Croissance, développement humain et sécurité : le chef de l’État, qui prendra ses fonctions le 7 avril, devra mener de front ces dossiers sensibles. Et savoir bien s’entourer pour y parvenir.
Avec plus des deux tiers des sièges, la coalition présidentielle est sortie victorieuse du scrutin du 31 janvier. L’ancien parti-État devient la deuxième force politique.
Le 14 mars 2011, la Commission électorale nationale indépendante du Niger annonce la victoire de Mahamadou Issoufou au second tour de la présidentielle avec 58 % des suffrages. Une victoire de la démocratie mais aussi de tous les Nigériens.
Des chefs d’État aux grands patrons, les loges rassemblent sous les signes du compas et de l’équerre une bonne partie de l’élite francophone. Revue de détail des « initiés » qui s’assument… et des autres.
L’insurrection en Libye inquiète de plus en plus les pays du Sahel, convaincus qu’une partie de l’armement du colonel Mouammar Kadhafi est désormais entre les mains d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Une situation qui pourrait faire de la région une véritable poudrière.
Au Niger, en attendant l’entrée en production du gisement uranifère d’Imouraren, prévue en 2013, la diversification des partenaires, engagée sous le régime Tandja, porte ses premiers fruits.
La junte s’est attelée à l’assainissement des finances publiques. Et a procédé à des vagues d’interpellations et de poursuites judiciaires sans précédent.
Le premier président de la VIIe République est élu. Et bien élu. Le scrutin a été transparent. Les législatives lui donnent la majorité à l’Assemblée. De quoi, a priori, avoir les coudées franches pour assurer aux Nigériens des lendemains meilleurs.
Mahamadou Issoufou a été élu, le 12 mars, président de la République du Niger, avec près de 58 % des suffrages, après trois tentatives infructueuses, dont la première remonte à 1992.
La Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a levé jeudi la suspension qu’elle avait imposée à la Guinée et au Niger en raison de coups d’Etat militaires, se félicitant dans un communiqué du « retour à l’ordre constitutionnel » dans ces deux pays.
Difficile exercice que celui qui attend le nouveau président nigérien. Il lui faudra ménager les anciens patrons de la junte, tout en prenant soin de ne pas leur donner trop de pouvoir. Une chose est sûre : Salou Djibo, le tombeur de Mamadou Tandja, sera traité avec tous les honneurs.
La rançon astronomique réclamée par Aqmi pour la libération de quatre otages français – 90 millions d’euros – a été refusée par la diplomatie française. D’autant que les djihadistes exigent également la libération de certains de leur frères d’armes.
Après une transition politique réussie qui a entraîné l’élection de Mahamadou Issoufou à la tête du Niger, l’Union européenne se montre plus disposée à soutenir l’action du nouveau président.
Mahamadou Issoufou a été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle nigérienne du 12 mars dernier, avec une avance confortable : 57,95 % des voix.
Le second tour de l’élection présidentielle s’est déroulé sans incident samedi 12 mars au Niger. Mahamadou Issoufou et Seini Oumarou, les deux finalistes, se sont dit optimistes quant au résultat du scrutin qui doit être rendu public ce lundi.
Le second tour de l’élection présidentielle du samedi 12 mars s’est déroulé dans le calme. Le taux de participation tourne autour de 35-38 % et la proclamation des résultats, d’abord annoncée dimanche soir, est attendue lundi.
Le second tour de la présidentielle nigérienne se déroulait samedi 12 mars sans incident notable. Les deux candidats Seini Oumarou et Mahamadou Issoufou se sont même croisés dans un bureau de vote. Dans une ambiance bon enfant.
Un peu plus d’un an après la chute du président nigérien Mamadou Tandja, le Niger est sur le point d’achever sa transition démocratique avec le second tour de l’élection présidentielle opposant Seini Oumarou et Mahamadou Issoufou. Mamane Badamassi Annou, le ministre de l’Économie et des Finances du Niger, revient sur les réalisations de son gouvernement. Interview.
L’un est ambiteux et aime prendre des risques. L’autre est discret et s’est forgé dans l’ombre de l’ancien président Tandja. Mahamadou Issoufou et Seini Oumarou s’affrontent dans les urnes, samedi 12 mars, pour le second tour de la présidentielle.
Le « Guide » Mouammar Kadhafi a réclamé l’appui de Touaregs maliens et nigériens pour contrer la révolte en Libye. Les élus locaux de ces pays craignent une déstabilisation régionale.
La libération de trois des sept otages détenus par Aqmi depuis le mois de sepembre, a été consécutive au paiement d’une rançon, selon une source proche du dossier. Nicolas Sarkozy a remercié les groupes Areva et Vinci-Satom pour leur rôle dans ce dénouement.