Depuis les législatives de mars, les dirigeants irakiens n’ont pas réussi à dégager une majorité claire. De leur côté, les États-Unis sont enfin déterminés à quitter le pays. Quelles seront, pour les uns et les autres, les conséquences de huit années de guerre ?
Le gouvernement syrien a décidé par decret d’interdire le port du voile intégral dans les universités. Les plaintes des parents relayées par les recteurs ont finalement eu raison du niqab.
La République islamique d’Iran a repris sa traditionnelle réthorique anti-ocidentale et anti-Israël, en accusant les « pays du monde arrogant » d’être à l’origine des attentats qui ont fait 27 morts jeudi dans la province du Sistan-Balouchistan.
Considéré comme progressiste, Mohammad Hussein Fadlallah, décédé le 4 juillet à Beyrouth, était l’une des autorités les plus influentes de l’islam chiite.
Le navire affrété par la Fondation Kadhafi pour briser le blocus de la bande de Gaza est tombé en panne dans la nuit de mardi à mercredi. Sa destination finale (Gaza ou le port égyptien d’Al-Arich) est encore incertaine.
Ancien directeur des relations internationales à la Fifa, Jérôme Champagne qui vient d’être nommé conseiller de l’Autorité palestinienne pour le développement du sport nous fait part de son « optimisme ».
Oubliés, la guerre et son million de morts. Les deux ex-ennemis jurés rêvent désormais d’un destin commun. Sous le regard aussi inquiet qu’impuissant des États-Unis.
Des centaines de femmes malgaches travaillent dans des conditions exécrables au Liban. Certaines reviennent folles, blessées ou mortes. Et les autorités semblent impuissantes.
Un responsable de la fondation Kadhafi, qui a affrêté un nouveau cargo humanitaire à destination de Gaza, a maintenu qu’il se rendrait directement à destination, contrairement à ce qu’avait affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères samedi. Israël multiplie les efforts diplomatiques pour éviter un nouvel arraisonnement en pleine mer.
Israël semble être parvenu samedi, grâce la pression diplomatique, à empêcher une nouvelle tentative de briser par mer le blocus de la bande de Gaza, évitant ainsi de renouveler le fiasco sanglant de la flottille du 31 mai. Le cargo affrêté par la fondation de Seif el-Islam Kadhafi avec des passagers libyens, marocain, algérien et nigérien à son bord, serait en route vers le port égyptien d’Al-Arich.
La fondation dirigée par Seif el-Islam Kadhafi, le fils du « Guide » libyen, a annoncé le départ d’un cargo pour briser le blocus de la bande de Gaza vendredi.
Face à une nouvelle donne géostratégique défavorable, de hauts responsables de l’appareil sécuritaire israélien réclament la reprise des pourparlers avec la Syrie.
Très désireux d’organiser un grand événement sportif, l’émirat a proposé de construire des stades couverts et climatisés pour accueillir les Jeux olympiques de 2020 et une prochaine Coupe du monde.
Soumis à d’intenses pressions internationales, l’État hébreu a mandaté une commission interne pour enquêter sur l’interception sanglante de la flottille humanitaire au large de Gaza. Sans toutefois convaincre.
L’assouplissement du blocus de Gaza annoncé par Israël le 17 juin suffira-t-il à soulager une population durement marquée par quatre ans de privations et de peur ? Rien n’est moins sûr tant les dégâts psychologiques et matériels sont considérables.
Prétextant l’approche d’une nouvelle flottille des côtes de Gaza, le ministre israélien de la Défense a demandé à l’ONU de « suspendre » son projet d’enquête indépendante sur le raid meurtrier contre la « flottille de la paix ».
La probable non-candidature de Hosni Moubarak, vieillissant et malade, à la présidentielle de 2011 repose avec acuité la question de la succession, alors qu’un vent de révolte populaire continue de souffler sur le pays.
L’État hébreu a décidé d’autoriser l’entrée de tous les « biens à usage civil » dans la bande de Gaza, tout en maintenant son blocus maritime pour empêcher l’importation de matériel de guerre dans ce territoire palestinien.
Le 28 mai, trois jours avant qu’un commando israélien lance un raid meurtrier contre le Mavi Marmara au large de Gaza – causant, selon le chef de la diplomatie turque, des « dommages irréparables » aux relations bilatérales –, Hakan Fidan, 42 ans, devenait le patron du MIT, les services secrets turcs.
Depuis le drame de Gaza, les ex-alliés stratégiques sont à couteaux tirés. La rupture est-elle irrémédiable ? Dans cette hypothèse, c’est tout l’équilibre des forces au Moyen-Orient qui s’en trouverait modifié.
Entre centres universitaires et lobbies, les cercles de réflexion se multiplient en Occident. Le Moyen-Orient, et plus encore le Maghreb, accusent un net retard.
Israël a annoncé, dimanche, la création d’une « commission publique indépendante » avec la participation de deux observateurs étrangers, un Britannique et un Canadien. Le groupe enquêtera sur l’arraisonnement israélien d’une flottille pro-palestinienne pour Gaza qui avait fait neuf morts, le 31 mai dernier.
Au cours de sa visite aux États-Unis, le président de l’Autorité palestinienne a fait part de sa vive inquiétude au sujet des négociations avec Israël pour la création d’un État palestinien, à côté d’un État hébreu.