La « superjunior » Tullow Oil poursuit son expansion sur le continent, non sans heurts. Le point avec son vice-président, Tim O’Hanlon, sur ses projets et sur les difficultés qu’elle rencontre, en RDC, en Ouganda ou encore au Ghana.
Dans un communiqué, Aqmi indique être informée d’une opération « imminente » visant à libérer les otages qu’elle détient. Et menace de tuer ces derniers.
La société sud-africaine Exxaro lance une offre sur African Iron, qui exploite le gisement de Mayoko au Congo. Celle-ci est comprise entre 312 et 349 millions de dollars et a toutes les chances d’être acceptée, si elle ne l’est déjà.
Qui sera le prochain président de la Commission de l’Union africaine, ou le succésseur de Obiang Nguema à la présidence tournante de l’institution ? Ces sujets et bien d’autres seront au coeur des débats du prochain sommet général de l’UA à Addis Abeba, les 29 et 30 janvier prochains.
Accusé par la justice mauritanienne « d’appui financier au terrorisme », entre autres, Mustapha Chafi réagi avec fermeté. Le conseiller de Blaise Compaoré compte même porter plainte contre le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, qu’il estime à l’origine du mandat d’arrêt lancé contre lui. Interview d’un homme qui entend laver son honneur. À grande eau.
L’émir d’Aqmi le plus radical, Abou Zeid, a été condamné par contumace à Alger à perpétuité pour constitution de groupe terroriste international. Cinq membres de sa famille écopent de 10 ans de prison chacun.
Des hommes armés soupçonnés d’appartenir à Al-Qaïda au Sahel ont attaqué dans la nuit de jeudi à vendredi une caserne militaire dans le nord-est du Mali, sans faire de victimes, a appris l’AFP de sources sécuritaires maliennes.
Le mandat d’arrêt international émis contre Moustapha Ould Limam Chafi pour soutien à Al-Qaïda au Sahel marque une étape dans la lutte entre le régime mauritanien et cet opposant, qui est aussi un homme-clé en Afrique de l’Ouest, notamment pour les libérations d’otages.
Accusé de détournement de fonds, l’ancien commissaire aux droits de l’homme, Mohamed Lemine Ould Dadde, est maintenu en détention sans procès depuis plus d’un an.
Après une longue absence, la Mauritanie fait son retour dans l’arène internationale. Avec quelles priorités ? Entretien avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Hamadi Ould Baba Ould Hamadi.
Le général autoproclamé Baba Laddé à la tête d’une grande alliance ? À la tête du Front populaire, cet ancien sous-officier de l’armée tchadienne n’envisage rien de moins que de renverser le président Idriss Déby et appelle à la formation d’une grande alliance avec notamment Aqmi et le Polisario. Suffisant pour inquiéter le Tchad et la Centrafrique.
Opposition extraparlementaire au Maroc, opérations d’intimidation en Tunisie, percée électorale en Égypte… Quiétistes ou violents, les différents courants de l’islamisme radical, notamment le salafisme, se sentent pousser des ailes.
À la tête du collectif Touche pas à ma nationalité, Abdoul Birane Wane exige l’arrêt du recensement en cours. Il le juge discriminatoire à l’égard des populations noires mauritaniennes.
La bourgade d’hier compte désormais 1 million d’habitants, jeunes pour la plupart. Plongée dans la capitale mauritanienne Nouakchott, une cité en pleine métamorphose.
Pour le ministre de l’Habitat et de l’Aménagement du territoire, la lutte contre la précarité est prioritaire. Ismail Ould Bedde Ould Cheikh Sidiya estime également que dans les régions, le regroupement de localités va faciliter leur équipement en services de base
L’opposition mauritanienne apparaît plus que jamais divisée. Entre ceux qui ont participé au Dialogue national et ceux qui l’ont boycotté, rien ne va plus.
D’un côté, une gestion maîtrisée, des investissements en hausse et les premiers frémissements de la croissance. De l’autre, la crise financière internationale, l’aggravation de la pauvreté et la menace terroriste. Quel bilan, à mi-mandat, pour Mohamed Ould Abdelaziz ?
Total et BP ont signé à quelques jours d’intervalle deux deals d’exploration et de production au large des côtes africaines, en Mauritanie et en Angola.
Comment lutter contre Aqmi et la dissémination des armes ? Des centaines d’élus et de représentants de la société civile venus de toute la région se sont concertés à Bamako les 10 et 11 décembre.
À l’initiative du Parti de la renaissance nationale (Parena de Tiébilé Dramé), une concertation sur les crises du Sahel a réuni à Bamako, les 10 et 11 décembre, de nombreux responsables des pays de la sous-région : société civile, élus locaux ou nationaux et représentants de partis au pouvoir ou dans l’opposition. Le constat est amer et le désengagement de l’État malien fortement critiqué.
La Mauritanie a appelé dimanche à ne pas payer de rançons pour faire libérer les otages européens détenus dans le Sahel par la branche maghrébine d’Al-Qaïda, lors d’une réunion à Nouakchott de ministres de la Défense de dix pays d’Europe du sud et d’Afrique du nord.
Un groupe dissident d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué samedi, dans un double message audio et écrit transmis à l’AFP à Bamako, l’enlèvement fin octobre dans l’ouest de l’Algérie de trois coopérants européens de nationalité espagnole et italienne.
Si le marché bancaire mauritanien est très étroit, la venue d’opérateurs étrangers fait bouger les lignes. Derniers arrivés : le qatari QNB et le marocain Attijari.