Le géant mondial de la protection antivirus AVG vient de révéler les conclusions d’une étude pour le moins insolite, en ce qu’elle place des pays africains parmi les premiers en matière de sécurité informatique
Il a commencé les 11 et 12 août, pour une durée de trente jours et pour 1,5 milliard de musulmans. « Il », c’est le ramadan, ce jeûne qui est l’un des cinq piliers de l’islam. Petit tour du monde des innovations, et anecdotes savoureuses – si l’on peut dire !
Le cinquantenaire des indépendances interpelle aussi les artistes. Pour célébrer l’événement à leur manière, des humoristes d’origine africaine ont proposé à jeuneafrique.com de petits sketches vidéo. Avant de s’exiler en Guinée, la truculente Delphine II s’est fondue dans la peau d’une ancienne expatriée française…
Le 24 août 1958, le général de Gaulle engage à Brazzaville la décolonisation de l’Afrique noire en proposant la création de la Communauté, creuset de l’indépendance des Etats de l’Afrique noire francophone deux ans plus tard.
Sous le vernis de l’homme affable se cache un militaire ferme et intraitable dont la popularité ne se dément pas depuis son arrivée au pouvoir, il y a six mois. Un savant mélange d’arbitraire et d’efficacité.
C’est aujourd’hui que le ramadan commence dans la plupart des pays arabes et/ou musulmans. Certains d’entre eux, effectivement, ne commenceront à observer le jeûne que le lendemain, voire plus tard encore. Explications.
Félix Houphouët-Boigny, le tout premier président de la Côte d’Ivoire, ne voulait pas de l’indépendance. Du moins pas en 1960. Son pays, estimait-il, n’était pas prêt. Cinquante ans plus tard, entre rébellions et replis nationalistes, celle qui fut longtemps la locomotive de l’Afrique de l’Ouest est toujours à la recherche de son identité. Une chose est sûre : les autorités ne souffrent plus aucune immixtion de l’ancienne puissance coloniale et n’hésitent pas à rallumer, à la moindre alerte, la flamme patriotique.
Dans le cadre de l’assainissement des affaires publiques, ordonné par la commission anti-corruption en place au Niger, Seïni Oumarou, un ex-Premier ministre du président déchu Mamadou Tandja, a été inculpé. Il a néanmoins été remis en liberté.
Les autorités françaises rejettent en bloc les accusations du chef d’Aqmi, selon lesquelles des tractations étaient en cours pour libérer Michel Germaneau au moment de l’infructueux raid franco-mauritanien destiné à le faire évacuer.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) affirme que les négociations en vue de la libération de Michel Germaneau étaient « en cours » au moment du raid franco-mauritanien contre l’une de ses bases au Mali, dans la version complète du message diffusé par Al-Jazira le 25 juillet. L’organisation contredit la version du gouvernement français, selon qui l’attaque du 22 juillet était « l’opération de la dernière chance ».
L’ex-président nigérien Mamadou Tandja et son ministre de l’Intérieur Albadé Abouba, détenus depuis le coup d’État du 18 février, ne seront pas « relâchés », a affirmé samedi le chef de la junte, en réponse à l’ancien parti au pouvoir qui a exigé leur « libération immédiate ». Le général Salou Djibo a par ailleurs promis de faire « payer » les auteurs de détournements de fonds publics sous le régime Tandja (1999-2010).
La France veut avant tout « renforcer ses défenses » au Sahel après la mort de l’otage Michel Germaneau, dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l’exécution, indique le ministre des Affaires étrangères Bernard Koucher dans un entretien à paraître samedi dans « Le Parisien ».
Alors que les actions d’Aqmi font régulièrement les gros titres des journaux, la coopération militaire entre les États de la sous-région peine à produire ses effets. Décryptage.
La Cour de justice de la Cedeao a accepté d’examiner une plainte émanant du clan Tandja, qui réclame la remise en liberté de l’ex-président nigérien. Mais cette requête n’est pas du goût du principal intéressé, qui veut à tout prix éviter une action en justice susceptible d’en entraîner d’autres. Explications.
Après la mort de l’otage français Michel Germaneau, le Premier ministre français François Fillon a déclaré que la France était « en guerre » contre Al-Qaïda au Maghreb islamique. Bernard Kouchner, le ministre des Affaires étrangères, a entamé une mini-tournée en Mauritanie, au Mali et au Niger pour réaffirmer son soutien à la lutte contre le terrorisme.
Enquêtes, interpellations, dénonciations… La junte promet de lutter contre la corruption et de tourner la page Mamadou Tandja. Depuis mars, le pays vit au rythme des scandales et des révélations.
Al-Qaïda au Maghreb islamique a annoncé avoir tué l’otage français Michel Germaneau dans un enregistrement diffusé par Al-Jazira dimanche soir. La France dit n’avoir « pas de confirmation » pour le moment.
Les opérations engagées contre Al-Qaïda au Maghreb islamique dans le nord du Mali ont pris fin samedi. À deux jours de la fin de l’ultimatum lancé par le groupe terroriste, les autorités françaises disent n’avoir aucune preuve de vie de l’otage français Michel Germaneau.
Une opération serait en cours au Mali pour obtenir la libération de l’otage français Michel Germaneau, détenu par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). L’inquiétude est particulièrement vive à Paris après une attaque qui a coûté la vie à six combattants du groupe terroriste jeudi.
Une opération de l’armée mauritanienne, soutenue par la France, a été menée contre le groupe d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui détiendrait l’otage français Michel Germaneau. Selon la presse espagnole, il s’agissait d’une tentative pour le libérer.
Pour étendre les surfaces irriguées dans la région de Ségou, l’État a dû faire appel à des investisseurs étrangers. Des milliers d’hectares ont été alloués à la Libye.
Le groupe nucléaire public français Areva espère mettre en service la future mine géante d’uranium d’Imouraren, au nord du Niger, « fin 2013 », a déclaré mardi Sébastien de Montessus, directeur des activités minières du groupe.
Les principaux leaders politiques du Niger, anciens opposants de Mamadou Tandja, ont décidé de faire front commun en s’alliant pour la prochaine élection présidentielle, qui devrait voir le départ du gouvernement militaire de transition.