Le pape copte Tawadros II est arrivé ce jeudi à Jérusalem pour assister aux funérailles de l’archevêque de Jérusalem et du Proche-Orient. Une première depuis plus d’un demi-siècle.
Entre 2003 et 2004, Yasar Yakis a été le premier ministre des Affaires étrangères de l’ère Erdogan. Proche du président turc dont il reste critique – il est aussi l’un des fondateurs historiques du parti AKP (au pouvoir) -, il revient sur la récente volte-face turque vis-à-vis de Daesh.
Le politologue algérien Hasni Abidi dirige le Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (CERMAM) à Genève. Participant aux MEDays 2015 à Tanger, du 11 au 14 novembre, il réagit aux attentats de Paris, estimant que la France a commis l’erreur de renoncer à sa politique arabe pour s’aligner sur celle des Américains.
Trois jours après les attentats de Paris, qui fait au moins 129 morts vendredi dernier, François Hollande s’est exprimé lundi à Versailles devant l’ensemble des parlementaires français réunis en Congrès. Une série de mesure a été annoncée.
Le 4 novembre 1995, le jour où Yitzhak Rabin est assassiné, Yossi Beilin, son négociateur attitré et ministre israélien de l’Économie, est à New York en compagnie de la consule générale d’Israël, Colette Avital, et de l’écrivain Amos Oz. Ironie du sort, « ce jour-là, précise-t-il, je venais d’achever deux ans de pourparlers avec Mahmoud Abbas » (alors président du Comité exécutif de l’OLP).
De nouvelles violences ont secoué vendredi la bande de Gaza et la Cisjordanie occupée, où deux Palestiniens ont été tués et trois Israéliens blessés par balles, un regain de tension qui intervient peu avant une visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington.
Il avait ouvert la voie à une réconciliation historique avec les Palestiniens en signant les accords d’Oslo avec Arafat. Mais son assassinat par un extrémiste juif le 4 novembre 1995 a ruiné les espoirs de paix. Et laissé la gauche israélienne orpheline. Portrait-itinéraire d’un chef de guerre mué en leader visionnaire.
La Cour suprême en Arabie saoudite a confirmé dimanche la peine de mort prononcée contre le dignitaire chiite Nimr Baqer al-Nimr, figure de la contestation anti-gouvernementale.
C’est très certainement du Moyen-Orient qu’il nous faut parler cette semaine : les crises dont il est le théâtre s’ajoutent l’une à l’autre, s’entremêlent et risquent, à tout moment, de provoquer un embrasement général.
Le troisième lieu saint de l’islam est-il menacé, comme l’affirment les Palestiniens pour justifier leur soulèvement ? Tel-Aviv assure que non. Qu’en est-il exactement ?
Un réfugié érythréen, confondu avec un assaillant, a été grièvement blessé par balles dimanche soir. Il est mort des suite de ses blessures, a-t-on appris lundi matin.
Après la mort de trois Israéliens dans deux attentats à Jérusalem, le gouvernement de Benyamin Netanyahou a adopté dans la nuit de mardi à mercredi de nouvelles mesures pour « lutter contre les violences palestiniennes ». Il a notamment autorisé la police à « boucler Jérusalem en cas de frictions ».
Le bilan de la bousculade survenue le 24 septembre à La Mecque en Arabie Saoudite s’élève désormais à près de 1600 morts, faisant de ce drame la catastrophe la plus meurtrière du hajj.
Son enfance dans les sables syriens, autour de Raqqa, et sa soif d’entreprendre l’ont mené vers les sommets d’un empire du BTP – mais aussi aux portes du sport et de la littérature.
Israël a entamé mardi les démolitions des maisons de Palestiniens ayant mené des attentats, au lendemain d’un discours du Premier ministre Benyamin Netanyahou ayant donné toute latitude à l’armée pour durcir la répression dans un contexte de violences en Cisjordanie et Jérusalem occupées.
Véritable tournant de la guerre, l’intervention militaire russe révèle au grand jour la différence radicale de lecture du conflit entre Moscou et les Occidentaux.
L’armée israélienne a tué dimanche un jeune palestinien en Cisjordanie occupée, où des heurts opposaient Palestiniens et soldats israéliens dans plusieurs localités. Le Premier ministre israélien a affirmé livrer une guerre totale au « terrorisme palestinien ».
Israël a pris dimanche la mesure exceptionnelle de boucler pour deux jours la Vieille ville de Jérusalem aux Palestiniens après deux attaques au couteau qui ont fait deux morts israéliens et un sévère accès de fièvre en Cisjordanie occupée.
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU était présents dans le jardin de l’institution internationale à New York alors que le drapeau palestinien flottait pour la première fois devant le siège des Nations unies.
Les couleurs palestiniennes flotteront pour la première fois mercredi au siège de l’ONU à New York, événement hautement symbolique censé marquer une étape vers un État indépendant, dont la perspective semble pourtant plus que jamais éloignée.