Les autorités françaises rejettent en bloc les accusations du chef d’Aqmi, selon lesquelles des tractations étaient en cours pour libérer Michel Germaneau au moment de l’infructueux raid franco-mauritanien destiné à le faire évacuer.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) affirme que les négociations en vue de la libération de Michel Germaneau étaient « en cours » au moment du raid franco-mauritanien contre l’une de ses bases au Mali, dans la version complète du message diffusé par Al-Jazira le 25 juillet. L’organisation contredit la version du gouvernement français, selon qui l’attaque du 22 juillet était « l’opération de la dernière chance ».
La France veut avant tout « renforcer ses défenses » au Sahel après la mort de l’otage Michel Germaneau, dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l’exécution, indique le ministre des Affaires étrangères Bernard Koucher dans un entretien à paraître samedi dans « Le Parisien ».
Paris nie tout enlèvement de civils maliens au cours de l’opération anti-Aqmi menée conjointement par la France et la Mauritanie, le 22 juillet dernier en territoire malien. Mais ce n’est pas ce qu’affirment des représentants de la communauté arabe de Tombouctou qui ont porté plainte devant la justice malienne contre les armées française et mauritanienne.
Alors que les actions d’Aqmi font régulièrement les gros titres des journaux, la coopération militaire entre les États de la sous-région peine à produire ses effets. Décryptage.
Après la mort de l’otage français Michel Germaneau, le Premier ministre français François Fillon a déclaré que la France était « en guerre » contre Al-Qaïda au Maghreb islamique. Bernard Kouchner, le ministre des Affaires étrangères, a entamé une mini-tournée en Mauritanie, au Mali et au Niger pour réaffirmer son soutien à la lutte contre le terrorisme.
Le président français Nicolas Sarkozy, ainsi que deux personnalités maliennes, ont confirmé la mort de Michel Germaneau, l’otage français d’Aqmi qu’un raid franco-mauritanien a échoué à libérer.
Le président français Nicolas Sarkozy, ainsi que deux personnalités maliennes, ont confirmé la mort de Michel Germaneau, l’otage français qu’un raid franco-mauritanien a échoué à libérer.
Al-Qaïda au Maghreb islamique a annoncé avoir tué l’otage français Michel Germaneau dans un enregistrement diffusé par Al-Jazira dimanche soir. La France dit n’avoir « pas de confirmation » pour le moment.
Les opérations engagées contre Al-Qaïda au Maghreb islamique dans le nord du Mali ont pris fin samedi. À deux jours de la fin de l’ultimatum lancé par le groupe terroriste, les autorités françaises disent n’avoir aucune preuve de vie de l’otage français Michel Germaneau.
Une opération serait en cours au Mali pour obtenir la libération de l’otage français Michel Germaneau, détenu par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). L’inquiétude est particulièrement vive à Paris après une attaque qui a coûté la vie à six combattants du groupe terroriste jeudi.
Pour pallier une démographie en déclin, les autorités encouragent la venue d’étrangers, notamment francophones. Parmi eux, de nombreux Africains, à qui la France n’offre plus une telle hospitalité. Reportage.
Une opération de l’armée mauritanienne, soutenue par la France, a été menée contre le groupe d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui détiendrait l’otage français Michel Germaneau. Selon la presse espagnole, il s’agissait d’une tentative pour le libérer.
Pour étendre les surfaces irriguées dans la région de Ségou, l’État a dû faire appel à des investisseurs étrangers. Des milliers d’hectares ont été alloués à la Libye.
Considéré comme le principal responsable de l’enlèvement de trois Espagnols en Mauritanie, Omar Sid’Ahmed Ould Hamma a été condamné à douze ans de prison. Certains de ses complices présumés ont été acquittés quand d’autres suspects, en fuite, seront jugés par contumace.
Le procès des auteurs du rapt de trois Espagnols fin novembre 2009, dont deux sont toujours détenus par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a débuté mardi devant la cour criminelle de Nouakchott, en présence de quatre accusés sur onze
Treize pays africains ont défilé le 14 juillet sur les Champs-Élysées, à Paris. Leurs armées ont été créées de toutes pièces il y a cinquante ans, lors des indépendances. Et, depuis, ont connu des fortunes diverses. État des lieux.
Le responsable d’une organisation islamique a appelé les Etats africains à favoriser « la création d’écoles coraniques modernes » et à améliorer la formation de leurs maîtres.
Le gouvernement, depuis un an, combat la doctrine des terroristes en lui opposant une conception mauritanienne de la religion, faite de tolérance et de non-violence. Il s’appuie pour cela sur les imams et les érudits, avec des succès divers.
Les troupes africaines ont ouvert le défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, dans la capitale française mercredi. Douze chefs d’État étaient présents dans la tribune avec le président français Nicolas Sarkozy.