Malgré une longue absence pour raisons médicales, le président de l’Union des forces de progrès, revenu à Nouakchott en juillet, reste influent au sein de la coordination des adversaires d’Ould Abdelaziz.
De passage à Paris le mercredi 6 février, à l’institut Français des relations internationales (Ifri), Taleb Ould Abdi Vall, ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Mines de Mauritanie a loué le potentiel extractif de son pays devant une assistance composée, entre autres, de dirigeants d’entreprises étrangères et mauritaniennes.
Depuis la libéralisation des ondes, cinq chaînes de télévision et cinq radios privées ont été autorisées. Mais les professionnels pointent encore un manque de transparence.
Divisée entre sa vieille garde et son courant progressiste, qui a initié un dialogue avec l’opposition, l’Union pour la République (UPR) est restée discrète pendant l’absence du chef de l’État.
Face à la menace d’Aqmi, la France et la Mauritanie ont renforcé leurs liens dans le secteur de la défense. Un partenariat qui passe par la formation et la fourniture d’équipements.
À la tête de la Coordination des femmes de l’opposition démocratique, la députée est de celles qui mènent la fronde contre le recul de la représentation des Mauritaniennes en politique.
Rentré fin novembre en Mauritanie après six semaines d’hospitalisation en France, le chef de l’État a repris en main les rênes du pays. Rupture du dialogue avec l’opposition, refus de la formation d’un gouvernement d’union nationale… L’heure n’est pas aux concessions.
Le gouvernement libyen aurait versé la coquette somme de 200 millions de dollars au gouvernement mauritanien en échange du transfert d’Abdallah Senoussi, en septembre 2012.
Face au repli des jihadistes, Algérie, Mauritanie, Burkina Faso, Niger et Sénégal ont annoncé avoir pris des mesures pour sécuriser leurs frontières respectives avec le Mali.
En acceptant de publier les communiqués du commando islamiste responsable de la prise d’otages d’In Amenas, l’Agence Nouakchott d’information (ANI), s’est attirée les foudres du quotidien algérien El-Watan.
Les accusations d’exactions commises par l’armée malienne se multiplient. Jeudi 24 janvier, deux habitants de Niono auraient ainsi, selon un témoignage, été abattus par des militaires. Deux Maliens « à la peau claire », précise le témoin. Retour sur les précédents historiques qui font craindre le pire.
Avant même d’être diplômée, cette étudiante de Harvard a créé la Jeune Chambre de commerce de Mauritanie. Un organisme qu’elle préside et dont elle détaille les objectifs.
Un groupe industriel et un minier se sont alliés à la compagnie nationale d’électricité pour construire une centrale. Actionnaires du projet, ils en seront les principaux clients.
La Force internationale d’intervention au Mali doit être composée de 3 300 hommes. Mais la mission demande à être précisée, et l’arrivée des soldats reste lente.
Au Nord-Mali, les populations touareg et arabes qui attendent d’être libérés des islamistes radicaux craignent en même temps le retour des soldats de l’armée malienne. Une psychose qui en fait déjà fuir certains.
Le chef de l’État mauritanien, Mohamed Ould Abdelaziz, a affirmé la disponibilité de son pays à venir en aide à l’armée malienne, lors d’une rencontre avec son homologue français, François Hollande, le mardi 15 janvier à Abou Dhabi. Contrairement à ce qu’il avait répété jusqu’à maintenant.
Les frappes aériennes se poursuivent au centre du Mali, le long de la frrontière avec la Mauritanie notamment contre les troupes d’Al Qaïda au maghreb islamique (Aqmi). Kidal et Gao ont également été bombardées, dimanche 13 janvier, et les islamistes délogés de leurs bases dans cette dernière. A Tombouctou, les islamistes auraient commencé à fuir, selon Sahara Médias. Le MNLA a réagi à l’intervention de la France et de l’armée malienne, se déclarant prêt à s’impliquer dans « la lutte contre le terrorisme ».
La Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, et la Société générale mènent le financement de 400 millions de dollars accordé à la société BB Energy.
Invité au second congrès du parti islamiste mauritanien Tawassoul, du 20 au 22 décembre, le leader d’Ennahdha Rached Ghannouchi a eu droit à tous les égards lors de sa visite en Mauritanie.
La cinquième conférence régionale sur l’intégration économique maghrébine qui se déroule les 8 et 9 janvier dans la capitale Mauritanienne, Nouakchott, relance un processus au point mort depuis 2008.
La cinquième conférence régionale sur l’intégration économique maghrébine qui se déroule les 8 et 9 janvier dans la capitale Mauritanienne, Nouakchott, aboutit sur un accord pour la création de la Banque maghrébine d’investissement et du commerce extérieur (BMICE).
Alors que la cinquième conférence régionale du Maghreb se tient du 8 au 9 janvier à Nouakchott, la création de la Banque maghrébine de l’investissement et du commerce extérieur (BMIC) est au menu des discussions des gouverneurs des banques centrales des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA).
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a entamé l’année par une tournée africaine qui la mènera du Malawi, en Côte d’Ivoire puis en Mauritanie.