Le chef de l’Etat mauritanien renversé le 6 août, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, doit faire partie, « en tant que président », « de la recherche d’une solution » à la crise politique en Mauritanie, a déclaré lundi le représentant spécial des Nations unies en Afrique de l’Ouest, Saïd Djinnit.
Le gouvernement mauritanien a promis à des milliers de citoyens rapatriés, en attente de se voir délivrer leurs documents légaux depuis près d’un an, qu’ils recevraient leurs cartes d’identité d’ici à la fin de l’année.
L’ancien Premier ministre mauritanien, Yahya Ould Ahmed El Waghev, a été inculpé et écroué dans l’affaire de banqueroute de la société publique ‘’Air Mauritanie’’, a appris APA de source judiciaire vendredi à Nouakchott.
Après le coup d’État et la dernière attaque terroriste, en septembre, les professionnels du tourisme craignent que la saison qui débute ce mois-ci se révèle catastrophique.
121 militants de l’Alliance populaire progressiste (APP), dirigée par Messaoud Ould Boulkhair, président de l’assemblée nationale, et opposée au putsch du 6 août 2008, viennent de démissionner de cette formation politique et annoncé leur soutien ‘’solennel et sans réserve’’ au haut conseil d’Etat qui a renversé le président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a appris APA à Nouakchott de source bien informée.
Dix-huit mois après l’entrée en production du champ de Chinguetti, l’opérateur australien se débarrasse de ses actifs mauritaniens. Et tourne définitivement la page de l’aventure africaine.
APA-Nouakchott (Mauritanie) Le parquet de Nouakchott a ordonné jeudi l’ouverture d’une enquête sur la liquidation de la société Air Mauritanie et la gestion du plan d’urgence décrété par le président déchu pour pallier à la cherté des prix des denrées de première nécessité.
À la tête de la junte qui a renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi le 6 août, le général Mohamed Ould Abdelaziz, chef de l’État autoproclamé, a bien promis une « élection présidentielle libre et transparente », mais il n’a pas pour autant rassuré ceux qui s’
Le 6 août, vers 7 heures, un communiqué de la présidence annonce le limogeage des quatre principaux chefs de l’armée. Deux heures plus tard, le chef de l’État est arrêté, sans qu’un coup de feu soit tiré. Une fâcheuse tradition qu’on voulait croire oublié