Révélé par un documentaire australien, le mystérieux suicide en 2010 d’un agent présumé du Mossad placé en isolement total embarrasse au plus haut point les autorités.
Yityish Titi Aynaw, jeune israélienne d’origine éthiopienne, a été couronnée mercredi 27 février Miss Israël 2013. C’est la première fois qu’une jeune femme d’origine africaine remporte ce concours de beauté.
Hier, l’ex-chef de la diplomatie israélienne Tzipi Livni, n’avait pas de mots assez durs envers Netanyahou. Aujourd’hui, elle accepte de devenir sa ministre.
En laissant ouverte la porte des négociations avec Téhéran, la Maison Blanche se donne les moyens de mettre fin à trente-quatre années d’hostilité ininterrompue. Encore faut-il qu’elle change d’approche.
Les témoignages de jeunes femmes malgaches victimes d’abus sexuels et d’esclavage moderne en Arabie saoudite ou au Koweït se multiplient. Le rôle des autorités malgaches dans le scandale reste trouble.
Le journaliste français Nadir Dendoune, en reportage en Irak pour le « Monde diplomatique », a été libéré après 23 jours de détention dans une prison de Bagdad. La justice irakienne lui reprochait d’avoir photographié sans autorisation le quartier général des services du renseignement irakiens.
Au lieu de sceller la volonté de changement affichée par le roi de Jordanie, les élections du 23 janvier sont apparues comme une nouvelle tentative de perpétuer un système arrivé en bout de course.
En quelques mois, l’ex-présentateur vedette de la télévision a fait de son parti la deuxième force politique du pays. Et se retrouve dans le rôle du faiseur de rois.
Après des années de polémique, le ministère israélien de la Santé a reconnu avoir contraint des Éthiopiennes juives à prendre un contraceptif avant de les autoriser à immigrer. Sans les informer des risques.
Avec 31 sièges seulement, contre 42 dans l’Assemblée sortante, le Premier ministre sort affaibli des élections du 22 janvier, marquées par la percée inattendue du laïc Yaïr Lapid, dont le parti est arrivé en deuxième position.
À l’heure ou le statut des juifs orthodoxes fait débat en Israël, bon nombre de citoyens manifestent peu d’empressement à suivre les commandements divins.
De Bahreïn à Tombouctou, en passant par l’Algérie, il est au coeur de l’actualité : le drapeau noir imprimé de caractères blancs est devenu le symbole des salafistes du monde entier. Mais que signifie-t-il ? Décryptage.
En France, les critiques vont bon train contre le Qatar, soupçonné de soutenir les jihadistes au Nord-Mali. Qu’en est-il réellement ? Le point sur ce que l’on sait.
Selon les chiffres publiés mercredi 23 janvier par la commission centrale électorale, les blocs de droite et de centre gauche sont à égalité à l’issue du décompte de 99,5% des bulletins de vote des élections législatives en Israël. En tant que chef de file de la formation la plus importante, M. Netanyahou est le mieux placé, en dépit de sa contre-performance, pour être désigné par le président Shimon Peres pour former le prochain gouvernement.
Plombé par les ennuis judiciaires de son colistier, Avigdor Lieberman, et débordé sur sa droite par Naftali Bennett, le favori des élections législatives du 22 janvier est en perte de vitesse dans les sondages.
Intitulée « 101 œuvres pour la Syrie », une vente aux enchères caritative est organisée par la maison Pierre Bergé & Associés à l’Institut du monde arabe, le 21 janvier. Née de l’initiative de l’association Syriart et de dons d’artistes arabes, elle a pour but d’aider des associations actives en Syrie.
Les États-Unis lui ont refusé son visa, et ses concerts prévus les 10 et 11 janvier à Los Angeles et New York ont été annulés. Une grande déception pour le jeune trompettiste virtuose franco-libanais, qui, avec un quatrième album fort remarqué, prend tout de même le large. Portrait.
Et si l’État d’Israël se retrouvait bientôt entièrement entouré d’un mur ? Benjamin Netanyahou a annoncé, dimanche 6 janvier, qu’une nouvelle clôture allait être construite, le long de la frontière avec la Syrie. L’objectif : protéger l’État hébreu « des incursions et du terrorisme ».
Le président syrien, Bachar al-Assad, a prononcé dimanche son premier discours public en sept mois. Il a affirmé que le conflit en Syrie n’opposait pas son régime à l’opposition, mais le pays à ses ennemis, qui souhaitent selon lui sa partition.
Les bombardements, les combats et les violences n’ont pas connu de trêve en Syrie. La guerre civile se poursuit et les premiers jours de l’année 2013 ont débuté sous le signe des tueries. Le politologue syrien, proche de l’opposition, Salam Kawakibi, revient sur la situation. Interview.
Peu désireuses d’intervenir elles-mêmes, les puissances occidentales pourraient décider de livrer du matériel militaire à la rébellion. Mais elles prendraient alors le risque de rendre impossible une solution négociée.
Déclenché le 14 février 2011 dans le sillage des révolutions arabes, le mouvement de contestation a été réprimé dans le sang. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Reportage.