Le 14 juillet, le Hamas a annoncé son retrait des négociations sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne meurtrière qui a visé le chef militaire du mouvement palestinien islamiste Mohamed Deif.
Deux hauts responsables du Hamas ont annoncé dimanche l’arrêt des négociations sur un cessez-le-feu à Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne ayant ciblé son chef militaire.
Le réformateur Massoud Pezeshkian, élu président au début du mois, a confirmé sa volonté d’ouverture diplomatique dans une tribune parue le 13 juillet.
Dans un rapport publié le 11 juillet, l’armée israélienne a reconnu son « échec » lors de l’attaque sanglante du Hamas contre le kibboutz Beeri, le 7 octobre.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé soutenir la position du Hamas dans les négociations avec Israël pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, répétant qu’en cas d’accord, son parti mettrait fin à ses attaques depuis le sud du Liban.
La mort brutale de Bassel, son frère aîné, a projeté « le docteur Bachar » sur la scène politique en 1994. Six années plus tard, il succède à son père, Hafez al-Assad, et hérite d’un État policier à l’économie chancelante. Portrait signé, à l’époque, dans JA, par François Soudan.
Un nouveau cycle de discussions en vue d’un cessez-le-feu associé à des libérations d’otages doit commencer « très probablement » le 10 juillet à Doha.
Au dixième mois de la guerre, le mouvement palestinien a dit accepter de négocier sur la libération des otages en l’absence d’un cessez-le feu permanent avec Israël.
Le député réformateur Massoud Pezeshkian, qui plaide pour une ouverture de l’Iran vers l’Occident, a remporté ce samedi le second tour de la présidentielle, devant l’ultraconservateur Saïd Jalili.
Réformiste contre ultraconservateur : quelque 61 millions d’Iraniens votent aujourd’hui pour départager Masoud Pezeshkian et Saïd Jalili, sortis en tête du premier tour il y a une semaine.
Israël retourne à la table des négociations au Qatar, à l’heure où la guerre ne connaît pas de répit avec de nouveaux tirs israéliens dans le sud du territoire palestinien.
Des dizaines de milliers de Palestiniens ont fui le sud de la bande de Gaza après un ordre d’évacuation d’Israël qui fait craindre une nouvelle offensive d’envergure dans cette partie du territoire palestinien.
Dix mois après le coup d’État, la situation de la famille Bongo reste incertaine. Les fils cadets de Sylvia et Ali Bongo Ondimba se sont envolés pour le Royaume-Uni à la mi-juin.
Bénéfice en hausse de 39 % sur un an, chiffre d’affaires en progression de 6 % : la compagnie aérienne affiche la meilleure performance financière de ses 27 ans d’histoire.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Quasiment inconnu lorsqu’il est entré dans la course, le député Massoud Pezeshkian a réalisé la performance d’obtenir 42,5 % des suffrages le 28 juin, devançant l’ancien négociateur du dossier nucléaire, crédité de 38,6 % au premier tour.
La population de la bande de Gaza continue à fuir sous les bombardements alors que le Hamas affirme que l’armée israélienne a commencé une offensive terrestre.
L’ONU craint une escalade régionale entre Tsahal et le Hezbollah, alors que l’armée israélienne réorganise ses forces vers la frontière avec le Liban et multiplie les menaces contre l’organisation islamiste.
Experts et militaires s’accordent sur un point : la longueur de la phase qui commence, entre baisse de l’intensité des combats et reconstruction politique.
Selon le journal britannique The Telegraph, des missiles et des explosifs, livrés par l’Iran au Hezbollah, son allié libanais, sont secrètement entreposés à l’aéroport de Beyrouth. Des accusations infondées, selon le ministre libanais des Transports.
Le bilan des victimes a encore été revu à la hausse par les autorités saoudiennes. Qui indiquent que la plupart des victimes n’avaient pas d’autorisation pour ce grand pèlerinage de La Mecque, qui s’est tenu sous des chaleurs extrêmes.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, se projette dans le nord, après son offensive terrestre menée dans la ville du sud de la bande de Gaza contre le Hamas.
Alors que le CICR a recensé, vendredi, 22 morts dus à des tirs près de son bureau de Gaza, l’armée israélienne poursuit samedi ses frappes sur le nord du territoire.
Au moins 650 des victimes sont de nationalité égyptienne. Lors du hajj qui s’est déroulé la semaine dernière à La Mecque, les températures ont atteint les 51,8 degrés.
Après des négociations avec l’ONU, Israël a accepté dimanche 16 juin une pause dans ses opérations dans une zone du sud de Gaza dévastée et menacée par la famine.