Les deux principaux candidats de l’opposition en Mauritanie ont signé mardi un accord pour un désistement réciproque au second tour de la présidentielle. L’accord sera également soumis à l’approbation du troisième candidat anti-putsch, Jemil Ould Mansour, président du parti islamiste Tewassou.
Les chefs d’Etat africains se retrouvent à partir de mercredi à Syrte, en Libye, sous la présidence de Mouammar Kadhafi qui met la pression sur son projet controversé de « gouvernement africain » alors que le continent est confronté à des crises menaçant la stabilité de plusieurs pays.
L’émissaire de l’ONU pour le Sahara Occidental, M. Christopher Ross, s’est déclaré lundi « optimiste » quant à l’organisation d’une « première rencontre informelle » entre le Maroc et le Front Polisario pour discuter de l’avenir de ce territoire.
Les dirigeants de l’opposition ont décidé de participer à l’élection présidentielle du 18 juillet et de déposer les dossiers de leurs candidats aux dates fixées par le Conseil constitutionnel, a affirmé lundi à l’AFP un haut responsable de l’opposition.
La pratique du gavage recule en Mauritanie mais beaucoup de travail reste à faire. Selon une étude du ministère des Affaires sociales, réalisée en 2008, au moins 20 pour cent des femmes mangent trop – soit de leur propre chef soit parce qu’elles sont forcées.
Les chefs de file de l’opposition ont finalement décidé qu’ils participeraient au scrutin du 18 juillet prochain, et vont déposer leurs dossiers de candidature dans les délais prévus par le Conseil constitutionnel.
Les différents acteurs de la crise mauritanienne sont parvenus à un accord vendredi. Le président déchu par le coup d’Etat du 6 août a signé un décret portant nomination d’un gouvernement transitoire d’union nationale. Le camp du général putschiste Mohamed Ould Abdelaziz remporte plusieurs postes clés et conserve celui de Premier ministre.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) a revendiqué l’assassinat, mardi à Nouakchott, d’un Américain. Le groupe terroriste appelle en outre les Mauritaniens à « aller au Jihad (guerre sainte) » contre les « croisés ».
Fin de sortie de crise en Mauritanie ? Un accord « sur tous les points » litigieux a été trouvé ce vendredi. Un gouvernement pourrait être nommé dans l’après-midi.
Le président mauritanien déchu a nommé vendredi un gouvernement d’union. Sidi Ould Cheikh Abdallahi a également démissionné après que le Haut conseil d’Etat (HCR, junte) a accepté de se transformer en Conseil supérieur de la défense.
Le président sénégalais s’est rendu jeudi en Mauritanie, où il a rencontré plusieurs acteurs de la crise qui secoue le pays. Des représentants de l’Onu, de l’Union Africaine ou encore de la Communauté des Etats sahélo-sahariens participent également aux pourparlers.
Le Conseil constitutionnel mauritanien a rejeté mercredi pour « non constitutionnalité » le décret pris la veille par le président intérimaire pour l’organisation de l’élection présidentielle du 18 juillet et qui était contesté par les candidats de l’opposition.
Les pourparlers inter-mauritaniens ont été suspendus mardi après-midi à Dakar et doivent reprendre dans les jours qui viennent à Nouakchott en présence d’une délégation internationale « de haut niveau », a annoncé le ministre sénégalais des Affaires étrangères.
Leur cause commune disparue – l’accord de Dakar ayant écarté le risque d’une élection illégitime du général Ould Abdelaziz à la présidence –, les leaders du front antiputsch nourrissent désormais des ambitions personnelles.
Un Américain, directeur d’école à Nouakchott, a été tué par balles mardi matin dans le centre de la capitale mauritanienne, a-t-on appris de source policière.
La coalition anti-putsch en Mauritanie a condamné, mardi dans un communiqué, le meurtre à Nouakchott d’un ressortissant américain, jugeant qu’il posait à nouveau « la problématique de l’insécurité et du terrorisme ».
Les différents protagonistes de la crise en Mauritanie ne sont pas parvenus à un accord lors de pourparlers organisés dimanche à Dakar. De nouvelles négociations sont prévues ce lundi.
Messaoud Ould Boulkheir, un des leaders de l’opposition aux putschistes du 6 août dernier, entend se présenter à l’élection présidentielle prévue en juillet prochain.
Le dirigeant du plus grand parti d’opposition en Mauritanie, Ahmed Ould Daddah, 66 ans, a été officiellement investi lundi soir par son parti comme candidat à l’élection présidentielle du 18 juillet.
« Aziz » a-t-il perdu ? Ses adversaires ont-ils gagné ? Il est encore un peu tôt pour répondre, mais une chose est sûre : l’accord arraché in extremis à Dakar, le 2 juin, et signé à Nouakchott le 4, a bouleversé le scénario du général Ould Abdelaziz.
Le colonel Ely Ould Mohamed Vall a annoncé samedi sa candidature à la présidentielle du 18 juillet. L’ancien chef de junte espère « travailler à la construction d’un pays réconcilié, politiquement et économiquement viable et stable ».
Le colonel Ely Ould Mohamed Vall participera à la prochaine élection présidentielle mauritanienne, prévue le 18 juillet. Le militaire avait laissé planer jeudi le doute sur ses intentions.
Un accord de sortie de crise politique en Mauritanie a été solennellement signé jeudi à Nouakchott, en présence du meneur du coup d’Etat militaire du 6 août et de ses adversaires de l’opposition, sous l’égide de la communauté internationale.
L’élection présidentielle prévue samedi en Mauritanie, boycottée par l’opposition, a été reportée au 18 juillet pour permettre la participation de toutes les forces politiques et mettre un terme à la crise née du coup d’Etat du 6 août, a annoncé un médiateur sénégalais.
L’ex-chef de la junte mauritanienne, le général Mohamed Ould Abdelaziz, mène tambour battant sa campagne pour être élu à la présidentielle du 6 juin, alors même qu’à Dakar, ses émissaires participent à des négociations incertaines sur un éventuel report du scrutin.