Le chef de l’opposition iranienne, qui dénonce une gigantesque fraude électorale, a accusé sur son site Internet l’ayatollah Khamenei de soutenir Ahmadinejad et de vouloir saper la République.
Les partisans de Mir Hossein Moussavi ne quittent plus la rue, où les manifestations interdites se multiplient. Ce jeudi, ils se réuniront en hommage aux victimes tuées dans les émeutes. Le régime de Téhéran, lui, continue de réagir par la force, et a accusé l’Occident d’encourager l’opposition.
La colère de l’opposition ne désenfle pas en Iran, où les pro-Moussavi continuent de manifester contre la réélection de Mahmoud Ahmadinejad. Leur leader les a appelés à se rassembler dans le calme.
La coalition pro-occidentale emmenée par Saad Hariri remporte contre toute attente les législatives. Mais le Hezbollah et ses alliés conservent une minorité de blocage.
Ils sont jeunes, radicaux et souvent violents. Contrairement à leurs aînés, qui rechignent à défier l’autorité de l’État, ils sont prêts à tout pour éviter le démantèlement â des implantations illégales. Reportage.
Active dans la rue, où elle organise manifestation sur manifestation, l’opposition iranienne l’est aussi sur Internet, où elle a investi les réseaux sociaux, qui lui permettent de s’organiser mais aussi de diffuser son message à l’étranger.
Le président égyptien, comme ses voisisns arabes, a dénoncé le discours de Benjamin Netanyahu dans lequel il demande de reconnaître l’existence d’un Etat juif. Hosni Moubarak l’accuse de « compliquer les choses ».
La tension continue de monter en Iran, après la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad à la tête de l’Etat. Lundi après-midi, une manifestation de l’opposition devait avoir lieu à Téhéran.
Le 19e Forum économique mondial (WEF) sur l’Afrique, qui se tient de mercredi à vendredi en Afrique du Sud, va tenter de déterminer l’impact de la crise économique mondiale sur le continent habité le plus pauvre et y trouver des réponses sur le long terme.
Maître ès provocations, champion de la posture martiale et de la diatribe enflammée, le président sortant brigue un second mandat lors du scrutin du 12 juin. Il affrontera trois adversaires, qui l’accusent en chœur de compromettre, par son attitude, les intérêts vitaux de la République islamique.
Alors que la bulle immobilière de la cité-État n’a pas fini d’imploser, le royaume wahhabite recueille les fruits de la politique d’austérité menée pendant cinq ans.
À quelques jours de la fin de la campagne électorale pour la présidentielle du 12 juin, un sondage effectué dans les grandes villes iraniennes place le candidat réformateur, Mir Hossein Moussavi, devant le président sortant, Mahmoud Ahmadinejad, avec 38 % d’intentions de vote, contre 34 % à son adversaire conservateur.
Soulignant sa conviction dans la solution à deux Etats, le président américain Barack Obama a déclaré jeudi qu’il était confiant quant aux progrès qui pourront être enregistrés dans le processus de paix israélo-palestinien.
La visite du président français dans les Emirats Arabes Unis a permis de poser les jalons diplomatiques et politiques d’une coopération durable en matière de défense…et de commerce.
C’est en grande partie grâce au pouvoir « cathodique » de la chaîne Al-Jazira que le Qatar est sorti de l’anonymat. Mais au-delà de la célébrité très controversée de la première chaîne arabe d’information en continu, qui a souvent déclenché l’ire de l’administration américaine comme celle des gouvernements arabes, c’est surtout le succès économique du Qatar qui a aiguisé ma curiosité.
Un éditorialiste du Haaretz, Akiva Eldar, juge « délirant » un article récent du nouvel ambassadeur de l’État hébreu à Washington dans lequel celui-ci égrène les menaces existentielles qui pèseraient sur son pays.
Un document, rédigé par dix anciens responsables de l’administration américaine et communiqué à la Maison Blanche, fournit les voies et moyens pour parvenir au plus vite à un règlement du conflit israélo-palestinien. Visiblement, le président s’inspire de cette feuille de route…
Une large majorité d’Israéliens est favorable à une action militaire contre l’Iran. C’est ce que révèle un sondage commandé en commun par l’Anti-Defamation League, une ONG américaine qui défend la communauté juive, et le Centre Begin-Sadate pour les études stratégiques, dépendant de l’université Bar-Ilan, près de Tel-Aviv.
Le Fatah et le Hamas se sont retrouvés en Egypte, pour une nouvelle session de négociations. Ils ne devraient pas aborder le sujet du gouvernemnt d’union, sur lequel ils ne parviennent pas à se mettre d’accord.
L’histoire ressemble à la chronique d’un désastre annoncé. La conférence des Nations unies contre le racisme, dite « Conférence de Durban II », organisée à Genève du 20 au 24 avril, a viré à la foire d’empoigne et s’est achevée sur fond de polémiques et de boycotts.
L’ancien rédacteur en chef de Jeune Afrique, Prix Goncourt en 1993, publie Le Dérèglement du monde. Un essai qui revient sur la crise économique et idéologique que traversent le Nord comme le Sud.
L’insolente prospérité de l’émirat et la notoriété qu’il s’est construite au fil des années en font une destination de plus en plus prisée des Arabes, notamment des Nord-Africains, qui rêvent désormais de Doha et de ses pétrodollars. Mais n’entre plus qui veut. Reportage.
Des camions transportant illégalement des armes vers « Gaza » ont été détruits par des avions militaires étrangers mi-janvier près de la frontière soudano-égyptienne, a annoncé un ministre d’Etat soudanais. Selon la chaîne américaine CBS, l’armée israélienne est responsable de l’attaque. L’Etat hébreu a refuser de confirmer ou infirmer l’information.