Quatorze factions palestiniennes ont signé un accord qui prévoit la mise en place d’un « gouvernement intérimaire de réconciliation nationale » dans la bande de Gaza après la guerre.
Le déplacement de Benyamin Netanyahou intervient après neuf mois de guerre entre l’armée israélienne et le Hamas à Gaza, qui ont crispé les relations entre Israël et les États-Unis, son premier allié et soutien indéfectible.
Les rebelles yéménites ont menacé Tel-Aviv, le 21 juillet, d’une « réponse énorme » à ses frappes meurtrières contre le port de Hodeida, toujours en flammes, dans une nouvelle escalade régionale liée à la guerre à Gaza.
La Cour internationale de justice, considérée comme la plus haute juridiction de l’ONU, estime qu’Israël est une « puissance occupante » en Cisjordanie, à Gaza et à Jérusalem-Est. Elle appelle à cesser cette occupation le plus rapidement possible. Détails d’un avis non contraignant, mais puissant sur le plan symbolique et juridique.
« Le bain de sang à Gaza doit cesser immédiatement », a lancé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant le Parlement européen. Benyamin Netanyahou devrait s’exprimer devant le Congrès américain le 24 juillet.
Ce mouvement soutenu par l’Iran a revendiqué une attaque de drone qui a provoqué une explosion ayant fait un mort dans le centre de Tel-Aviv, et visé directement Israël, en pleine guerre dans la bande de Gaza.
Plusieurs ONG dénoncent la multiplication des frappes qui « aggravent la catastrophe humanitaire », ainsi que « les obstacles imposés par la poursuite des opérations militaires » israéliennes.
Téhéran avait menacé de venger la mort de Qassem Soleimani, commandant des Gardiens de la révolution, en 2020, dont l’élimination avait été ordonnée par Donald Trump, ce qui a alimenté des rumeurs sur un lien avec le récent attentat contre le candidat républicain.
Alors qu’Israël multiplie les frappes sur la bande de Gaza, dévastée par plus de neuf mois de guerre, plusieurs pays dont les États-Unis ont à nouveau dénoncé le bilan humain de l’opération.
MSF dénonce « l’obstruction systématique à l’aide par Israël et ses attaques contre les opérations d’aide ». Dans un état des lieux publié le 15 juillet, treize ONG alertent sur la « détérioration » de l’accès de l’aide humanitaire avec l’intensification des opérations israéliennes.
Le 14 juillet, le Hamas a annoncé son retrait des négociations sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne meurtrière qui a visé le chef militaire du mouvement palestinien islamiste Mohamed Deif.
Deux hauts responsables du Hamas ont annoncé dimanche l’arrêt des négociations sur un cessez-le-feu à Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne ayant ciblé son chef militaire.
Le réformateur Massoud Pezeshkian, élu président au début du mois, a confirmé sa volonté d’ouverture diplomatique dans une tribune parue le 13 juillet.
Dans un rapport publié le 11 juillet, l’armée israélienne a reconnu son « échec » lors de l’attaque sanglante du Hamas contre le kibboutz Beeri, le 7 octobre.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé soutenir la position du Hamas dans les négociations avec Israël pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, répétant qu’en cas d’accord, son parti mettrait fin à ses attaques depuis le sud du Liban.
La mort brutale de Bassel, son frère aîné, a projeté « le docteur Bachar » sur la scène politique en 1994. Six années plus tard, il succède à son père, Hafez al-Assad, et hérite d’un État policier à l’économie chancelante. Portrait signé, à l’époque, dans JA, par François Soudan.
Un nouveau cycle de discussions en vue d’un cessez-le-feu associé à des libérations d’otages doit commencer « très probablement » le 10 juillet à Doha.
Au dixième mois de la guerre, le mouvement palestinien a dit accepter de négocier sur la libération des otages en l’absence d’un cessez-le feu permanent avec Israël.
Le député réformateur Massoud Pezeshkian, qui plaide pour une ouverture de l’Iran vers l’Occident, a remporté ce samedi le second tour de la présidentielle, devant l’ultraconservateur Saïd Jalili.
Réformiste contre ultraconservateur : quelque 61 millions d’Iraniens votent aujourd’hui pour départager Masoud Pezeshkian et Saïd Jalili, sortis en tête du premier tour il y a une semaine.
Israël retourne à la table des négociations au Qatar, à l’heure où la guerre ne connaît pas de répit avec de nouveaux tirs israéliens dans le sud du territoire palestinien.
Des dizaines de milliers de Palestiniens ont fui le sud de la bande de Gaza après un ordre d’évacuation d’Israël qui fait craindre une nouvelle offensive d’envergure dans cette partie du territoire palestinien.
Dix mois après le coup d’État, la situation de la famille Bongo reste incertaine. Les fils cadets de Sylvia et Ali Bongo Ondimba se sont envolés pour le Royaume-Uni à la mi-juin.
Bénéfice en hausse de 39 % sur un an, chiffre d’affaires en progression de 6 % : la compagnie aérienne affiche la meilleure performance financière de ses 27 ans d’histoire.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Quasiment inconnu lorsqu’il est entré dans la course, le député Massoud Pezeshkian a réalisé la performance d’obtenir 42,5 % des suffrages le 28 juin, devançant l’ancien négociateur du dossier nucléaire, crédité de 38,6 % au premier tour.
La population de la bande de Gaza continue à fuir sous les bombardements alors que le Hamas affirme que l’armée israélienne a commencé une offensive terrestre.
L’ONU craint une escalade régionale entre Tsahal et le Hezbollah, alors que l’armée israélienne réorganise ses forces vers la frontière avec le Liban et multiplie les menaces contre l’organisation islamiste.