Création d’un État palestinien viable, arrêt total et immédiat de la colonisation, reconnaissance de Jérusalem comme capitale de deux États… Rarement un président étranger « ami d’Israël » a expliqué aussi clairement, qui plus est devant la Knesset, ce
Washington veut conclure avec Bagdad une « alliance stratégique » aux termes de laquelle il garderait une cinquantaine de bases militaires et agirait comme bon lui semble sans avoir à rendre de comptes à quiconque.
En janvier 2013, quatre ans après son (hypothétique) conquête de la Maison Blanche, tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes, explique le candidat républicain. Oui, oui, même en Irak.
Deux fois plus vaste et presque aussi peuplée, la République islamique, malgré sa richesse pétrolière, produit deux fois moins que sa voisine de l’ouest. Explications.
Emmenée par le parti de Hassan Nasrallah, l’opposition a remporté son bras de fer avec le gouvernement. Mais si le spectre de la guerre civile s’est éloigné, les luttes pour le pouvoir sont loin d’être terminées.
Aucun secrétaire d’État américain n’a consacré autant de temps et d’efforts au conflit israélo-palestinien pour aussi peu de résultats. Une impuissance qui en dit long sur la perte d’influence de Washington, notamment sur Tel-Aviv.