Le consortium Desertec s’ouvre à quatre nouveaux sociétaires, dont le marocain Nareva, producteur d’énergie renouvelable. Ils seront rejoints sous peu par la Steg, le principal opérateur électrique tunisien.
« Omar As-Sahraoui », l’auteur présumé de l’enlèvement de trois espagnols au nord de Nouakchott en décembre, a été écroué ce lundi. Deux d’entre eux sont toujours aux mains d’Al-Qaïda.
Les chefs de la diplomatie de sept pays de la bande sahélienne se sont réunis dans la capitale algérienne pour coordonner leurs efforts face à la menace djihadiste.
Face à la recrudescence des attaques d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), plusieurs organisations se sont rassemblées pour créer un « forum de l’islam modéré » en Afrique de l’Ouest. L’objectif : promouvoir les principes sacrés de l’islam, souvent méconnus des extrémistes.
Un juge fédéral a ordonné le 25 mars la libération d’un Mauritanien accusé de terrorisme. Les détenus de la prison la plus célèbre au monde peuvent désormais contester leur incarcération devant la justice.
Sept pays du Sahel ont participé à une « conférence de coordination » de la lutte contre le terrorisme à Alger mardi 16 mars. En ouverture de la réunion, la diplomatie algérienne s’était inquiétée des « développements dangereux » des groupes islamistes de la région et a insisté sur la nécessité « d’un engagement sans faille et sans conditions » des pays concernés.
La justice mauritanienne a inculpé lundi sept personnes pour leur « implication » dans l’enlèvement fin novembre de trois Espagnols dans le nord du pays, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
La libération du Français Pierre Camatte, enlevé au Mali et retenu par Al-Qaïda au Maghreb islamique, était conditionnée à la libération de quatre « militants » islamistes. Bamako a plié, ravivant les tensions avec l’Algérie et la Mauritanie qui jugent impardonnable la clémence de la justice malienne.
La nébuleuse salafiste d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a rendu sa liberté à la Catalane Alicia Gamez. Les raisons de cette libération restent incertaines.
La nouvelle loi antiterroriste que le gouvernement avait réussi à faire voter par le Parlement le 5 janvier dernier a été en partie censurée par le Conseil constitutionnel. L’opposition mauritanienne, à l’origine du recours, crie victoire.
L’Italien Sergio Cicala, retenu en otage depuis décembre avec sa femme par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a appelé son gouvernement à faire des « concessions » pour obtenir leur libération.
Cinq ans après l’euphorie née de la découverte de plusieurs gisements, la « nouvelle ère pétrolière » est loin d’avoir tenu ses promesses. Retour sur un rêve – pour le moment – déçu.
Comme on pouvait le prévoir, l’otage français a été relâché par ses ravisseurs d’Al Qaïda au Maghreb islamique. Mais les conditions de cette libération mettent à mal les relations diplomatiques du Mali avec ses voisins.
Comme la Mauritanie, l’Algérie a réagi vigoureusement à l’égard du Mali après la libération de quatre islamistes, réclamée par AQMI en échange de l’otage français Pierre Camatte. Visiblement obtenue sous la pression de Paris, la décision de Bamako risque de compliquer encore la coordination des pays de la région contre la nébuleuse terroriste.
Nouakchott a condamné la libération par les autorités maliennes de quatre islamistes, condition sine qua non imposée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) pour relâcher un otage français. La Mauritanie a rappelé son ambassadeur au Mali.
La cour criminelle de Nouakchott a condamné jeudi à 15 ans de prison ferme six Mauritaniens et un Français, reconnus coupables de trafic international de cocaïne, lors du plus important procès de la drogue organisé dans le pays. Un représentant de l’organisation policière internationale Interpol a été condamné à 7 ans de prison ferme.
Très affaiblie par neuf ans de harcèlement militaire, la nébuleuse terroriste n’est vraisemblablement plus une organisation structurée. Mais ses multiples émanations régionales, voire individuelles, sont aussi dangereuses qu’insaisissables.