À la date du 13 avril, 75 personnes étaient mortes des suites de méningite à méningocoques au Niger, une épidémie qui sévit depuis le mois de janvier. Plus de la moitié des décès sont intervenus dans la capitale, Niamey.
Le financement du complexe minier et énergique de Salkadamna, au Niger, d’un coût estimé à plus d’un milliard d’euros, a été bouclé, indique l’entreprise américaine Source California Energy Services, en charge du projet.
Plusieurs centaines de travailleurs d’une des deux mines d’Areva dans le nord du Niger ont repris le travail le 09 avril, après deux jours d’une grève déclarée « illégale » par la justice nigérienne, rapporte l’AFP, citant les représentants des grévistes et du géant français de l’uranium.
Après Conakry et Lomé, c’est au tour de Cotonou et de Niamey d’accueillir les « Bluezones » de Bolloré, premiers jalons d’une offensive pour la promotion des solutions énergétiques décentralisées du groupe français.
Le groupe français Bolloré va investir environ 1 milliard d’euros dans la réalisation de la ligne de chemin de fer reliant Niamey, la capitale du Niger, au port de Cotonou (Bénin) a indiqué l’agence « Reuters ».
Les employés de la mine de la Somaïr, filiale du groupe français Areva au Niger, ont entamé une grève de trois jours pour protester contre le non versement de primes.
Avant ce week-end et la libération réussie de l’otage néerlandais Sjaak Rijke, détenu depuis plus de trois ans par Aqmi au Mali, plusieurs Occidentaux ont perdu la vie en Afrique lors d’opérations de sauvetage ratées menées par les forces spéciales de leurs pays respectifs.
Une nouvelle attaque de Boko Haram dans le sud-est du Niger s’est terminée comme les précédentes, selon un communiqué officiel : par de nombreuses pertes dans les rangs de la secte islamiste.
Citoyens avant tout, ils se sont pourtant imposés comme des acteurs politiques à part entière. Smockey le Burkinabè, Fadel Barro le Sénégalais, Fred Bauma le Congolais… Voici notre galaxie – non-exhaustive – des leaders de la société civile en Afrique francophone.
Dans un communiqué lu jeudi à la télévision nationale, l’armée nigérienne a affirmé avoir tué plus de 200 combattants du groupe islamiste Boko Haram au cours de l’offensive terrestre et aérienne menée depuis dix jours dans le nord-est du Nigeria. Une opération conjointe avec les forces tchadiennes.
Boko Haram n’est plus en mesure de prendre de ville dans le sud-est du Niger, frontalier du Nigeria, car les islamistes nigérians ont été rendus inopérants par deux mois d’opérations militaires, a affirmé samedi Mohamed Bazoum, ministre d’Etat à la présidence nigérienne.
Les armées du Niger et du Tchad ont lancé dimanche une offensive « terrestre et aérienne » d’envergure au Nigeria contre les islamistes de Boko Haram depuis le sud-est du Niger, frontalier, a-t-on appris auprès du gouvernement nigérien.
La grande majorité des salariés de la filiale nigérienne d’Areva ont pris connaissance de la situation délicate de l’entreprise, marquée par d’importantes pertes en 2014. Dans une lettre, signée du directeur général, ils ont également appris leur licenciement.
Des combattants de Boko Haram ont pris d’assaut dimanche soir une île située dans les eaux nigériennes du lac Tchad. Aucun bilan n’était disponible dans l’immédiat, mais des sources locales redoutent un nombre important de noyés.
Votre président a-t-il le baccalauréat ? Un master ? À-t-il étudié l’économie ou le droit ? En France ou en Chine ? Toutes les réponses avec notre jeu interactif.
Plusieurs pays d’Afrique francophone ont adopté un statut officiel de « chef de file de l’opposition ». D’autres ont voté des textes mais attendent toujours la désignation de leur opposant en chef. Mali, Burkina, Guinée, RDC… Voici la place institutionnelle réservée à vos opposants.
Mohamed Bazoum, le ministre nigérien des Affaires étrangères, a été promu mercredi ministre d’État à la présidence. Il est remplacé à la tête de la diplomatie nigérienne par Kané Aïchatou Boulama, jusqu’à présent directrice de cabinet du Premier ministre, Brigi Rafini.
Du Français Dominique Strauss-Kahn au Malaisien Anwar Ibrahim, on ne compte plus les responsables politiques dont les moeurs débridées, ou supposées telles, ont brisé la carrière. Pourquoi, à l’inverse, les frasques des dirigeants africains ne les conduisent-elles (presque) jamais devant les tribunaux ?
Composée des troupes du Cameroun, du Niger, du Nigeria et du Tchad, la force régionale s’est lancée dans la bataille pour enrayer l’avancée de la secte jihadiste Boko Haram. Une course contre la montre est engagée pour détruire un ennemi insaisissable et multiforme.
Le groupe islamiste agit-il en ordre dispersé ou suivant une véritable stratégie militaire ? De batailles en massacres, son organisation se dévoile peu à peu.
Les dirigeants de Boko Haram rêveraient-ils de faire revivre le califat de Sokoto, établi au XIXe siècle et disparu au moment de la colonisation britannique ? Leurs intentions ne sont pas claires.
Le Nigeria doit s’engager « pleinement » dans la lutte contre les islamistes de Boko Haram, qui contrôlent de vastes territoires dans le nord-est du pays, a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius dimanche à Niamey.
Sept soldats nigériens et 14 combattants de Boko Haram sont morts vendredi soir lors de combats survenus dans un village du sud-est du Niger attaqué par le groupe islamiste armé, a-t-on appris samedi auprès de l’armée nigérienne.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, débute samedi une tournée au Tchad et au Cameroun, avant le Niger dimanche, pour affirmer « la solidarité » de Paris envers ses anciennes colonies engagées militairement contre les islamistes de Boko Haram.
Au moins 36 personnes sont mortes mardi à Abadam, une petite ville du Niger frontalière avec le Nigeria, à une dizaine de kilomètre de Bosso, après le largage d’une bombe par un avion non identifié.
Au moins 20 personnes ont été tuées mardi après-midi par la bombe d’un avion « non identifié » tombée sur une cérémonie funéraire à Abadam, un village du sud-est du Niger frontalier avec le Nigeria.
Des milliers de personnes ont manifesté mardi à Niamey contre Boko Haram. Ils réaffirment ainsi leur soutien à l’armée et au président Mahamadou Issoufou, qui a affirmé que son pays serait « le tombeau » des terroristes nigérians.
Plusieurs dizaines de Nigériens soupçonnés d’être liés à Boko Haram ont été arrêtés près de Zinder, dans le sud du Niger, depuis le début des attaques lancées par le groupe islamiste dans le pays, a-t-on appris de source officielle.
Au lendemain des violences anti-« Charlie Hebdo », le gouvernement nigérien accuse l’opposition. Entre les deux, le dialogue est rompu. Et cela risque de durer jusqu’à la présidentielle, en 2016…
Les actions de Boko Haram dans le nord du Nigeria ont jeté plus d’une centaine de milliers de personnes sur les routes. « Jeune Afrique » fait le point sur les réfugiés au Cameroun, au Tchad et au Niger.