Trois responsables majeurs de l’appareil sécuritaire dénoncent avec des mots très durs des comportements qui ont récemment sali l’honneur de Tsahal. Et de l’État juif.
Au moins 60 000 personnes sont mortes en cinq ans sous la torture ou à cause des terribles conditions de détention dans les prisons du régime syrien, a affirmé samedi l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
Le vice-prince héritier lui a confié le portefeuille le plus sensible du royaume des Saoud : celui de l’Énergie. Khalid al-Falih sera-t-il bon stratège ?
Cinq ans après le début de la rébellion, l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu parrainé par Washington et Moscou aura largement profité au maître de Damas, désormais en position de force.
Trois journalistes espagnols, détenus pendant près de dix mois par Al-Qaïda en Syrie, ont regagné leur pays dimanche après avoir été libérés au terme de discrètes tractations.
En remaniant le gouvernement saoudien, le roi Salmane et son tout-puissant fils Mohammed ont mis l’appareil d’Etat en ordre de marche pour lancer leur plan visant à rendre l’économie moins dépendante du pétrole, selon des experts.
Le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, l’homme le plus influent au sein de l’Opep, a été limogé samedi par un décret royal, a annoncé la télévision d’Etat El-Ikhbariya.
Les Gazaouis se sont de nouveau réveillés samedi au bruit des explosions dans la petite enclave où armée israélienne et groupes armés palestiniens échangent depuis quatre jours des tirs qui ne s’arrêtent pas malgré les assurances des deux camps de vouloir éviter l’escalade.
Ministre de la Défense et deuxième dans l’ordre de succession, le fils préféré du monarque saoudien concentre de nombreux pouvoirs entre ses mains. Dans la famille royale, certains grincent des dents…
50 millions de personnes en Afrique du Nord et au Moyen-Orient ont dû payer des pots-de-vin en échanges de services publics l’année dernière, estime l’organisation anti-corruption Transparency international, qui a publié mardi son rapport sur la corruption dans la région.
Commencée sous les auspices pleins d’espoirs du Printemps arabe, la crise syrienne est entrée dans sa cinquième année le 15 mars 2016. Interview de Samir Aïta, économiste, journaliste et opposant syrien au régime de Bachar al-Assad.
Le chanteur et musicien irano-saoudien Alaa Wardi impressionne une nouvelle fois avec sa dernière vidéo, consacrée à la richesse et à la variété de la musique arabe depuis la fin du XIXe siècle. Le tout en six minutes.
Déjà annoncée comme délicate, la visite de Barack Obama cette semaine à Ryad sera rendue encore plus épineuse par un projet de loi américain qui permettrait aux familles des victimes du 11-Septembre de poursuivre le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Un ministre saoudien a déjà menacé les États-Unis de mesures de rétorsion si le texte était adopté.
Le président français François Hollande a salué dimanche « la solidarité exceptionnelle » des Libanais envers les réfugiés syriens, en visitant un camp d’accueil au Liban, avant de s’envoler pour l’Égypte, deuxième étape de sa tournée au Moyen-Orient.
Depuis cinq ans maintenant, internet ne cesse de vomir ces images atroces de la guerre civile qui ravage la Syrie. Réfugié en France, où il a obtenu l’asile politique (lire pp. 58-59), Hamid Sulaiman ordonne à sa manière ce matériau brut.
Le journaliste syrien Mohammed Zaher al-Shurqat a succombé à ses blessures par balle, mardi, à Gaziantep. Il animait une émission sur la chaîne Aleppo Today, fortement opposée à l’organisation État islamique.
Le porte-parole du Front Al-Nosra, branche d’Al-Qaïda en Syrie, son fils et 20 autres jihadistes, ont été tués dimanche dans des frappes aériennes dans le nord-est du pays.
Triste anniversaire, passé inaperçu. Il y a tout juste un an, le 26 mars 2015, cet important pays du tiers-monde a déclenché une guerre atroce contre son voisin du Sud pour y mater une insurrection.
Le régime syrien pourchassait lundi les jihadistes du groupe État islamique (EI) au lendemain de la reprise de la ville de Palmyre, une victoire majeure pour l’armée qui veut extirper cette organisation de ses principaux fiefs en Syrie.
Conforté par les urnes aux législatives du 26 février, le président modéré dispose désormais d’une plus grande marge de manœuvre pour mettre en place les réformes qu’il a promises.
Il s’appelle Firas Alshater et vit à Berlin depuis deux ans et demi. Il fait partie des Syriens qui ont fui la guerre et trouvé refuge en Europe. Mais face à la montée de la xénophobie, l’intégration des migrants est un combat, qu’il mène avec humour sur YouTube depuis le mois de janvier.