Un nouveau traitement préventif pourrait éviter 30 % des cas de paludisme chez les nourrissons en Afrique. Six millions d’enfants pourraient ainsi être épargnés par le fléau.
Réunies dans la capitale mozambicaine pour finaliser les accords du 9 août, les quatre mouvances politiques malgaches ne sont pas parvenues à s’entendre sur la répartition des pouvoirs au sein des futures institutions de la transition.
Le sommet de Maputo sur la crise politique à Madagascar a pris fin dans la nuit de jeudi à vendredi après trois jours d’intenses discussions sans que les quatre dirigeants malgaches trouvent un accord sur les nominations délicates du président de la transition et du Premier ministre.
Les négociations entre les quatre principaux chefs politiques malgaches achoppent sur la répartition des postes-clé du pouvoir. Au Mozambique, la médiation tente de trouver une sortie à la crise qui mine la Grande Ile depuis le coup de force d’Andry Rajoelina.
Les leaders malgaches, tombés d’accord il y a deux semaines sur un cadre de transition, se sont attaqués mardi à Maputo au mode de partage du pouvoir, qui s’annonce difficile, pour sortir Madagascar de la crise politique.
Les leaders malgaches devraient se retrouver les 25 et 26 août au Mozambique pour débattre de la répartition des postes-clés pendant la transition politique à Madagascar, seize jours après la signature d’un accord à Maputo, a-t-on appris mercredi auprès de la médiation internationale.
Les acteurs de la crise malgache, réunis au Mozambique, se sont mis d’accord dans la nuit de samedi sur la « déclaration de Maputo ». Ce texte fixe les règles de la transition.
Les leaders malgaches réunis à Maputo ont décidé de mettre en place un gouvernement de transition qui organisera des élections d’ici à fin 2010, mais ne se sont pas entendus dimanche, au dernier jour de leur « sommet », sur l’attribution des postes, sujet qui devrait être discuté mi-août.
Des pourparlers intermalgaches, auxquels participent pour la première fois l’actuel homme fort de Madagascar, Andry Rajoelina, et Marc Ravalomanana, qu’il a évincé en mars de la présidence, ont débuté mercredi à Maputo.
Le leader de la transition à Madagascar Andry Rajoelina et le président évincé Marc Ravalomanana devaient entrer jeudi dans le vif du sujet pour tenter de régler à Maputo les points d’achoppement à la signature d’une charte de transition, après une première rencontre la veille.
Des poursuites judiciaires visant l’ancien président malgache Didier Ratsiraka ont été annulées jeudi lors d’un sommet sur la crise de la Grande Ile organisé à Maputo (Mozambique). Le cas du chef de l’Etat évincé Marc Ravalomanana, lui, fait toujours débat.
Les acteurs de la crise malgache, réunis à Maputo (Mozambique), se penchent sur une éventuelle aministie du président évincé Marc Ravalomanana. Il a été condamné en juin à quatre ans de prison par un tribunal malgache pour « conflits d’intérêts » dans l’achat d’un avion présidentiel.
Les acteurs de la crise malgache pourraient parvenir samedi à Maputo (Mozambique) à un accord de sortie de crise politique. L’accord concernerait la charte de transition.
Les acteurs de la crise malgache, réunis à Maputo, ont accepté les principes d’une transition politique. Mais plusieurs questions restent à régler concernant la composition de l’équipe qui doit diriger cette transition.
Un sommet réunit mercredi à Maputo (Mozambique) les principaux acteurs de la crise malgache : le président chassé Marc Ravalomanana, le chef du régime de transition Andry Rajoelina, ainsi que les deux ex-chefs d’Etat Didier Ratsiraka et Albert Zafy.
Le Mozambique a inauguré samedi le pont le plus important pour relier le nord et le sud du pays plus de 30 ans après le lancement des travaux qui ont été retardés par une longue guerre civile.
Le Groupe international de contact (GIC) sur Madagascar, dirigé par l’ancien président mozambicain Joaquim Chissano, a obtenu mercredi des protagonistes de la crise la tenue d’une réunion le 5 août prochain à Maputo, pour une solution négociée des problèmes politiques qui frappent la Grande Ile depuis le début de l’année.
L’ex-président mozambicain Joaquim Chissano est arrivé jeudi à Madagascar pour prendre contact avec les acteurs de la crise politique. Le médiateur du conflit, nommé par les dirigeants d’Afrique australe, devrait rencontrer ce vendredi le président de la transition, Andry Rajoelina.
Seuls l’Afrique du Sud, le Botswana, l’Érythrée, Madagascar, Maurice, le Rwanda et les Seychelles peuvent être considérés comme de bons élèves dans la lutte contre le tabagisme.
Le gouvernement mozambicain a annoncé la fin, avant décembre 2009, des travaux de construction du nouveau stade entrant dans le cadre de l’amélioration de ses infrastructures sportives, en perspective de la Coupe du monde 2010 de football, dont le coup d’envoi sera donné dans 500 jours en Afrique du Sud.
Le président du Mozambique, Armando Guebuza, rejoindra ses pairs de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) dans la capitale du Zimbabwe, Harare, pour tenter de dénouer l’impasse politique dans l’Accord de partage du pouvoir entre le gouvernement et l’opposition, a appris APA de sources concordantes.
Une commission d’enquête mise sur pied pour faire la lumière sur la récente évasion de prison, de dangereux criminels au Mozambique, le 7 décembre, a conclu à une négligence policière, a appris APA, sur place.