La chaîne d’information britannique Sky News a annoncé mercredi avoir mis la main sur des documents contenant les noms de 22 000 membres de l’État islamique. Une fuite potentiellement dévastatrice pour le groupe terroriste si elle s’avère authentique. Mais certains experts doutent déjà du sérieux de ces documents.
Les principaux protagonistes du conflit syrien se sont mutuellement accusés dimanche d’avoir violé le cessez-le-feu entré en vigueur samedi tout en reconnaissant que cette trêve était toujours respectée au deuxième jour.
Parfois considérés comme des gens du Livre par l’orthodoxie musulmane, comme les juifs et les chrétiens, les zoroastriens restent nombreux en Iran à vénérer Ahura Mazda.
La Russie et les États-Unis ont annoncé un cessez-le-feu en Syrie pour le 27 février à minuit. Mais celui-ci, accepté mardi matin par le régime de Damas, exclut les groupes jihadistes et doit encore être définitivement validé par l’opposition pour pouvoir entrer en vigueur.
Depuis que l’Iran, naguère segment majeur d’un supposé « Axe du Mal » s’est vu réhabilité au rang de nation fréquentable par les Occidentaux, un vent de panique souffle à Riyad, qui fait feu de tout bois. Julien Théron, conseiller en géopolitique des conflits basé au Liban, analyse la politique internationale de l’Arabie saoudite.
Malgré les promesses de trêve, une résolution du conflit syrien semblait dimanche de plus en plus illusoire, les différents acteurs internationaux, dont la Turquie et la Russie, s’accusant mutuellement de jeter de l’huile sur le feu.
Dans une interview accordée jeudi à l’Agence France presse, le président syrien Bachar al-Assad s’est dit déterminé à reprendre le contrôle de toute la Syrie.
« Je souhaite choisir une personne de moins de 25 ans pour représenter notre jeunesse et défendre ses aspirations […] au sein du gouvernement des Émirats arabes unis », a twitté, le plus sérieusement du monde, Cheikh Mohamed Ibn Rachid Al Maktoum, le 3 février.
Lentement mais sûrement, l’intervention militaire russe sur les fronts syriens, débutée en septembre 2015, fait basculer le rapport des forces en faveur du régime.
On savait le président Obama secrètement excédé par la politique de Netanyahou à l’égard des Palestiniens. Son ambassadeur à Tel-Aviv, lui, s’est montré beaucoup plus explicite.
D’ici à 2017, Berlin achèvera la livraison à Tel-Aviv de trois nouveaux sous-marins à capacité nucléaire qu’il a entièrement ou partiellement financés. Est-ce bien raisonnable ?
Discréditée et à bout de souffle, la dynastie des Saoud paye aujourd’hui les alliances inconciliables qu’elle a passées avec le clergé wahhabite et les États-Unis.
Face à la multiplication des procès liés à des affaires familiales, le Conseil de la choura – organe consultatif officiel de l’Arabie saoudite, où siègent depuis peu trente femmes -, appuyé par le prince héritier et ministre de l’Intérieur Mohamed Ibn Nayef, a décidé que les veuves, divorcées ou épouses d’étrangers se verront désormais remettre un livret de famille par les services de l’état civil.
La délégation du Haut comité des négociations (HCN), représentant l’opposition syrienne, a annoncé mercredi qu’elle suspendait sa participation aux négociations de Genève ouvertes lundi. Elle conditionne son retour à la table des discussions par la satisfaction de ses « demandes humanitaires ».
Seize autre personnes sont mortes de faim dans la ville syrienne rebelle de Madaya (ouest), assiégée par les forces prorégime, depuis que des convois humanitaires y sont entrés mi-janvier, a annoncé Médecins sans frontières (MSF).
Du Caire à Beyrouth en passant par Damas et Jérusalem, Lamia Ziadé redonne vie à ces stars adulées sur fond de déclin de la Nahda, la renaissance arabe. Un retour nostalgique aux glorieuses heures du panarabisme.
Dépeints en « combattants de la liberté » face aux « barbares » de l’État islamique (EI) dans les médias internationaux, les combattants kurdes seraient-ils mus par des sentiments moins héroïques ?
Elle est pilote d’avion, noire, mariée à un Américain blanc… Ce qui lui vaut un torrent d’injures sur Twitter. Mais la jeune femme riposte avec panache.
L’attaque barbare contre le Splendid Hotel à Ouagadougou, le 15 janvier, et celle contre le Radisson Blu Hotel de Bamako le 20 novembre. La boucherie ignoble du 13 novembre à Paris, celles – nombreuses – au nord-est du Nigeria, au Tchad, en Somalie, au Kenya…
Quelle mouche a donc piqué les dirigeants du royaume wahhabite ? En exécutant un chef chiite respecté, ils ont provoqué une crise majeure avec l’Iran. Pas vraiment utile, et très imprudent.
Le groupe jihadiste Etat islamique (EI) a enlevé au moins 400 civils, dont des femmes et des enfants, après un assaut sur la ville de Deir Ezzor en Syrie où il a tué samedi au moins 135 personnes, a rapporté une ONG dimanche.
L’accord nucléaire historique entre l’Iran et les grandes puissances est entré en vigueur samedi après le feu vert de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), entraînant une levée des sanctions économiques qui frappent le pays.
Il aura fallu deux ans et quatre mois après la mort de centaines de personnes dans une attaque chimique près de Damas, le 21 août 2013, pour que soit achevée la destruction des stocks de gaz moutarde et de sarin, notamment, que détenait le régime syrien.
Soutenues par les frappes aériennes de la coalition conduite par les États-Unis, les forces de sécurité irakiennes contrôlent désormais 80 % de Ramadi, capitale de la province sunnite d’Anbar, tombée en mai 2015 entre les mains des jihadistes de l’organisation État islamique.