D’après les autorités irakiennes, un Saoudien membre d’Al-Qaïda avait planifié un attentat pendant la Coupe du monde avant son arrestation, il y a deux semaines.
Moussa Dadis Camara : un nom que Global CST voudrait bien oublier. Cette société privée israélienne a étroitement collaboré avec le leader du Conseil national pour le développement et la démocratie (CNDD). Mais, après le massacre du 28 septembre, elle a fait machine arrière. Pour mieux revenir, une fois Sékouba Konaté parvenu aux commandes.
Coauteur de la Déclaration universelle des droits de l’homme, ce grand témoin du XXe siècle, ardent militant de la paix et de la non-violence, a mis tout le poids de son autorité morale au service d’une cause : le droit des Palestiniens à disposer d’un État viable.
Le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, a échoué à ravir la première place du scrutin législatif à son rival laïc Iyad Allaoui, après un nouveau décompte, dimanche, qui a confirmé l’absence de fraudes à Bagdad. La commission électorale maintient ainsi les résultats annoncés il y a six semaines, ouvrant la voie à la formation du prochain gouvernement.
Elle avait interdit à la vente les produits fabriqués dans les colonies juives illégales. L’Autorité palestinienne va plus loin, et interdit à ses ressortissants de travailler dans ces territoires.
Afin d’empêcher toute division future, des organisations de colons juifs se sont engagées dans une lutte sans merci pour le contrôle des quartiers arabes de la Ville sainte. Silwan et Cheikh Jarrah cristallisent tous les enjeux.
L’armée turque, dont certains hauts gradés sont visés par la justice pour des complots présumés contre le gouvernement, n’entend pas se laisser faire. Et le fait savoir… bruyamment.
L’État hébreu reste inflexible malgré la reprise, dimanche, des pourparlers indirects avec l’autorité palestinienne. Un proche du Premier ministre Benyamin Netanyahou a affirmé qu’Israël ne gèlerait pas le projet immobilier de Ramat Shlomo à Jérusalem-Est, démentant un communiqué du département d’Etat américain. Ce sujet, très sensible, avait provoqué une brouille entre le gouvernement Netanyahou et l’administration Obama, en mars dernier.
L’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a approuvé samedi le lancement de pourparlers indirects, dits de « proximité », avec les Israéliens sous l’égide des Etats-Unis afin de relancer le processus de paix bloqué depuis près de 18 mois.
Au cours d’une interview retransmise par la chaîne américaine ABC, le président iranien a fait part d’une hypothèse surprenante sur la localisation du chef d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden. Selon lui, le terroriste le plus recherché du monde se trouverait là où l’on s’y attend le moins : à Washington.
Un Américain de 30 ans d’origine pakistanaise a été arrêté à l’aéroport John-Fitzgerald-Kennedy de New York, à bord d’un avion en partance pour Dubaï. Il serait à l’origine de l’attentat manqué de samedi soir à Times Square, dans la ville de New York.
La loi du talion, version aussi perverse que radicale. Pour se venger des mesures prises par le gouvernement israélien, qu’ils jugent trop favorables aux Palestiniens de la Cisjordanie occupée, des colons juifs ont apparemment pris l’habitude d’incendier des mosquées.
Près de quatre mille juifs européens de gauche ont lancé « JCall », un « appel à la raison » pour la paix au Proche-Orient, lundi à Bruxelles. Ce mouvement se veut le pendant européen du lobby américain JStreet, lui-même une alternative au très conservateur American Israel Public Affairs Committee (AIPAC).
Malgré un rapprochement initié avec Damas en 2009, Washington n’a pas allégé les sanctions économiques contre le régime syrien qui avaient été instaurées par l’ancien président américain, George W. Bush, en 2004.
Sous la pression israélienne, la loi autorisant la justice britannique à délivrer un mandat d’arrêt contre tout étranger accusé de violation des conventions de Genève pourrait être amendée prochainement.
Un magnat de l’immobilier, une chanteuse populaire, un ancien policier et un champion de kick-boxing. Tous sont au centre d’une affaire de meurtre qui défraie la chronique. Hicham Talaat Moustafa, homme d’affaires proche du pouvoir, est accusé d’avoir fait assassiner son ex-maîtresse. Son procès et celui de son complice présumé vient de reprendre au Caire.
Porte-drapeau de la minorité arabe à la Knesset, farouche défenseur du peuple palestinien, le chef du parti Ta’al est un nationaliste engagé. Et l’ennemi juré de la droite israélienne. Portrait.
Mi-avril, l’Iran a organisé un contre-sommet sur le désarmement nucléaire à Téhéran. Le but : convaincre que la République islamique cherche à développer sa maîtrise nucléaire pour un usage exclusivement civil.
Hamas et Fatah ont organisé une manifestation conjointe à Gaza, pour la première fois depuis leur rupture en 2007. Explication : le Hamas a semblé assouplir son discours ces derniers mois. Mais, dans son fief gazaoui, le mouvement islamiste est désormais débordé par des courants encore plus radicaux.
À l’instar du « Terroriste n° 20 », d’Abdullah Thabit, les romans traitant de l’islamisme et des maux de la société saoudienne sont de plus en plus nombreux. Malgré la censure.
Quarante-sept chefs d’État et de gouvernement ont participé au Sommet sur la sécurité nucléaire, à Washington. Le président américain a saisi l’occasion pour aborder en coulisses les questions essentielles : Iran, Moyen-Orient, Afghanistan…
Les deux chefs d’Al-Qaïda en Irak, Abou Omar al-Bagdadi et Abou Ayyoub al-Masri, ont été tués lors d’une opération commune entre forces américaines et irakiennes, selon le Premier ministre irakien.
Lancée à l’initiative de la France en 2008, l’organisation résisterait difficilement au boycott par les pays arabes du sommet des chefs d’État et de gouvernement, le 7 juin.