Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme accusent l’armée israélienne d’avoir commis des « crimes de guerre » lors de l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Tsahal se voit neproché d’avoir délibérément visé des civils et d’avoir entravé les secours aux blessés. Des enquêtes militaires ont été ouvertes tandis que les associations continuent de recueillir des témoignages.
Israël et le Hamas n’ont pas pu s’entendre sur un accord de libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit. Les deux parties, qui négociaient en Egypte, se renvoient chacun la responsabilité de cet échec.
Le Maroc « rejette vigoureusement les fondements et les commentaires de la réaction des autorités iraniennes » à sa décision de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran, a indiqué le ministère des Affaires étrangères.
L’Iran s’est dit surpris par la décision du Maroc de rompre ses relations diplomatiques à la suite de critiques iraniennes sur la position de Rabat par rapport à un différend diplomatique concernant Bahreïn.
La Syrie, l’Iran et leur allié libanais du Hezbollah ont dénoncé le mandat d’arrêt délivré par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
Pour entamer la détermination du président des États-Unis à promouvoir la paix et à construire des passerelles avec le monde musulman, le probable futur Premier ministre envisage plusieurs stratagèmes.
Le mouvement palestinien Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a vivement critiqué la conférence des donateurs de Charm el-Cheikh (Egypte) pour la reconstruction du territoire, estimant qu’elle avait été l’instrument d’un « chantage » et du renforcement du président Mahmoud Abbas.
Le président iranien, qui achève une tournée en Afrique, a profité de l’étape kényane pour faire la promotion de l’expertise de son pays en matière d’infrastructures.
Les factions palestiniennes, dont le Fatah et le Hamas, se sont fixé au Caire pour objectif un gouvernement d’entente nationale d’ici la fin mars, ont déclaré à l’AFP deux responsables palestiniens à la fin de la conférence de « réconciliation » interpalestinienne.
Le négociateur israélien Ofer Dekel s’est rendu au Caire pour accélérer la libération du soldat Gilad Shalit en échange de détenus palestiniens, a-t-on appris auprès d’une source israélienne.
Les Egyptiens vont devoir renouer à contrecoeur avec Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien qui leur a laissé le plus exécrable souvenir en 30 ans de paix avec Israël.
Amnesty International dénonce les expéditions punitives menées par des membres du mouvement islamiste durant l’opération Plomb durci. Et appelle à la mise en place d’une commission d’enquête.
Trente ans après le retour de l’ayatollah Khomeiny, le régime des mollahs a résisté à l’usure du temps. Mais il ne peut s’offrir le luxe d’ignorer l’attitude plus conciliante de Washington.
L’Egypte devrait annoncer dans les 48 heures un accord de trêve de 18 mois entre le Hamas et Isarël dans la bande de Gaza, a affirmé Moussa Abou Marzouk, numéro 2 du bureau politique du mouvement islamiste palestinien.
La République islamique annonce le lancement et la mise sur orbite de son premier satellite. Et entre dans le club très restreint des pays à vocation spatiale.
À 31 ans, cet avocat français d’origine palestinienne a passé l’année 2008 à Ramallah, en Cisjordanie, où il a travaillé comme conseiller juridique de l’OLP*. Chargé du dossier des réfugiés, il a assisté de l’intérieur à l’intégralité des négociations israélo-palestiniennes qui se sont ouvertes après le sommet d’Annapolis. Il nous livre ici son analyse.