Depuis leur réouverture en décembre 2017, les circuits dans l’Adrar attirent de plus en plus de voyageurs, séduits par la beauté du désert et des cités anciennes.
En dépit des difficultés du secteur minier, les indicateurs s’améliorent, notamment grâce à des ajustements budgétaires et à la croissance du PIB non extractif. Mais beaucoup reste à faire en matière de climat des affaires.
Dans le camp de Mbera, des dizaines de milliers de réfugiés maliens vivent dépossédés de tout. Les populations locales, les autorités et les organisations internationales soulagent en partie leurs peines, mais l’incertitude demeure quant à leur hypothétique retour au pays.
Dans les rangs de l’Union pour la République (UPR), le parti du président Mohamed Ould Ghazouani, certains critiquent la faible présence de proches de Mohamed Ould Abdelaziz dans l’équipe gouvernementale, allant même jusqu’à soupçonner le nouveau chef de l’État de vouloir lancer son propre mouvement.
Après leurs résultats décevants à la présidentielle, deux des principales forces politiques, Tawassoul et l’Union des forces de progrès, tentent de surmonter leurs divisions.
Investi à la tête de l’État le 1er août, Mohamed Ould Ghazouani pose les premiers jalons de son programme, reçoit les représentants de la classe politique et rompt progressivement avec le style de son mentor et prédécesseur.
L’investiture du nouveau chef de l’État, Mohamed Ould Ghazouani, le 1er août, a été l’occasion de la première passation de pouvoir entre un président et son successeur tous deux élus. Une évolution qui ne s’accompagnera pas nécessairement d’un renouveau politique, et en tout cas certainement pas d’une rupture.
Président de la Mauritanie depuis le 1er août, il délègue davantage que Mohamed Ould Abdelaziz, son prédécesseur et ami intime, qui aimait tout contrôler. Ses collaborateurs, qui l’aident à mettre en oeuvre son programme (dont les priorités sont l’économie et la justice sociale), ont donc acquis un plus grand poids politique.
L’ancien juge antiterroriste français, qui conseillait l’ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, a été reçu mi-septembre par le président Mohamed Ould Ghazouani. Et Jean-Louis Bruguière a également décroché des contrats dans plusieurs capitales africaines…
Leader de l’opposition depuis qu’il est arrivé deuxième à la présidentielle, le militant antiesclavagiste voit dans l’élection de Mohamed Ould Ghazouani la perpétuation du système Ould Abdelaziz, qu’il a toujours combattu. Mais il se dit ouvert à la négociation…
Le militant antiesclavagiste mauritanien Biram Dah Abeid, arrivé en deuxième position à l’élection présidentielle de juin, est en minitournée à l’étranger.
Avec «Le Mariage de Verida», la réalisatrice italienne Michela Occhipinti ausculte les traditions de la Mauritanie et les aspirations des jeunes femmes du pays.
Ismaïl Ould Bedda Ould Cheikh Sidiya (58 ans) est de retour sur la scène politique mauritanienne. Jeune Afrique vous propose dix choses à savoir sur ce discret ingénieur, que Mohamed Ould Ghazouani, le nouveau chef de l’État, a nommé Premier ministre le 3 août.
Après la fin de son mandat et la transmission du pouvoir à son dauphin Mohamed Ould Ghazouani, l’ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz a profité de vacances en famille en Turquie.
Mohamed Ould Ghazouani, le nouveau président mauritanien, a nommé son gouvernement. Certains ministres très influents de Mohamed Ould Abdelaziz ont été reconduits.
Rudolph Granier, directeur régional Sahel de l’Institut républicain international, analyse les défis qui attentent le nouveau président mauritanien, Mohamed Ould Ghazouani.
La cérémonie d’investiture du nouveau président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani a été l’occasion pour lui de plonger dans le grand bain diplomatique, d’abord accompagné de son prédécesseur et mentor Mohamed Ould Abdelaziz, puis seul.
Deux jours après avoir été officiellement investi président, Mohamed Ould Ghazouani a nommé samedi son Premier ministre, le très discret Ismaïl Ould Bedda Ould Cheikh Sidiya. L’équipe gouvernementale devrait être annoncée dans les prochains jours.
Les figures historiques de l’opposition mauritanienne ont été défaites lors de la présidentielle du 22 juin. À cause de leurs divisions ? Ou parce que la relève n’a pas été préparée ?
Tous ceux qui espèrent ou qui redoutent une rupture entre le président Mohamed Ould Abdelaziz et son successeur élu Mohamed Ould Ghazouani en ont été pour leurs frais, jeudi 1er août, lors de la cérémonie d’investiture de ce dernier au Centre international des conférences El Mourabitoune à Nouakchott.
À la veille de l’investiture jeudi 1er août de son successeur et dauphin Mohamed Ould Ghazouani, le président sortant Mohamed Ould Abdelaziz a offert à Nouakchott un dîner d’adieu à plus de 400 convives, dont de nombreux chefs d’État et hauts responsables africains.
Condamné à mort pour blasphème en 2014, le blogueur mauritanien Mohamed Cheikh Ould Mkheïtir a été remis en liberté le 29 juillet, après plus de cinq ans de détention. Il a immédiatement quitté Nouakchott pour le Sénégal.
Le chef de l’État mauritanien, très critique sur l’absence des financements promis pour le G5 Sahel, a décidé d’écourter la mission du général mauritanien Hanena Ould Sidi. Celui-ci avait été nommé à la tête de la force conjointe antiterroriste il y a moins d’un an.
Le militant antiesclavagiste mauritanien Biram Dah Abeid s’est entretenu dimanche 14 juillet avec le ministre de la Fonction publique, afin de discuter des conditions d’un dialogue avec le nouveau pouvoir du président élu Mohamed Ould Ghazouani.