souhaitent renforcer les patrouilles et le contrôle des points de passage à leurs frontières. Objectif ? Mieux lutter contre la menace terroriste accrue dans la sous-région.
Avant Abdelaziz Bouteflika, de nombreux présidents africains sont allés se faire soigner au mystérieux hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris. De Mathieu Kérékou à Dioncounda Traoré en passant par Blaise Compaoré, Jeune Afrique vous propose de découvrir en images les célèbres patients africains du « Val ».
D’eux, on sait peu de chose. La discrétion fait partie du contrat… Question de sécurité. Leur rôle, pourtant, est essentiel. Rencontre avec ces cuisiniers hors pair qui s’activent derrière les fourneaux présidentiels.
Deux terroristes abattus en janvier sur le site gazier algérien d’In Amenas étaient originaires de London, dans l’Ontario. Ils ne sont pas les seuls islamistes radicaux dans ce cas.
À l’initiative du roi Mohammed VI, son conseiller Taïeb Fassi Fihri a multiplié les déplacements pour parvenir à faire plier les États-Unis sur le mandat de la Minurso. Une efficacité qui contraste avec l’immobilisme du gouvernement marocain sur le sujet.
« Échoués dans le désert » : c’est le titre de l’alarmant rapport de MSF sorti le 12 avril, au sujet des 75 850 réfugiés maliens du camp de M’bera en Mauritanie. Une population en majeure partie touarègue, livrée à elle-même.
Premiers destinataires des communiqués d’Aqmi, les deux groupes de presse ne se privent pas de les publier. Une proximité qui assure leur audience, mais les place sous le feu des critiques.
Trois partis politiques représentés au parlement mauritanien ont décidé de quitter la majorité présidentielle de Mohamed Ould Abdelaziz pour rejoindre « l’opposition démocratique », en créant l’Alliance patriotique (AP), ont annoncé dimanche leurs dirigeants à la presse.
Fuyant guerre et haines ethniques, plus de 75.000 Maliens sont réfugiés en plein désert mauritanien où l’eau manque et où la mortalité infantile dépasse le seuil d’urgence: dans le camp de Mbéra, prévient Médecins sans frontières (MSF), « l’aide humanitaire déployée est insuffisante ».
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a appelé, lundi 8 avril, à une résolution « urgente » de la crise au Sahara occidental, craignant les retombées du conflit malien dans la région sahélienne.
Une mission d’information sur l’opération Serval, comprenant quatorze députés français, doit se rendre dans la plupart des pays ayant participé à la guerre au Mali.
L’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, estime que la situation sécuritaire actuelle au Sahel rend plus que jamais « urgente » la nécessité de trouver une solution à la crise politique au Sahara occidental.
Le nouveau commandant de la station spatiale internationale (ISS), le Canadien Chris Hadfield, partage chaque jour des photos de la Terre prises depuis l’espace. De Casablanca à la Corne de l’Afrique, découvrez des clichés fascinants du continent.
Recruté par Al-Ahly en 2011, l’international Dominique Da Sylva raconte son expérience atypique en Égypte, où le monde du ballon rond subit les contrecoups de l’instabilité politique.
Un porte-parole présumé d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a annoncé à l’agence privée d’information ANI (Mauritanie) que l’otage français, Philippe Verdon, avait été exécuté le 10 mars. Paris ne confirme pas.
Les Négro-Mauritaniens continuent à dénoncer les discrimnations à leur égard par l’État mauritanien. Une situation qui remonte aux premières heures de l’accession du pays à l’indépendance, malgré une accalmie des « années de braise ».
Ils sont artistes, businessmen, hommes politiques… Macky Sall, Tierno Monénembo, Baba Laddé, Inna Modja, Omar Sy ou encore Nafissatou Diallo, tous ou presque, incarnent, à leur manière, cette réussite si valorisée chez les Peuls.
Enlèvements de ressortissants étrangers, attentats… Le conflit malien va-t-il favoriser la mobilisation de tous les groupes jihadistes du continent ? Les pays de la sous-région s’efforcent d’atténuer l’onde de choc.
Le conflit au Mali perturbe l’une des grandes voies d’acheminement de la cocaïne qui traverse le Sahel vers l’Europe mais les trafiquants se sont déjà adaptés en modifiant leurs trajets, estiment des experts interrogés par l’AFP.
Le président mauritanien a entamé une action judiciaire en France contre le député vert Noël Mamère, qu’il accuse de diffamation. Celui-ci l’avait traité de « parrain de la drogue » au cours d’une émission télévisée.
Trois sociétés liées au groupe appartenant au célèbre homme d’affaires mauritanien Mohamed Ould Bouamatou ont reçu des avis de redressement fiscal d’un montant total estimé à 10,3 millions d’euros.
Malgré l’apparition de nouveaux établissements, notamment étrangers, le taux de bancarisation demeure très bas. La finance islamique pourrait faire sauter un des nombreux freins à l’ouverture de comptes.
L’approche de la Mauritanie pour combattre Aqmi a permis de « démanteler un grand nombre de cellules terroristes dormantes » et « a réussi à mettre en échec des opérations terroristes qui visaient la déstabilisation du pays », selon le ministre de la Défense, Ahmed Ould Ideye. Il l’a déclaré, mardi 12 février, à Nouakchott.