On sait qu’ils ont choisi de quitter leur pays pour aller mener le jihad en Syrie, mais on ignorait jusqu’à présent combien ils étaient. Deux spécialistes américains du terrorisme ont planché sur la question et sont désormais en mesure d’apporter une estimation.
Elle s’appelle Yityish Ayanaw, mais pour tout le monde c’est Titi. Elle est grande, belle et le 27 février 2013, elle a été élue Miss Israël. Pour la première fois de son histoire, l’État hébreu a couronné une reine de beauté noire, d’origine éthiopienne.
Pendant que François Hollande et Barack Obama brandissaient la menace d’une intervention en Syrie, Bachar al-Assad, son épouse et leur clan affectaient de rester zen.
Il ne suffira pas de quelques raids aériens limités pour annihiler les capacités de nuisance du maître de Damas. De quel arsenal celui-ci dispose-t-il encore ? Laurent Touchard, historien spécialisé dans les questions militaires et le terrorisme, et animateur du blog Défense sur jeuneafrique.com fait le point.
Dans le dossier syrien, Barack Obama a annoncé, mardi, qu’il souhaitait donner une chance à la diplomatie. Le revirement du président américain s’explique par le geste de Damas qui assure être prête à renoncer à son arsenal chimique.
La Syrie a accepté, mardi, la proposition russe de placer son arsenal chimique sous contrôle international, proposition faite la veille et reprise par les Nations unies dans la foulée. Après être passé à deux doigts de frappes aériennes sur son pays, le régime de Damas s’offre ainsi un peu d’air, sans lâcher beaucoup de lest. Le président américain, Barack Obama, a annoncé mardi qu’il souhaitait privilégier l’option diplomatique, tout en maintenant la pression sur Bachar al-Assad.
Plongé dans le coma depuis son accident cérébral en 2006, l’ancien Premier ministre vient de subir une intervention chirurgicale à l’estomac. Objectif : continuer à le nourrir grâce à une sonde.
Barack Obama va tenter, ce mardi, de rallier davantage d’Américains à sa politique syrienne, tâche compliquée par l’évolution rapide du dossier avec une proposition russe qualifiée de possible « percée importante » par un président au ton soudainement plus conciliant.
C’est l’une des plus célèbres photographies de l’Histoire. Non pas pour sa qualité graphique mais pour le moment historique qu’elle fige. Le 13 septembre 1993, une poignée de mains est au centre du monde, celle du Premier ministre israélien, Yitzhak Rabin, et de Yasser Arafat, représentant de l’Organisation de libération de la Palestine. Les deux hommes, sous l’égide des États-Unis, pensent alors entamer un processus de paix durable. Vingt ans plus tard, restent les illusions et des négociations qui n’avancent pas. « Jeune Afrique » a retracé ces deux décennies.
Après l’élimination de Ben Laden en mai 2011, le président Obama disait Al-Qaïda sur le point d’être « vaincue ». Douze ans après l’attentat du World Trade Center, la nébuleuse terroriste continue de frapper.
Le président Barack Obama aura la lourde tâche ce lundi de retourner un Congrès et une opinion publique sceptiques face au recours à la force en Syrie, où Bachar al-Assad a assuré n’être pour rien dans l’attaque chimique du 21 août.
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, poursuit dimanche en Europe son offensive diplomatique pour vanter les mérites de frappes contre la Syrie accusée d’avoir perpétré un massacre chimique, Washington et Paris se targuant d’un soutien international élargi.
L’affaire de corruption présumée à la Sonatrach pendant les années de l’ère Chakib Khelil n’en finit pas d’étendre ses ramifications. Deux sociétés syriennes auraient bénéficié de contrats suspects avec le groupe algérien à hauteur de 1,5 milliard d’euros.
La visite du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, en Palestine et en Israël, les 24 et 25 août, a bien failli se terminer par un rendez-vous raté avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou. Heureusement, le Franco-Israélien Meyer Habib a rattraper le coup.
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud Al-Fayçal, a appelé dimanche les pays arabes à soutenir l’opposition syrienne, qui réclame une intervention militaire étrangère contre le régime de Bachar al-Assad.
Le président russe Vladimir Poutine a qualifié samedi d’absurdité totale les accusations d’utilisation d’armes chimiques par la Syrie et a appelé les Etats-Unis à présenter les preuves qu’ils disent avoir d’une éventuelle implication du régime syrien.
La Syrie s’attend à une frappe occidentale contre son territoire à tout moment, a affirmé samedi à l’AFP un haut responsable des services syriens de sécurité.
Les images des victimes syriennes après l’usage d’armes chimiques, le 21 août, dans la Ghouta orientale, ont poussé les pays occidentaux, États-Unis en tête, à envisager une intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad. Alors que cette option n’a pas encore été décidée, l’armée syrienne indique d’ores et déjà qu’elle se défendra. En a-t-elle les moyens ? Quel est l’état de ses troupes ? États des lieux.
Le président américain a affirmé, mercredi 28 août, ne pas encore avoir décidé d’une éventuelle intervention en Syrie, tout en évoquant un « coup de semonce ». De l’autre côté de l’Atlantique, ses partenaires britanniques disent vouloir attendre l’enquête de l’ONU sur l’attaque chimique du 21 août.
Conséquence du durcissement de sa politique migratoire, l’État hébreu met un terme, le 28 août, à la campagne de rapatriement des Juifs d’Éthiopie amorcée en 2010.
Les États-Unis discutent avec leurs alliés d’éventuelles frappes sur la Syrie. Néanmoins, un haut responsable américain a indiqué, le 28 août, que Washington exclue toute option militaire unilatérale contre Damas. Au même moment, une réunion des représentants de cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité a été convoquée à New-York pour examiner un projet britannique de résolution sur la Syrie.
Mercredi 28 août, le retour – l’aliyah – des Juifs éthiopiens en Israël prendra fin. Alors que les derniers Falashas préparent leurs valises, pour des milliers d’autres, l’accès à Israël sera désormais incertain.
Alors que Washington consulte à tout-va sur une éventuelle intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad, le secrétaire d’État John Kerry a assuré, lundi 26 août, que l’utilisation d’armes chimiques près de Damas le 21 août était « indéniable ». En Syrie, les experts de l’ONU continuent à recueillir des échantillons sur le site de l’attaque présumée.
Le célèbre musicien malien a annulé à la dernière minute son concert au Festival de musique sacrée de Jérusalem. Il affirme avoir subi des « menaces » de BDS, un groupe propalestinien prônant le boycott d’Israël.
Selon un porte-parole des Nations unies, les experts de l’ONU chargés d’enquêter sur l’éventuel usage d’armes chimiques en Syrie ont été visés, lundi 26 août, par des tireurs embusqués non identifiés près de Damas. Leur mission a été suspendue.
L’opposition syrienne a affirmé, mercredi 21 août, que le régime avait tué 1 300 personnes dans une attaque chimique près de Damas. Jeudi matin, les forces loyales au président Bachar al-Assad maintenaient la pression en reprenant ses bombardements sur les faubourgs de la capitale ciblés la veille.