La Cour internationale de justice (CIJ), saisie par l’Afrique du Sud, a appelé vendredi Israël à empêcher tout acte de « génocide » et à autoriser l’accès humanitaire à Gaza.
Alors qu’une première décision de la CIJ sur l’accusation de génocide à l’encontre d’Israël est attendue aujourd’hui, le chef de la CIA va se rendre en Europe pour y rencontrer ses homologues israélien, égyptien et le Premier ministre qatari.
Les rebelles yéménites, désormais ciblés par les Américains et les Britanniques à la suite de leurs attaques de navires en mer Rouge, sont venus discuter de la « nécessité d’intensifier les efforts pour faire pression » avec le vice-ministre russe des Affaires étrangères.
Ebrahim Raïssi et son homologue Recep Tayyip Erdogan vont tenter d’adopter une position commune sur la guerre entre Israël et le Hamas. Les discussions pourraient être compliquées par les alliances contraires des deux pays, notamment en Syrie et en Azerbaïdjan.
L’OMS déplore une situation « catastrophique et indescriptible » dans les hôpitaux de cette agglomération où se trouvent 88 000 habitants et environ 425 000 personnes déplacées.
Israël aurait proposé au Hamas, via la médiation de l’Égypte et du Qatar, une pause de deux mois dans les combats et les raids à Gaza en échange de la libération de tous les otages, selon un site d’informations américain.
L’armée israélienne bombarde intensément le sud de la bande de Gaza, ce vendredi 19 janvier, sur fond d’un important différend entre Israël et Washington au sujet d’un éventuel État palestinien et d’une régionalisation croissante du conflit jusqu’au large du Yémen.
Le Qatar continue d’œuvrer en coulisses pour soulager les conditions de vie des civils et les conditions de détention des otages. Quant à l’Union européenne, elle a ajouté le chef du Hamas sur sa liste de terroristes.
Durant deux jours, les juristes envoyés par l’Afrique du Sud et Israël ont croisé le fer devant la Cour internationale de justice, afin de déterminer si l’État hébreu se rend coupable de génocide à Gaza. La première étape d’une procédure qui risque de durer des années.
Joe Biden évoque une action « défensive » pour protéger, notamment, le commerce international. Les Houthis disent cibler les navires commerciaux qu’ils soupçonnent d’être liés à Israël, affirmant agir en « solidarité » avec la bande de Gaza.
Pretoria a saisi la Cour internationale de justice pour qu’elle enjoigne à Israël de « suspendre immédiatement ses opérations militaires » dans la bande de Gaza.
Au cours de sa quatrième tournée dans la région, le chef de la diplomatie américaine a discuté avec plusieurs dirigeants prêts à œuvrer pour assurer la « sécurité d’Israël ». Qui ne passera que par « un chemin vers un État palestinien ».
Le parti libanais a confirmé la mort du « commandant Wissam Hassan Tawil » et diffusé plusieurs photos. Il s’agit du plus haut responsable militaire de l’organisation tué au combat depuis le début des affrontements après l’attaque lancée le 7 octobre par le Hamas.
Le secrétaire d’État américain poursuit en Jordanie une intense séquence diplomatique dans la région, appelant à éviter à tout prix un embrasement du conflit entre Israël et le Hamas palestinien, et avec la volonté de « travailler à une paix durable ».
Alors que le mouvement terroriste, qui avait été combattu en Irak et en Syrie par le général Soleimani, a revendiqué l’attentat commis sur sa tombe le 3 janvier, Téhéran affirme ne pas croire à ce scénario et accuse Israël d’avoir téléguidé l’attaque.
Le chef de la diplomatie américaine espère empêcher une expansion de la guerre à Gaza après l’élimination au Liban du numéro deux du Hamas et l’attentat en Iran.
Washington rejette l’idée « absurde » d’une quelconque implication et évoque « une attaque terroriste » du type de celles « que l’État islamique a commises dans le passé ».
L’attaque est survenue alors que le pays célèbre le quatrième anniversaire de la mort du chef de la force Al-Qods, rattachée aux Gardiens de la révolution, tué par une frappe de drone américain en Irak.
Saleh al-Arouri a été tué dans une frappe attribuée à Israël près de Beyrouth, ravivant les craintes d’une extension du conflit entre le Hamas et Israël.
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, génocide… Pour quels faits les responsables israéliens et les cadres du Hamas pourraient-ils être jugés ? Jeune Afrique fait le point.
Nommé prince héritier en octobre 2020, cheikh Mechaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah tient désormais officiellement les rênes du riche émirat qu’il devra sortir de l’impasse politique.
Entre le Conseil de sécurité et l’Égypte, les discussions se multiplient pour arriver à un cessez-le-feu. Sous la menace grandissante d’une extension du conflit.
Tandis que le chef du gouvernement israélien recevait Jake Sullivan, son ministre de la Défense Yoav Gallant a prévenu que la guerre à Gaza « durera plus que quelques mois ».