Depuis le début des bombardements de la coalition dirigée par les États-Unis contre l’État islamique, près de 45 000 combattants du groupe jihadiste ont été éliminés en Irak et en Syrie, d’après le général américain au commande des opérations.
Depuis la guerre de l’été 2006, l’État hébreu et le Hezbollah se préparent à une nouvelle confrontation. Pour l’instant, le conflit syrien retarde l’échéance. Mais pour combien de temps encore ?
Au Pakistan, plus de 70 personnes ont perdu la vie à la suite de la détonation de la charge explosive d’un kamikaze au milieu d’une foule en deuil, devant un hôpital du sud-ouest du pays. Une attaque revendiquée par une branche pakistanaise des Talibans.
Le parlement israélien a décidé d’abaisser l’âge minimum pour l’emprisonnement d’un coupable d’acte « terroriste grave » de 14 à 12 ans. Une décision dénoncée par les militants des droits de l’Homme.
Depuis le 15 juillet, plus de 18 600 personnes ont été placées en garde à vue et 10 137 d’entre elles ont été inculpées et placées en détention préventive, a annoncé samedi le président turc Recep Tayyip Erdogan deux semaines après le putsch raté.
Si la politique d’emmurement total mise en œuvre par Tel-Aviv a fait baisser le nombre de migrants, elle est loin d’être l’unique solution aux problèmes de sécurité du pays.
Des centaines de généraux et de magistrats ont été arrêtés à travers la Turquie pour leur soutien présumé à la tentative de putsch dans ce qui s’apparente à une vaste purge, suscitant de fermes mises en garde de l’étranger.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui veut consolider son pouvoir ébranlé après l’échec du putsch militaire, a réclamé à Washington l’extradition du prédicateur en exil Fethullah Gülen, son ennemi juré qu’il accuse d’avoir fomenté le coup de force.
Le Premier ministre turc a annoncé samedi à la mi-journée l’échec de la tentative de putsch de militaires rebelles, qui a fait au moins 265 morts, mais le président Recep Tayyip Erdogan exhortait ses sympathisants à rester dans les rues pour faire face à toute « nouvelle flambée ».
Exaspérés par les calculs politiciens et l’alarmisme à tout-va de Benyamin Netanyahou, d’anciens hauts responsables de l’armée sont désormais en première ligne pour le faire tomber.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan semblait avoir repris la main samedi matin après une tentative de putsch sanglante de militaires rebelles à laquelle se sont opposées des forces loyalistes et des dizaines de milliers de personnes descendues dans les rues du pays.
Reporter de guerre réputé, observateur attentif des aspects les plus sombres de son pays, le photographe Britannique a réalisé un travail considérable sur les ruines romaines du Maghreb et du Moyen-Orient – avant que ne déferle la folie destructrice de Daesh.
La tournée africaine du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, qui s’achève ce jeudi, fut riche en symboles. En misant sur la lutte antiterroriste et le partage de la mémoire, l’État hébreu espère regagner sa place sur le continent. Et renforcer sa posture sur la scène internationale.
Les autorités musulmanes ont condamné mardi avec force l’attentat suicide sans précédent perpétré lundi soir en Arabie saoudite, près de la Mosquée du Prophète à Médine, deuxième ville sainte de l’islam après La Mecque.
Ce n’est certainement pas un hasard si le Premier ministre israélien a choisi l’Ouganda pour débuter son périple africain. Ce 4 juillet marquait en effet le quarantième anniversaire du raid israélien contre les preneurs d’otages du vol 139 d’Air France. Un raid au cours duquel son propre frère, Yonatan Netanyahou a trouvé la mort.
Dans la nuit du 3 au 4 juillet 1976, l’aéroport international d’Entebbe, en Ouganda, est le théâtre d’une improbable opération militaire israélienne visant à libérer une centaine de ressortissants retenus en otage par le Front Populaire de Libération de la Palestine.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, entame ce lundi, une visite de cinq jours dans quatre pays d’Afrique subsaharienne. Très attendue, sa tournée sur le continent est la première d’un chef de gouvernement israélien depuis 1987.
Loin des clichés sur le silence auquel seraient vouées les Saoudiennes, une enquête de la journaliste Clarence Rodriguez relate le parcours de plusieurs féministes du royaume dont la lutte n’est pas si infructueuse.
Suite à la bousculade meurtrière de septembre 2015 qui a fait plus de 2297 morts, l’Arabie saoudite mettra à la disposition des pèlerins des bracelets électroniques pour pouvoir les identifier. Outre leurs données personnelles, ces appareils seront dotés d’un GPS.
Le Conseil d’État égyptien, la plus haute juridiction administrative du pays, a annulé mardi la rétrocession à l’Arabie saoudite de deux îles de la mer Rouge, contestant la possibilité de céder à Riyad ces territoires égyptiens, a-t-on appris de sources judiciaires.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé samedi qu’un projet de réaménagement de la fameuse place Taksim d’Istanbul, à l’origine d’une violente fronde antigouvernementale en juin 2013, irait de l’avant malgré l’hostilité de la société civile.
Une Néerlandaise de 22 ans a été condamnée lundi à un an de prison avec sursis pour adultère par un tribunal de Doha (Qatar), alors qu’elle avait porté plainte pour viol, a déclaré une source judiciaire citée par l’AFP.
Un charnier contenant des centaines de corps a été découvert près de la ville irakienne de Fallouja, dans laquelle les forces paramilitaires chiites menacent d’entrer si les forces gouvernementales tardent à reprendre ce bastion du groupe État islamique (EI).
Pour consolider sa majorité, le Premier ministre décide de se rapprocher de l’extrême droite plutôt que de la gauche. Un choix qui ne fait guère l’unanimité, pas même dans son propre camp.
Adepte des déclarations à l’emporte-pièce, le président turc Recep Tayyip Erdogan a estimé lundi qu' »aucune famille musulmane » ne peut accepter la contraception et le planning familial, avant d’en appeler « aux mères pour accroître le nombre de Turcs ».
L’Iran a annoncé dimanche qu’il n’enverrait pas cette année de pèlerins au hajj à La Mecque en Arabie saoudite, en accusant les autorités saoudiennes d’entraves, dernière crise en date entre les deux grands rivaux régionaux.
Le conservateur modéré Ali Larijani a été largement réélu dimanche président du Parlement iranien avec 173 voix contre 103 à son adversaire réformateur Mohammad Reza Aref, lors d’un vote retransmis en direct à la radio publique.