Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a regretté « un accident tragique » après qu’une frappe a fait, le 26 mai au soir, 45 morts et 249 blessés, selon le ministère de la Santé à Gaza, et mis le feu à des tentes occupées par des Palestiniens dans un camp de déplacés.
Le Premier ministre israélien s’adressera « bientôt » au Congrès américain, a annoncé le chef républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson.
Dès le mois de mars, les chefs des gouvernements de l’Irlande, de la Slovénie et de Malte avaient publié un communiqué commun dans lesquels ils faisaient part de leur volonté de reconnaître un État palestinien. Ils sont rejoints aujourd’hui par la Norvège et l’Espagne.
La dépouille du président iranien est arrivée à Téhéran où une prière menée par l’ayatollah Ali Khamenei aura lieu ce 22 mai. Ebrahim Raïssi sera enterré demain dans sa ville natale de Mashad.
L’ayatollah Khamenei doit diriger les prières lors d’une cérémonie d’adieu prévue à Téhéran ce 21 mai. Le président sera enterré dans sa ville natale de Mashad le 23 mai.
Joe Biden a a jugé « scandaleux » le mandat d’arrêt réclamé contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. De son côté, le Quai d’Orsay a dit « soutenir » la CPI et son « indépendance », en condamnant les « massacres antisémites perpétrés par le Hamas » et en dénonçant « le caractère inacceptable des pertes civiles dans la bande de Gaza ».
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a demandé lundi 20 mai que des mandats d’arrêt soient émis contre Benyamin Netanyahou et son ministre de la Défense, Yoav Gallant, ainsi qu’à l’encontre de trois dirigeants du Hamas.
Le guide suprême devait nommer le premier vice-président, Mohammad Mokhber, en remplacement temporaire de Raïssi, en attendant la tenue d’une élection présidentielle dans les 50 jours.
Mandatée par l’ONU pour qualifier juridiquement les actes d’Israël en Palestine, la rapporteuse spéciale a rendu à la fin de mars un rapport très sévère, qui lui vaut depuis de nombreuses attaques. Elle estime que le respect du droit international doit être au centre des débats.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a qualifié de « décisive » la bataille de Rafah, après l’annonce d’une « intensification » des opérations militaires au sol dans cette ville du sud de la bande de Gaza.
Le Hezbollah a annoncé jeudi 16 mai la mort de deux de ses combattants dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban, alors que le mouvement libanais a intensifié ses attaques contre des positions militaires israéliennes de l’autre côté de la frontière.
Plus de 600 000 Palestiniens ont déjà quitté la ville du sud de la bande de Gaza, selon l’ONU, alors que Tsahal poursuit ses bombardements, déterminé à en finir avec le Hamas.
Ursula von der Leyen avait annoncé à Beyrouth une aide d’un milliard d’euros, notamment pour lutter contre l’immigration clandestine. Une décision critiquée par de nombreux Libanais qui estiment qu’elle vise à maintenir les Syriens au Liban.
En pleine guerre, les Israéliens ont marqué le Jour du Souvenir en hommage aux soldats morts en service et aux victimes d’attentats, avant de célébrer le 76e anniversaire de la création de leur État.
Pretoria, qui accuse Israël de commettre un « génocide » à Gaza, a de nouveau saisi la Cour internationale de justice, le 10 mai. Pourquoi l’Afrique du Sud se fait-elle ainsi le porte-voix de la cause palestinienne ? Décryptage en vidéo.
Depuis plusieurs jours, Tsahal a accentué ses bombardements sur la ville située à la frontière entre l’Égypte et le territoire palestinien, dans laquelle se sont réfugiées 1,4 million de personnes.
Le groupe basé à Dubaï et propriétaire de la compagnie aérienne la plus importante du Moyen-Orient a annoncé un bénéfice annuel net record en hausse de 71% par rapport à l’année précédente.
Israël multiplie les frappes dans la bande de Gaza après un nouvel échec des négociations visant à arracher une trêve et empêcher une offensive israélienne sur Rafah.
L’armée israélienne mène d’intenses bombardements à Rafah afin d’accentuer la « pression » sur le Hamas quelques heures avant de nouveaux pourparlers au Caire sur un accord de trêve.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste sur ferme sur ses positions, refusant d’« accepter » les demandes du Hamas, qui réclame un cessez-le-feu définitif dans le territoire palestinien assiégé par Tsahal.
Le gouvernement israélien a « décidé à l’unanimité » de « fermer en Israël » la chaîne qatarie. Le Parlement avait voté le 1er avril dernier une loi permettant d’interdire la diffusion en Israël de médias étrangers portant atteinte à la sécurité de l’État.
Ismaïl Haniyeh a « confirmé » qu’une délégation du mouvement palestinien se rendrait en Égypte tandis que Benyamin Netanyahou continue de brandir la menace d’une offensive terrestre sur Rafah.
L’organisation islamiste penche pour le moment vers un refus de la proposition d’accord négociée par les pays médiateurs avec Tel-Aviv qui, dans le même temps, continue de préparer son offensive sur Rafah, en dépit des protestations internationales.
Une délégation du mouvement palestinien a quitté Le Caire pour Doha afin d’étudier une nouvelle offre de trêve. Celle-ci est considérée comme « extrêmement généreuse » par les États-Unis, alliés de Tel-Aviv.
Le mouvement islamiste doit valider la dernière proposition de trêve en date, élaborée par l’Égypte et amendée par Israël. Jusque-là, Tel Aviv refusait de signer un accord de cessez-le-feu permanent.
Le Hezbollah libanais et Tsahal ont encore échangé des tirs de missile à la frontière israélo-libanaise. Selon des médias israéliens, le cabinet de Benyamin Netanyahou a discuté d’un nouveau projet de trêve associée à une libération d’otages détenus par le Hamas.
Tsahal a visé des infrastructures du Hezbollah et poursuit ses tirs sur Rafah, alors qu’une offensive sur la ville paraît toujours d’actualité, en dépit des mises en garde internationales.