Fruit de plusieurs dizaines d’entretiens avec les leaders de la Coordination de l’opposition démocratique (COD), les principaux responsables de la société civile et des représentants du patronat, le projet de gouvernement d’union nationale de Messaoud Ould Boulkheir propose notamment la tenue d’un débat réunissant tous les acteurs politiques
Selon nos informations, après avoir été blessé par balle à l’abdomen et avoir été soigné à Paris, le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz est sorti de l’hôpital, mardi 23 octobre en fin d’après-midi. Il compte regagner prochainement Nouakchott.
Il s’appelle El Hadj Ould H’moudi. Il a 28 ans et est lieutenant de l’armée de l’air mauritanienne. Dans une interview à la télévision nationale, le 21 octobre, il a précisé les circonstances qui l’ont amené à tirer « par erreur » sur le président mauritanien, Mohamed Ould Abdelaziz. Voici sa version.
Dans un entretien à bâtons rompus avec J.A., quelques heures avant de s’envoler pour sa première tournée sur le continent, le président français évoquait l’Afrique subsaharienne, qu’il s’apprêtait à découvrir, et le Maghreb, dont il est plus familier. Confidences d’un homme curieux et attentif.
Blessé par balle(s) dans la soirée du samedi 13 octobre, le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz a été opéré à Nouakchott avant d’être transféré à l’hôpital militaire de Percy, près de Paris, où il est toujours hospitalisé. Alors que les circonstances dans lesquelles les coups de feu ont été tirés sont encore floues, de même que les informations sur la ou les blessures du président mauritanien, les nouvelles concernant son état de santé sont plutôt rassurantes.
Blessé par balle samedi soir lors d’un incident impliquant son armée, le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz a été hospitalisé près de Paris pour des soins complémentaires après avoir été opéré, avec succès selon lui,à Nouakchott.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a été blessé samedi par balle, a été opéré à l’hôpital militaire de Nouakchott et doit être évacué dimanche vers Paris pour des soins complémentaires, a affirmé à l’AFP une source sécuritaire.
Les dirigeants des pays du Sud de la Méditerranée se sont attachés à rassurer leurs homologues sur l’état de la démocratie dans leurs pays et appeler de leurs voeux une plus ample coopération, à l’occasion du sommet du Dialogue 5+5 vendredi à Malte.
L’Autralie, qui brigue un siège de membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies en 2013-2014, intensifie son lobbying auprès des pays africains susceptibles de faire basculer le vote.
Le président tunisien Moncef Marzouki s’est inquiété, mardi 2 octobre, de l’influence grandissante du mouvement jihadiste en Afrique du Nord. « Il y a un problème sécuritaire qui menace toute la région du Maghreb arabe », a-t-il déclaré, depuis New York, au journal saoudien « Al-Hayat », basé à Londres.
L’ancien ministre des Affaires étrangères du Ghana, Mohamed Ibn Chambas, semble tenir la corde pour le rôle d’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, pour la région du Sahel et la crise au Mali.
Liban, Égypte, Soudan, Tunisie, Yémen, Pakistan… Dans la foulée de l’attaque du consulat américain de Benghazi, le 11 septembre, qui a entraîné la mort de quatre fonctionnaires américains, dont l’ambassadeur Christopher Stevens, de nombreuses manifestations – plus ou moins violentes – étaient en cours dans l’après midi du vendredi 14 septembre. Toujours pour protester contre le film anti-musulmans « Innocence of Muslims ». On compte six morts à travers le monde.
Bamako a dépêché une équipe d’enquêteurs à Diabali pour tenter de faire toute la lumière sur le massacre de 16 prédicateurs désarmés, dont huit Mauritaniens, ainsi que leur chauffeur, dans la nuit de samedi 8 septembre. À Nouakchott, l’affaire passe très mal.
Alors que la moitié des prédicateurs qui ont succombé aux balles de l’armée malienne, dans la nuit de samedi 8 à dimanche 9 septembre, sont des ressortissants mauritaniens, Nouakchott dénonce un « assassinat collectif » et réclame une « enquête indépendante » afin que lumière soit faite sur ce « crime odieux ».
Seize prédicateurs maliens et mauritaniens, membres présumés de la secte Dawa, ont été tués par l’armée malienne à Diabali, dans le centre du Mali. Ils auraient refusé de s’arrêter à un contrôle routier.
Un site privé mauritanien d’informations a publié samedi une vidéo montrant quatre Français otages d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique, qui appellent tous à négocier pour leur libération, vidéo tournée fin août selon un des otages et diffusée à huit jours du deuxième anniversaire de leur rapt au Niger.
S’exprimant à l’occasion du Congrès international sur la violence contre les femmes à Casablanca, au Maroc, la chercheuse mauritanienne Aïcha Bah Bah s’est notamment attardée sur le drame de l’excision qui touche les femmes de son pays.
Biram Ould Abeid, une des figures de la lutte anti-esclavagiste en Mauritanie, a été libéré lundi 3 septembre au soir, officiellement pour raison de santé. Il est accusé d’avoir brûlé des ouvrages religieux légitimant selon lui les thèses esclavagistes.
Auteur de nombreux rapports incendiaires sur l’état de la justice dans son pays, Me Brahim Ould Ebetty est devenu l’un des poils à gratter du régime de Mohamed Ould Abdelaziz.
Plus que quelques jours avant la fin du ramadan. Pour fêter les dernières ruptures de jeûne du mois sacré, Jeune Afrique vous propose de suivre les conseils et recettes de la reine de la pâtisserie tunisienne, Moufida Masmoudi.
Une mission civile de l’Union européenne (UE) chargée d’aider le Niger à mieux lutter contre le terrorisme et la criminalité organisée a commencé à se déployer cette semaine à Niamey, a annoncé vendredi la représentation locale de l’UE.
Pour le professeur marocain de sciences politiques, Mohammed Mouaqit, il n’y a pas de contradiction insoluble entre une supposée loi religieuse et la recherche d’une modernité islamo-compatible.
Les dix partis de la Coordination de l’opposition démocratique (COD) ont signé samedi une charte rejetant toutes « les solutions à la crise politique » en Mauritanie qui ne prévoiraient pas le départ du président Mohamed Ould Abdel Aziz.