Pas un jour sans qu’Alassane Dramane Ouattara (ADO) s’entretienne au téléphone avec ses plus fidèles soutiens internationaux. Privé de liberté d’action au niveau national, il sait que son destin se joue en partie à l’extérieur.
Héros de la résistance à Israël aux yeux des Arabes, extrémiste infréquentable pour l’Occident, le chef du Hezbollah, contraint de vivre dans la clandestinité pour échapper à un « assassinat ciblé », est devenu l’une des pièces maîtresses de la partie d’échecs qui se joue dans la région.
Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) a été créé par l’ONU en 2007 pour juger les assassins du Premier ministre Rafic Hariri, tué en février 2005. C’est la première fois qu’un tribunal international est chargé d’enquêter sur un assassinat politique qualifié d’« acte terroriste ».
Éclairé et ouvert sur le monde, l’émir du Qatar, Hamad Ibn Khalifa Al Thani nourrit une double ambition qui le distingue de ses pairs de la région : investir pour les générations futures et faire entendre la voix de son pays dans le concert des nations.
Dans Hors Jeu, son dernier film, Jafar Panahi racontait, à la manière d’un documentaire-fiction, les aventures tragicomiques d’une jeune fille de Téhéran passionnée de football.
Les Arabes ont rejeté mercredi toute reprise des négociations israélo-palestiniennes sans une « offre sérieuse » des États-Unis garantissant la fin du conflit, et annoncé leur intention de saisir le Conseil de sécurité de l’ONU sur la colonisation juive.
On ne donnait pas cher des chances du Qatar. Pourtant, c’est au petit émirat que la Fifa a décidé de confier l’organisation du Mondial de 2022, au grand dam des autres candidats. Et de la presse sportive occidentale.
Israéliens et Palestiniens ne doivent pas s’arc-bouter sur la question de la colonisation et « aller de l’avant » pour le bien du processus de paix, a dit jeudi le ministre israélien de la Défense Ehud Barak après une rencontre avec le chef de l’ONU Ban Ki-moon.
La probable inculpation de membres du Hezbollah par le tribunal spécial de l’ONU dans l’enquête sur l’assassinat de Rafic Hariri pourrait plonger le pays du Cèdre dans une crise majeure. Et provoquer une nouvelle escalade avec l’État hébreu, qui se prépare activement à l’éventualité d’un conflit armé.
Une série de télégrammes diplomatiques américains, publiés par WikiLeaks samedi, détaille les discussions menées, à quatre, entre le président burkinabé Blaise Compaoré, les États-Unis, la France et le Maroc sur le sort du président guinéen déchu Moussa Dadis Camara, entre fin 2009 et début 2010. Récit.
La majorité des Subsahariens qui quittent leur pays le font pour un autre pays africain, rappelle l’Ined. Plus largement, depuis 2005, le nombre de personnes venant du Sud et ayant choisi d’émigrer vers un autre pays du Sud (61 millions) a rattrapé le nombre de celles qui se sont dirigées vers le Nord (62 millions).
Initié par le regretté José Saramago, le Parlement des écrivains européens s’est réuni à Istanbul pour débattre de la littérature en Europe et d’un sujet aussi controversé que la liberté d’expression.
Ils ne seront cette année que 18 000 à accomplir leur aliyah en s’installant dans l’État hébreu. On est loin des vagues d’arrivées massives du début des années 1990.
Le site internet WikiLeaks a publié dimanche 250 000 télégrammes diplomatiques américains dont plusieurs grand titres de la presse mondiale rendent compte. Ils dévoilent certains usages secrets et embarrassants du secrétariat d’État américain.
Neuf personnes, dont huit princesses émiraties, ont été inculpées au début de novembre en Belgique pour « traitements inhumains et dégradants ». En cause : des mauvais traitements infligés sur des bonnes marocaines, tunisiennes, érythréennes, chinoises ou philippines…
Israël a-t-il, il y a quelques mois, lancé un « ver » informatique à l’assaut du programme nucléaire iranien ? Peut-être. Quelle est l’ampleur des dégâts ? Personne n’en sait rien. Est-ce l’apparition d’un nouveau type de conflit ? Sans doute, hélas !
Condamné à mort le 26 octobre par la justice irakienne, l’ancien vice-Premier ministre de Saddam Hussein a certes toujours défendu avec brio la politique de son pays, mais il n’avait aucune responsabilité directe dans les décisions prises par l’ancien raïs.