Ce qui frappe dans la capitale syrienne, outre les merveilles architecturales et les manières policées de ses habitants, c’est l’extraordinaire mosaïque de communautés religieuses et ethniques. Et leur bonne intelligence.
La bande de Gaza était toujours ce matin le théâtre d’intenses combats entre forces israéliennes et combattants palestiniens. Cible de violents bombardements, Khan Younès a vu les chars israëliens pénétrer dans son enceinte peu avant l’aube. Alors que l’Etat hébreu continue de rejeter les appels à un arrêt de son offensive, qui a coûté la vie à plus de 560 Palestiniens, la menace d’une crise humanitaire plus grave se fait de plus en plus grande.
Les Nations Unies ont prévenu que les réseaux électriques étaient hors d’usage le 4 janvier dans de larges secteurs de la bande de Gaza et que les hôpitaux ne fonctionnaient plus que grâce à des groupes électrogènes. Les pompes n’étant plus alimentées, 70 pour cent des habitants de Gaza, selon les estimations, sont privés d’eau courante.
Le président français a discuté avec son homologue égyptien Hosni Moubarak des efforts à faire pour réussir à parvenir à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. L’Egypte est la première étape d’une tournée régionale au Proche-Orient, qui le mènera à Jérusalem et à Ramallah.
Dans un éditorial publié par Haaretz, Gideon Levy dénonce la violence aveugle à laquelle conduisent les raids aériens massifs de Tsahal sur la bande de Gaza.
Les explications confuses de Tel-Aviv pour justifier le déluge de feu qui s’est abattu sur Gaza confirment ce qui était une évidence : l’État hébreu préfère vivre par l’épée plutôt que faire les concessions nécessaires à la paix.
Plusieurs dizaines d’étudiants musulmans de l’Université Cheikh ANta Diop de Dakar (UCAD) ont manifesté sur le campus, durant environ deux heures après la prière, contre les raids israéliens sur la ville de Gaza, en Palestine, a constaté APA.