Au-delà des questions de migration, l’accord signé au Caire avec l’Union européenne prévoit 1,8 milliard d’investissements et 400 millions d’aide pour des projets bilatéraux.
L’armée israélienne a annoncé lundi 18 mars mener une opération contre l’hôpital Al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, où se trouvent « des dizaines de milliers » de déplacés, selon le Hamas.
Le président palestinien a choisi l’économiste Mohammad Mustafa pour former un nouveau gouvernement, alors que l’Autorité palestinienne doit préparer l’après-guerre à Gaza.
Face à l’insuffisance de l’aide arrivant par voie terrestre, la communauté internationale cherche à diversifier les voies d’acheminement via des largages aériens, ou encore avec ce projet de corridor maritime.
Les Gazaouis se sont rassemblés le 11 mars pour la première rupture quotidienne du jeûne en ce début de ramadan marqué par la menace d’une famine et les raids aériens.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé Gaza dimanche 10 mars, faisant des dizaines de morts en pleine mobilisation internationale pour envoyer de l’aide à la population civile assiégée et menacée de famine.
Dans son discours sur l’état de l’Union, le président américain a souligné que l’aide « ne peut être une considération secondaire ni une monnaie d’échange ».
La délégation du Hamas a quitté Le Caire où se déroulent les négociations, estimant que « les réponses initiales » fournies par Israël « ne répondent pas à ses exigences ».
Moins connue que la Cour pénale internationale, la Cour internationale de justice a fait les grands titres en se saisissant de questions liées aux crimes commis à Gaza. Quels sont les réels pouvoirs de ces instances ?
Les médiateurs égyptiens, américains et qataris tentent d’arracher un compromis aux deux camps afin d’obtenir un accord de trêve avant le début, le 10 ou 11 mars, du ramadan.
Des négociations ont repris pour obtenir une trêve entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, où les bombardements israéliens meurtriers se poursuivent dans le territoire palestinien menacé de famine.
Un nouveau bilan de 30 000 morts dans la bande de Gaza a été annoncé ce 29 février par le ministre de la Santé du Hamas. Une trêve est toujours en discussion pour le début du ramadan.
L’émir du Qatar est à Paris alors que Benyamin Netanyahou confirme une prochaine opération terrestre à Rafah. À Ramallah, le président palestinien a accepté la démission de son gouvernement.
Ces derniers mois, de nombreux Palestiniens ont critiqué le président de l’Autorité palestinienne pour son « impuissance » face aux raids israéliens dans la bande de Gaza.
Des centaines de personnes, poussées par la faim, fuient le nord de la bande de Gaza assiégée ce dimanche 25 février, alors que le cabinet de guerre israélien a donné son aval à la poursuite des discussions sur une trêve avec le Hamas palestinien selon des médias locaux.
Déradicalisation, démantèlement de l’Unrwa et gestion par des fonctionnaires civils : les objectifs du Premier ministre israélien sont en contradiction totale avec les déclarations de la communauté internationale.
Les médiateurs internationaux continuent de travailler sur une trêve pour la libération des otages, tandis que l’aide humanitaire reste bloquée à la frontière fermée de Rafah.
Recep Tayyip Erdogan au Caire, demande de pause dans les combats pour les uns, exigence d’un cessez-le-feu pour les autres : les discussions se poursuivent, la délégation israélienne a quitté la capitale égyptienne.
L’Afrique du Sud a annoncé le 13 février avoir déposé un nouveau recours auprès de la Cour internationale de Justice (CIJ) afin qu’elle examine en urgence l’annonce par Israël d’une prochaine offensive militaire sur Rafah et s’oppose si nécessaire à « une nouvelle violation des droits ».
Le directeur de la CIA au Qatar et en Égypte, le roi de Jordanie à la Maison-Blanche… La diplomatie internationale tente de retenir le bras du Premier ministre israélien qui s’apprête à frapper Rafah.
Le Hamas a averti dimanche 11 février qu’une offensive militaire israélienne contre Rafah, à l’extrême-sud de la bande de Gaza, menacerait les négociations sur la libération des otages détenus dans le territoire.
Ce 9 février, l’armée israélienne bombarde Rafah, la ville du sud de Gaza où s’entassent plus d’un million de Palestiniens déplacés par la guerre, tandis que son allié américain craint un « désastre » humanitaire.
Avec plus de 27 000 morts annoncés dans les bombardements quotidiens de Tsahal, Gaza paie un lourd tribut au conflit entre le Hamas et Tel-Aviv. Cependant, vouloir « nazifier » Israël et les Juifs à travers des débats enflammés contribue à occulter l’essentiel : la violence contre les populations civiles gazaouies. Et l’impasse politique.
Le secrétaire d’État américain doit discuter du projet de trêve avec les responsables israéliens alors que le Hamas a remis sa réponse sur la proposition élaborée par les médiateurs égyptiens et qataris.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken poursuit sa tournée au Moyen-Orient pour tenter d’imposer une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, qui s’apprête à entrer dans son cinquième mois.
Damas et Bagdad ont dénoncé samedi les frappes américaines nocturnes visant des forces d’élite iraniennes et des groupes pro-iraniens dans les deux pays, en représailles à la mort de trois soldats américains dans une attaque en Jordanie fin janvier.
Le chef du Hamas a confirmé avoir reçu une proposition de trêve. De son côté, Benyamin Netanyahou a affirmé qu’Israël ne « retirerait pas l’armée de la bande de Gaza » et ne libèrerait pas « des milliers de terroristes » palestiniens, en échange d’otages.
Des soldats israéliens sont envoyés vers le Nord du pays, les donateurs de l’Unrwa se réunissent à New York, un nouvel accord de trêve va être envoyé au Hamas.
L’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) est au cœur d’une polémique depuis qu’une dizaine de ses membres sont suspectés d’avoir participé à l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre dernier.