De nombreux pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU souhaitent mettre un terme à la mission de l’Otan en Libye. Alors qu’elle devait s’achever le 31 octobre, elle pourrait voir ses attributions évoluer à la demande du président du Conseil national de transition (CNT) qui craint une prolifération des armes sur le territoire.
Un responsable militaire du CNT a affirmé que Seif el-Islam proposerait de se rendre à la Cour pénal internationale (CPI). Une information évidemment non confirmée de source indépendante.
Le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, souhaite que les forces de L’Otan restent en Libye « au moins jusqu’à la fin de l’année ». L’organisation transatlantique devrait annoncer sa décision vendredi.
Le Conseil national de transition libyen (CNT) a simultanément annoncé qu’un gouvernement de transition devrait voir le jour « d’ici deux semaines », et qu’une commission d’enquête allait être chargée d’établir les circonstances de la mort de Mouammar Kadhafi. Une mort, dont un combattant du CNT a revendiqué la responsabilité dans une vidéo.
Après la proclamation de la « libération » de la Libye par les autorités de transition libyennes le dimanche 23 octobre, de nombreuses nations ont réagi. Tour d’horizon.
Claire Gabrielle Talon est politologue et journaliste. Auteure de « Al JAzeera. Liberté d’expression et pétromonarchie », elle décrypte les enjeux d’une chaîne controversée pour son rôle dans le Printemps arabe.
L’élection d’une authentique candidate sociale-démocrate, Shelly Yacimovitch, à la tête du Parti travailliste pourrait rééquilibrer le paysage politique. Et préparer l’alternance.
Syrte, le dernier bastion aux mains des pro-Kadhafi est tombé jeudi matin, a affirmé le Conseil national de transition libyen (CNT). Selon Tripoli, le pays peut désormais être considéré comme « totalement » libéré du joug du dictateur déchu Mouammar Kadhafi.
La Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) et la Ligue des droits de l’homme (LDH) ont déposé mercredi une plainte contre X avec constitution de partie civile auprès du Tribunal de grande instance de Paris mettant en cause la société française Amesys, filiale de Bull, pour complicité d’actes de torture en Libye.
Détenu depuis cinq ans à Gaza par le Hamas, mouvement islamiste palestinien, le soldat israélien a été libéré le mardi 18 octobre. Il est arrivé en Israël dans la matinée. 477 prisonniers palestiniens ont été libérés en échange par l’État Hébreu.
Une violente contre-attaque des combattans fidèles à Mouammar Kadhafi les a contraint à reculer de deux kilomètres. Les forces du nouveau régime libyen se sont repliées jusqu’au quartier général de la police de Syrte.
Une opération de ratissage a été lancée par les nouvelles autorités libyennes après les combats meurtriers entre pro et anti Kadhafi dont ont été le théatre plusieurs quartiers de Tripoli vendredi. Des fidèles de l’ancien « guide » libyens qui resistent toujours dans la ville de Syrte, où les combats ont repris samedi.
La capitale libyenne a connu vendredi ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans deux quartiers de la ville. Trois personnes ont été tués et trente blessés.
La capitale libyenne Tripoli a connu ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés fidèles à Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans le quartier d’Abou Slim. Parallèlement, les forces du CNT ont tenté une nouvelle percée à Syrte. Sans grand succès pour l’instant.
À Syrte, les combattants fidèles à Mouammar Kadhafi opposent toujours une féroce résistance aux forces du CNT. Pendant ce temps, l’ex-dirigeant libyen court toujours.
La résistance des fidèles de Mouammar Kadhafi à Syrte a contraint les combattants du CNT à reculer de deux kilomètres. Annoncée mercredi soir, l’arrestation Mootassim Kadhafi, l’un des fils de l’ancien dirigeant libyen en fuite, a quant à elle été démentie par les autorités de Tripoli.
Cachez ce « Saint » que je ne saurais voir ! L’attaquant colombien du Al Nasr FC de Riyad en Arabie Saoudite, Juan Pablo Pino, a été arrêté par les autorités locales le 10 octobre dans un centre commercial de Riyad. La faute du footballeur : s’être promené les bras nus, laissant apparaître aux yeux de tous un tatouage représentant le Christ.
Dans une vidéo diffusée mardi, le nouveau numéro un d’Al-Qaïda, l’Égyptien Ayman al-Zawahiri appelle les Libyens à fonder un régime fondé sur la charia et les Algériens à se révolter à leur tour.
Toujours plus proches de prendre Syrte, les forces du Conseil national de transition libyen (CNT) s’apprêtent à lancer une grande offensive dans l’espoir de faire tomber Bani Walid, l’autre bastion Kadhafiste.
Les combattants des nouvelles autorités libyennes ont pris mardi le contrôle du QG de la police du régime déchu dans le centre de Syrte, et pourraient bientôt annoncer la prise de la ville.
Les pro-CNT poursuivent leur avancée dans la ville natale de Mouammar Kadhafi. Un manque de coordination les a en revanche contraints à se replier à Bani Walid, après avoir essuyé de fortes pertes.
Sur décision du roi Abdallah, le royaume wahhabite a enfin accordé aux femmes le droit de vote et l’éligibilité. Mais la condition féminine laisse encore beaucoup à désirer…
Rentré au pays à l’insu des Américains et de ses hôtes saoudiens, le président yéménite Ali Abdallah Saleh continue de miser sur la stratégie du chaos.
Des sondages sur l’initiative de Mahmoud Abbas et la reconnaissance de l’État palestinien par l’ONU avaient révélé des opinions plus nuancées qu’on ne l’aurait pensé. Et cela des deux côtés, israélien et palestinien.
Bien placé dans la course à la magistrature suprême égyptienne, l’ex-secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, appelle Israël à prendre la mesure du Printemps arabe. Et à en tirer les conséquences.
La troisième « Rencontre des blogueurs arabes » aura lieu à Tunis du 3 au 6 octobre. L’occasion pour eux d’échanger leur expertise pour renforcer les liens qui les unissent et faire avancer la lutte contre les gouvernements répressifs et autoritaires.
Les opinions au sein de la communauté palestinienne sont plus partagées qu’il n’y paraît sur la reconnaissance immédiate d’un État palestinien par les Nations unies. Selon les détracteurs de l’initiative qui doit être présentée le 23 septembre au Conseil de sécurité, celle-ci serait même un vrai danger pour le droit des Palestiniens.