Avec #JeSuisRaif, une mobilisation d’ampleur en faveur de la libération du blogueur saoudien Raif Badawi s’est engagée sur internet. Décryptage de cette mobilisation en ligne.
Le président Abd Rabbo Mansour Hadi et les miliciens chiites ont conclu mercredi soir un accord qui prévoit le retrait des rebelles des secteurs clés de la capitale, en échange de concessions sur le projet de Constitution. Mais l’application du texte en vue d’une prochaine sortie de crise ne va pas de soi. Explications.
Les miliciens chiites houthi se sont emparés mardi du palais présidentiel à Sanaa, la capitale du Yémen. Menés par Abdel Malek al-Houthi, ils menacent désormais le sud du pays.
Le président français a prononcé jeudi matin un discours lors de l’ouverture d’un forum consacré aux « Renouveaux du monde arabe », à l’Institut du monde arabe (IMA), à Paris.
Condamné en mai 2014 pour avoir critiqué les autorités religieuses d’Arabie saoudite, Raef Badaoui a été fouetté en public le 9 janvier. Une flagellation qui sera renouvelée chaque vendredi pendant vingt semaines, jusqu’à atteindre 1 000 coups.
Eau argentée, le documentaire du Syrien Ossama Mohammed, doit beaucoup aux images tournées à Homs par sa coréalisatrice, Wiam Simav Bedirxan. Rencontre à Paris.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a prévenu dimanche qu’Israël s’opposerait à toute poursuite de ses soldats par la Cour pénale internationale (CPI), à laquelle les Palestiniens viennent de demander l’adhésion.
La maladie dont souffre l’atypique sultan Qabous pose la question de la succession, qui s’annonce d’autant plus délicate que le souverain s’est façonné un État sur mesure et n’a pas d’héritier.
Le régime syrien est prêt à rencontrer l’opposition à Moscou pour tenter de trouver une issue à la guerre qui ravage le pays depuis près de quatre ans, a annoncé samedi le ministère des Affaires étrangères.
Nommé chef d’état-major dans un contexte politique et sécuritaire tendu, Gadi Eizenkot, général expérimenté, s’est toujours montré implacable. Sans pour autant être un va-t-en-guerre.
La Jordanie a affiché jeudi sa détermination à sauver le pilote de chasse capturé la veille par le groupe islamique (EI) en Syrie après la chute de son avion que les jihadistes affirment avoir abattu, ce que Washington dément.
Le documentaire « Eau argentée » de Ossama Mohammed et Simav, sorti en salles le 17 décembre à Paris, est un bouleversant témoignage sur le conflit syrien et un âpre réquisitoire contre la guerre. À ne manquer sous aucun prétexte.
Après leurs homologues britanniques, irlandais et espagnols, les députés français ont à leur tour invité leur gouvernement à reconnaître l’État de Palestine. Mieux vaut tard que jamais…
Il manifestait pacifiquement contre les confiscations de terres, près de Ramallah, en Cisjordanie. Victime, selon un de ses collaborateurs, d’un coup de crosse porté par un soldat israélien, Ziad Abou Eïn, ministre de l’Autorité palestinienne en charge du dossier de la colonisation, est décédé mercredi à l’âge de 55 ans.
En 2014, 3 419 migrants en quête d’un avenir meilleur ont perdu la vie en tentant de traverser la Méditerranée, selon un rapport rendu public mercredi par le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
La crise ouverte au sein des monarchies pétro-gazières du Golfe par le soutien du Qatar aux Frères musulmans persécutés en Égypte est désormais officiellement refermée. Dans un communiqué du Conseil de coopération du Golfe (CCG), Doha a affirmé mardi « son plein soutien » au Caire.
Ahmed al-Tayeb, le cheikh d’Al-Azhar, a condamné mercredi les « crimes barbares commis par le groupe État islamique (EI) en Irak et en Syrie » lors d’une conférence internationale.
Les députés français ont adopté mardi une résolution en faveur de la reconnaissance de l’État palestinien. Ce texte n’est toutefois pas contraignant pour l’État français.
Coordinateur de la résistance chiite irakienne contre l’État islamique, le chef des opérations extérieures des Gardiens de la révolution a été élevé au rang de héros national par les médias.
Les combattants marocains de l’État islamique (EI) ont leur star. Son nom : Fatiha Mejjati, veuve de Karim Mejjati, membre d’Al-Qaïda tombé en Arabie saoudite en avril 2005. Véritable icône du jihadisme au féminin, elle a fait allégeance au « calife » Abou Bakr al-Baghdadi le 1er juillet… sur Twitter. C’était juste avant de plier bagage pour la Syrie.
À l’origine des tensions actuelles à Jérusalem, le courant messianique juif ne cesse de gagner du terrain. Et menace d’enterrer toute perspective de paix avec le monde arabe.
Le groupe ultra-radical Etat islamique (EI) a revendiqué l’exécution par décapitation de l’otage américain Peter Kassig, enlevé en Syrie, et d’au moins 18 soldats syriens, dans une vidéo mise en ligne dimanche sur des sites jihadistes.
Voie de réalisation spirituelle, le courant mystique de la religion musulmane exprime la quintessence de la Révélation. Aux antipodes du littéralisme rigoriste des salafistes.
Alors que le monde entier célébrait le 11 novembre les dix ans de la mort de Yasser Arafat, le 13 novembre est une autre date importante de son destin politique. Il y a quarante ans, le leader palestinien prononçait son discours le plus célèbre, à la tribune de l’ONU.
En acceptant de renoncer à la violence et de reconnaître l’État hébreu, Abou Ammar avait fait naître des espoirs de paix. Dix ans après sa mort, ils se sont presque évanouis.