À l’issue d’une visite de trois jours de Jean Ping à Washington, appelée désormais à se répéter chaque année, États-Unis et Union africaine ont convenu de « soutenir (leurs) intérêts mutuels et promouvoir (leurs) valeurs communes à travers un nouveau partenariat stratégique ».
Maladroites, les déclarations du Premier ministre sur l’arabité du pays suscitent une levée de boucliers au sein de la population d’origine subsaharienne.
Quatre États de la région du Sahara s’unissent pour lutter contre l’expansion d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Un quartier général commun, militaire et stratégique, a été mis en place dans le sud de l’Algérie, le 21 avril.
Inspiré de l’assassinat, en 2007, de touristes français en Mauritanie, le nouveau roman de Jean-Christophe Rufin sort en librairie le 21 avril. Rencontre avec un écrivain diplomate.
L’opposition mauritanienne ne cherche plus à dialoguer. Devant le refus d’Aziz de partager le pouvoir, ses adversaires n’ont plus qu’un but : la chute du régime.
Après le Français Pierre Camatte en février, puis l’Espagnole Alici Gamez en mars, Al-Qaïda au Maghreb islamique a libéré le couple d’Italiens qu’il retenait depuis quatre mois.
Le secrétaire d’État français aux Anciens Combattants, Hubert Falco, a annoncé que les troupes africaines seraient particulièrement mises à l’honneur lors du défilé militaire du 14 Juillet à Paris. Des détachements de quatorze pays francophones du continent, qui fêtent cette année le cinquantenaire de leur indépendance, sont invités à ouvrir la marche sur les Champs-Éysées. Seule la présence de l’armée ivoirienne demeure très hypothétique.
Le consortium Desertec s’ouvre à quatre nouveaux sociétaires, dont le marocain Nareva, producteur d’énergie renouvelable. Ils seront rejoints sous peu par la Steg, le principal opérateur électrique tunisien.
« Omar As-Sahraoui », l’auteur présumé de l’enlèvement de trois espagnols au nord de Nouakchott en décembre, a été écroué ce lundi. Deux d’entre eux sont toujours aux mains d’Al-Qaïda.
Les chefs de la diplomatie de sept pays de la bande sahélienne se sont réunis dans la capitale algérienne pour coordonner leurs efforts face à la menace djihadiste.
Face à la recrudescence des attaques d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), plusieurs organisations se sont rassemblées pour créer un « forum de l’islam modéré » en Afrique de l’Ouest. L’objectif : promouvoir les principes sacrés de l’islam, souvent méconnus des extrémistes.
Un juge fédéral a ordonné le 25 mars la libération d’un Mauritanien accusé de terrorisme. Les détenus de la prison la plus célèbre au monde peuvent désormais contester leur incarcération devant la justice.
Sept pays du Sahel ont participé à une « conférence de coordination » de la lutte contre le terrorisme à Alger mardi 16 mars. En ouverture de la réunion, la diplomatie algérienne s’était inquiétée des « développements dangereux » des groupes islamistes de la région et a insisté sur la nécessité « d’un engagement sans faille et sans conditions » des pays concernés.
La justice mauritanienne a inculpé lundi sept personnes pour leur « implication » dans l’enlèvement fin novembre de trois Espagnols dans le nord du pays, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
La libération du Français Pierre Camatte, enlevé au Mali et retenu par Al-Qaïda au Maghreb islamique, était conditionnée à la libération de quatre « militants » islamistes. Bamako a plié, ravivant les tensions avec l’Algérie et la Mauritanie qui jugent impardonnable la clémence de la justice malienne.
La nébuleuse salafiste d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a rendu sa liberté à la Catalane Alicia Gamez. Les raisons de cette libération restent incertaines.
La nouvelle loi antiterroriste que le gouvernement avait réussi à faire voter par le Parlement le 5 janvier dernier a été en partie censurée par le Conseil constitutionnel. L’opposition mauritanienne, à l’origine du recours, crie victoire.
L’Italien Sergio Cicala, retenu en otage depuis décembre avec sa femme par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a appelé son gouvernement à faire des « concessions » pour obtenir leur libération.