Le président mauritanien renversé le 6 août par un coup d’Etat, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a été « libéré » dimanche sur ordre de la junte, mais son entourage a déploré qu’il ait été convoyé « contre son gré » par des officiers, en pleine nuit, jusqu’à Nouakchott.
Le président mauritanien renversé le 6 août par un coup d’Etat, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a été « libéré » dimanche sur ordre de la junte, mais ses partisans ont aussitôt déploré qu’il a été convoyé « contre son gré » par des officiers, en pleine nuit, jusqu’à Nouakchott.
Le président mauritanien renversé le 6 août par un coup d’Etat, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a été « libéré » dimanche sur ordre de la junte, mais ses partisans ont aussitôt déploré qu’il ait été convoyé « contre son gré » par des officiers, en pleine nuit, jusqu’à Nouakchott.
Le président mauritanien renversé le 6 août par un coup d’Etat, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a été « libéré » dimanche sur ordre de la junte, mais ses partisans ont aussitôt déploré qu’il ait été convoyé « contre son gré » par des officiers, en pleine nuit, jusqu’à Nouakchott.
La pérennité de HandiFestival est un combat que toutes les personnes handicapées doivent mener a confié à APA, le président de l’association des Groupes Musiciens de Mauritanie, Mohamed Camara, en marge du HandiFestival qui se déroule du 19 au 20 Décembre à la Maison de la Culture Douta Seck.
Les préparatifs pour la mise en œuvre du programme de lutte contre les séquelles de l’esclavage sont initiés actuellement dans la région du Brakana, à quelques 250 kilomètres de Nouakchott, dans la vallée du fleuve Sénégal.
Le président élu et déchu mauritanien, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a affirmé dans un document publié dans le journal indépendant « Calame», qu’il a usé « de tous les moyens pour épargner (son) pays d’une crise politique ».
Le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), opposé au putsch du 6 août 2008, a réitéré par la voix de son président en exercice, M. Bodjel Ould Homeid, son refus de participer aux états généraux sur la démocratie, prévus pour le 27 décembre.
Les états généraux de la démocratie, préparant le retour de la Mauritanie à l’ordre institutionnel, seront organisés le 27 décembre prochain, a annoncé à Nouakchott, le Premier ministre mauritanien, M. Moulaye Ould Mohamed Leghdhaf.
Transféré dans son village natal, où il est toujours en résidence surveillée, le président déchu n’envisage pas ouvertement de compromis avec la junte au pouvoir.
Le général au pouvoir en Mauritanie depuis le putsch d’août s’est engagé à libérer « sans conditions » le président déchu, un « premier élément de réponse » aux exigences de la communauté internationale, ont indiqué vendredi l’Union européenne et l’Union africaine.
Yahya Ould Ahmed El Waghef, ex Premier ministre du dernier gouvernement du président déchu de Mauritanie M. Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a refusé de payer une caution pour obtenir une liberté provisoire ont annoncé jeudi à la presse ses avocats.
Le nouvel administrateur-directeur général de la Snim est fermement décidé à maintenir les investissements de la première entreprise du pays. Crise politique ou pas.
Le Conseil constitutionnel mauritanien a rejeté des amendements au règlement intérieur de l’Assemblée nationale destinés à destituer le Président Messaoud Ould Bulkheir, ont annoncé à APA, des sources parlementaires à Nouakchott.
Quatre mois après avoir renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi, le chef de l’État autoproclamé a trouvé une légitimité auprès des plus démunis. Mais ses mesures populistes n’ont convaincu ni la communauté internationale ni le front de soutien au président déchu.
L’ex premier ministre de Mauritanie M. Yahya Ould Ahmed El Waghef, poursuivi dans deux affaires actuellement devant la Justice, devra verser 105 millions d’ouguiyas soit 327. 000 euros pour bénéficier d’une liberté provisoire.
La justice mauritanienne a fixé une caution de 327. 000 euros pour remettre en liberté provisoire le Premier ministre mauritanien renversé par le putsch du 6 août, Ould Ahmed Waghf, écroué le 20 novembre dans le cadre de deux affaires, a indiqué une source judiciaire.
APA-Nouakchott (Mauritanie) Une délégation conjointe de l’Union africaine, des Nations Unies, de l’Union européenne, de l’Organisation internationale de la Francophonie, de la Ligue Arabe et de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), est arrivée samedi à Nouakchott dans le cadre de la recherche de solution à la crise née du coup d’Etat du 6 août 2008.
APA-Nouakchott (Mauritanie) Une délégation conjointe de l’Union africaine, des Nations Unies, de l’Union européenne, de l’Organisation internationale de la Francophonie, de la Ligue Arabe et de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), est arrivée samedi à Nouakchott dans le cadre de la recherche de solution à la crise née du coup d’Etat du 6 août 2008.
Le général Abdel Aziz, aux commandes de la Mauritanie depuis le coup d’Etat mené il y a quatre mois, recherche le soutien des populations en affichant une politique de proximité favorable aux pauvres, que le Front anti-putsch dénonce comme un « populisme éhonté ».
173 militants de l’APP (Alliance populaire progressiste) de Messaoud Ould Boulkhair au niveau de la circonscription de Méderdra, dans la région du Trarza (165km au sud de Nouakchott), ont annoncé jeudi à Nouakchott, leur démission collective de cette formation politique et leur adhésion à la majorité soutenant les autorités militaires, au pouvoir depuis le 6 août 2008.
La tentative de destituer le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkair par les parlementaires soutenant le putsch du 6 août 2008 constitue un second coup d’Etat, a déclaré le député Khalil Ould Tiyib, vice-président de l’APP (Alliance Populaire Progressiste) à APA, à Nouakchott
Transféré dans son village natal, où il est toujours en résidence surveillée, le président déchu n’envisage pas ouvertement de compromis avec la junte au pouvoir.