Les forces irakiennes ont annoncé dimanche avoir repris le site antique de Nimrod, un joyau de l’Antiquité, sur leur route vers Mossoul, où les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) opposent une forte résistance.
Des Syriennes ayant vécu sous la coupe du groupe État islamique (EI) racontent comment des couples ont été brisés dans leur village, où les jihadistes ont notamment empêché des maris travaillant à l’étranger de rentrer chez eux.
La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle pourrait bien se traduire par une politique américaine plus favorable qu’auparavant à Israël, selon les experts. Même si tous rappellent que l’homme est « imprévisible ».
L’ancien général chrétien a été élu par le Parlement libanais ce lundi. Son accès au pouvoir est le résultat d’un compromis entre les chrétiens, le Hezbollah, et le clan Hariri.
Où va pouvoir se ravitailler l’impressionnante escadre de huit bateaux de guerre russes qui fait route en ce moment vers la Méditerranée orientale ? Les dernières possibilités de ravitaillement se situent sur la côte sud de la Méditerranée, en Égypte ou en Algérie par exemple.
Malgré la disproportion des forces, la bataille de Mossoul, capitale du pseudo-califat, pourrait, comme à Syrte, s’éterniser. Radiographie d’une résilience à la fois militaire et sociopolitique.
Lundi, les forces armées irakiennes se sont lancées à l’assaut de Mossoul, dans le nord du pays. Une offensive aussi décisive stratégiquement qu’importante symboliquement, car la ville demeure le dernier bastion de l’État islamique sur le sol irakien.
Pour traquer les sympathisants de Daesh, l’armée recourt de plus en plus à des informateurs anonymes. Lesquels en profitent parfois pour assouvir une vengeance personnelle.
Ces deux États pivots du Moyen-Orient, alliés stratégiques, tiennent des positions radicalement opposées sur les dossiers les plus brûlants du moment, notamment sur la Syrie. Jusqu’à créer un climat de tension entre les diplomates du Caire et de Ryad.
La Fédération palestinienne de football demande à ce que les clubs des colonies juives de Cisjordanie soient exclues des ligues israéliennes dans lesquelles elles évoluent. Une question politiquement très sensible qui est à l’ordre du jour d’une réunion de la Fifa jeudi et vendredi.
Au vu des tensions avec l’administration Obama, l’aide militaire record obtenue par Netanyahou semble relever de l’exploit. Mais certaines clauses de l’accord en relativisent l’ampleur.
La coalition arabe au Yémen, conduite par l’Arabie saoudite, s’est déclarée prête à associer les États-Unis à une enquête immédiate sur les raids qui ont fait plus de 140 morts et 525 blessés samedi à Sanaa.
Des « dizaines » de personnes ont été tuées et « des centaines » blessées samedi dans la capitale yéménite Sanaa dans des raids aériens menés par la coalition arabe qui soutient les forces gouvernementales, ont affirmé les rebelles chiites Houthis sur leur site Sabanews.net.
Du chaos irakien, né de l’aventurisme de George W. Bush, au pourrissement syrien, aggravé par la pusillanimité de Barack Obama, le Moyen-Orient a payé le plus lourd tribut aux expériences extrêmes des États-Unis ces quinze dernières années en matière de politique étrangère.
Un texte de Gérard Haddad, psychiatre et psychanalyste, collaborateur régulier à la Revue, auteur de plusieurs ouvrages dont « Lacan et le judaïsme » (1996).
La réduction des revenus pétroliers pèse sur les recettes de Riyad et oblige le Royaume à mettre en oeuvre une politique d’austérité. Depuis dimanche, les Saoudiens utilisent le calendrier grégorien au plus grand dam des fonctionnaires du pays qui s’apprêtent à travailler 11 jours supplémentaires sans augmentation de salaire.
Même s’il avait annoncé sa venue la veille, le président de l’Autorité palestinienne peut être considéré comme l’invité surprise des funérailles de Shimon Peres, vendredi septembre.
L’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme (OSDH) a affirmé vendredi que les frappes de l’aviation russe ont coûté la vie à plus de 3800 civils et blessé 20 000 d’entre eux en un an.
L’ancien président israélien Shimon Peres est mort mercredi. Prix Nobel de la Paix en 1994, dernier grand artisan des accords d’Oslo signés l’année précédente, il était l’un des derniers artisans du dialogue israélo-palestinien encore en vie après la disparition de Yasser Arafat et d’Yitzhak Rabin.
La trêve négociée par les États-Unis et la Russie semble respectée en Syrie, où les combats ont quasiment cessé depuis deux jours. L’ONU espère profiter de cette accalmie pour distribuer de l’aide humanitaire dans la ville d’Alep.
Shimon Peres, 93 ans, a été hospitalisé en urgence mardi soir près de Tel-Aviv et placé sous anesthésie et assistance respiratoire à la suite d’un accident vasculaire cérébral.
Il y a un an, le 24 septembre 2015, le hajj a été le théâtre d’une énorme bousculade, particulièrement meurtrière : 717 morts, selon un bilan des autorités saoudiennes qui n’a jamais été actualisé, 2 300 selon les décomptes des gouvernements étrangers. Jeune Afrique revient sur les mesures de sécurité prises cette année.
Le président iranien Hassan Rohani a appelé mercredi les pays musulmans à s’unir pour punir l’Arabie saoudite pour ses « crimes », en référence aux conflits en Syrie et au Yémen, mais aussi à la bousculade du 24 septembre 2015 qui s’était soldée par la mort de 2300 pèlerins, dont 464 Iraniens.
Alors que Téhéran et Ryad n’ont pas réussi à trouver un accord concernant la venue des pèlerins iraniens lors du hajj de cette année, le guide suprême iranien a violemment critiqué lundi les dirigeants saoudiens et exhorté les musulmans à reconsidérer la gestion des lieux saints par Ryad.
Laziz le tigre s’est réveillé vendredi dans l’herbe grasse d’un refuge animalier à Bethlehem, en Afrique du Sud, à des milliers de kilomètres de Gaza et de sa sinistre cage de l’un des pires zoos du monde.
L’un des groupes les plus puissants de l’insurrection syrienne annonce sa rupture avec le commandement central de l’internationale terroriste. Nouveau départ ou coup de com ?
Le groupe Etat islamique a libéré des centaines de civils qu’il avait emmenés comme boucliers humains en se retirant de son fief stratégique de Minbej, dans le nord de la Syrie, après avoir été mis en déroute par des combattants soutenus par Washington.
Des combattants du groupe jihadiste État islamique ont enlevé vendredi environ 2000 civils qu’ils ont utilisés comme boucliers humains en fuyant la ville de Minbej dans le nord de la Syrie, a-t-on appris de sources indépendantes.