Le salafisme jihadiste s’apparente-t-il à une dérive sectaire, à une instrumentalisation du religieux à des fins politiques ? Devant la multiplication des cas de jeunes-filles en rupture sociale et familiale, la Miviludes tire la sonnette d’alarme et les autorités françaises se saisissent de la question.
Instrumentalisée par certains, la question de l’indemnisation des Juifs orientaux chassés d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient ravive de vieux contentieux. Pas seulement avec le monde arabe.
Souleymane Abou Ghaith, gendre d’Oussama Ben Laden et ex-« porte-parole » d’Al-Qaïda, a été reconnu coupable mercredi à New York de complot visant à tuer des Américains et de soutien au terrorisme. Sa peine sera prononcée le 8 septembre.
Les États arabes ont une nouvelle fois refusé mercredi, lors d’un sommet de la Ligue arabe au Koweït, de reconnaître Israël comme « État juif ». C’est pourtant l’une des conditions posées par Tel-Aviv pour parvenir à un accord de paix avec les Palestiniens.
Le Maroc a refoulé 15 réfugiés syriens, embarqués sur un vol vers la Turquie. Le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) déplore cette décision, et exhorte le royaume a tenir sa promesse d’accorder une protection temporaire aux autres ressortissants de ce pays.
Bloqué plusieurs mois au Qatar à cause d’un litige avec son club, le Franco-Algérien Zahir Belounis, accompagné d’une délégation de la FIFPro, a été reçu à la Fifa. Laquelle a pris acte des doléances du syndicat des joueurs pour ce genre de conflits qui touchent essentiellement des joueurs africains.
Au grand dam de la présidence palestinienne, l’administration militaire israélienne a approuvé des plans de construction de plus de 2 200 logements dans des colonies de Cisjordanie. Les Palestiniens accusent Israël de mener les négociations dans l’impasse.
Le ministère de l’Intérieur saoudien a ajouté 51 prénoms à la liste de ceux qu’il a déjà interdits. En raisons des « traditions sociales » du royaume ou d’une incompatibilité avec la religion sunnite, les nouveaux-nés ne pourront plus s’appeler dorénavant « Abdul Nasser », « Malika » ou encore « Amir »…
Selon un enregistrement téléphonique diffusé mardi soir sur YouTube, Turkish Airlines (THY) aurait livré des armes à des groupes inconnus au Nigeria. La compagnie aérienne dément.
Barack Obama a appelé le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à prendre des « risques » pour la paix, en le recevant lundi à la Maison Blanche. En Cisjordanie, des milliers de Palestiniens ont manifesté dans plusieurs villes pour soutenir leur président.
Diplomate chevronné, l’ex-lobbyiste pro-israélien passé « à gauche » Martin Indyk seconde activement son patron, le secrétaire d’État américain, John Kerry, dans la recherche d’une solution négociée.
De plus en plus de mouvements de boycott visent le pays, notamment les entreprises implantées en Cisjordanie. Une pression qui irrite profondément l’État.
Appuyées par le Hezbollah libanais, les troupes du régime syrien ont pris, dimanche, la totalité de la ville stratégique de Yabroud. Une avancée importante pour Bachar al-Assad dans un conflit qui entre dans sa quatrième année.
Attendue depuis longtemps, une monographie richement documentée et illustrée permet enfin d’en savoir plus sur les mystères de la cité de Lalibela, en Éthiopie.
Invité par une organisation juive française, notre collaborateur Youssef Aït Akdim est allé découvrir les réalités de l’État hébreu par lui-même. Récit.
Si l’attentat qui a coûté la vie à Rafic Hariri en 2005 a donné lieu à une enquête approfondie, la quasi-totalité des crimes commis par des milices et groupes armés depuis 1975 est restée impunie.
Le Parlement israélien a voté lundi une loi qui reconnaît deux catégories de citoyens arabes israéliens, selon qu’ils sont de confession musulmane ou chrétienne. La nouvelle mesure très controversée a provoqué un tollé chez les Palestiniens et au sein de la communauté arabe israélienne.
Grands bénéficiaires du Printemps arabe, les islamistes ont cru aux lendemains qui chantent. Las, partout où ils ont conquis le pouvoir, l’expérience a tourné au fiasco. Incapable de convaincre de sa capacité à gouverner, la confrérie rejoint donc son élément naturel : l’opposition. Quitte à entrer, comme en Égypte, dans la clandestinité.
Pour les autorités du Yémen, Ali Abdallah Saleh, l’homme qui dirigea le pays d’une main de fer trente-trois années durant avant d’être poussé à la démission, alimenterait aujourd’hui des foyers de discorde.
Quinze jours après un premier échec, une deuxième session de négociations à Genève entre l’opposition et le gouvernement syriens n’a permis aucune avancée pour trouver une issue politique au conflit en Syrie.