Le président nigérien Mamadou Tandja a signé mercredi un décret convoquant le corps électoral à un scrutin législatif le 20 octobre pour renouveler le Parlement qu’il a dissous fin mai, a annoncé la radio d’Etat.
Les responsables des sociétés commerciales de l’Etat, les opérateurs économiques et les associations consuméristes du Niger ont ratifié un protocole d’entente pour la stabilisation des prix de certains produits de grande consommation pendant le mois de Ramadan.
Le président nigérien Mamadou Tandja a promulgué mardi la nouvelle Constitution qui prolonge son mandat de trois ans et renforce ses pouvoirs, entraînant de manière automatique la démission de son gouvernement, a annoncé la radio d’Etat.
L’opposition nigérienne a rejeté samedi la décision de la Cour constitutionnelle qui a validé les résultats du référendum très controversé sur une nouvelle Constitution, tout en affichant sa fermeté à combattre « la dictature » du président Mamadou Tandja au Niger.
L’opposition nigérienne a annoncé dimanche plusieurs manifestations la semaine prochaine contre la nouvelle Constitution adoptée lors du référendum très controversé du 4 août.
La Cour constitutionnelle du Niger a validé vendredi le résultat du référendum très controversé qui a permis l’adoption d’une nouvelle Constitution accordant une rallonge de trois ans au président Mamadou Tandja, a annoncé la radio d’Etat.
Le militant des droits de l’Homme nigérien Marou Amadou, interpellé deux fois cette semaine, a été incarcéré dans une prison de haute sécurité à l’ouest de Niamey, a indiqué jeudi un membre de l’organisation qu’il dirige.
Nouvelle Constitution taillée sur mesure, magistrature à sa botte, opposition sans stratégie… Après sa victoire au référendum du 4 août, le chef de l’État nigérien a toutes les cartes en main.
Un activiste nigérien influent, qui a lancé un appel à la mobilisation face à l’adoption très controversée d’une nouvelle Constitution accordant une rallonge de trois ans au président Mamadou Tandja, a été interpellé lundi, a indiqué l’un de ses collègues.
L’opposition nigérienne a déclaré samedi qu’elle ne reconnaissait pas la victoire du « oui » au référendum controversé du président Tandja. Elle entend lutter contre le projet de « dictature » que le chef de l’Etat veut, selon elle, instaurer.
Les Nigériens ont approuvé à 92,50% le référendum constitutionnel controversé du chef de l’Etat Mamadou Tandja. Ces résultats, qui doivent être validés par la Cour constitutionnelle, signifient que le nombre de mandats présidentiels devient illimité.
Selon les premières estimations, portant sur les deux tiers des bulletins de vote, le « oui » devrait très largement l’emporter au référendum organisé par le président nigérien. Il pourra donc modifier la Constitution afin d’être rééligible à la présidence ad vitam aeternam.
Ses divisions et le manque de crédibilité de ses leaders ont largement contribué à faire accepter par une partie de l’opinion l’idée du chef de l’État de prolonger son mandat.
Le taux de participation au référendum controversé du président nigérien est compris entre 40% et 90%. La mobilisation a été plus forte en zone rurale.
Quelque six millions de Nigériens sont appelés à voter mardi lors d’un référendum controversé sur une nouvelle Constitution censée permettre au président Mamadou Tandja de rester au pouvoir après la fin de son mandat en cours.
Des heurts ont éclaté suivi d’arrestations mardi au Niger, en marge du référendum sur une nouvelle Constitution convoqué par le président déterminé à rester au pouvoir malgré des critiques et un boycottage de l’opposition.
Avec un jour d’avance, les forces de sécurité se dirigent vers les urnes pour s’exprimer sur le référendum voulu par le président Tandja. La population doit lui accorder (ou pas) son soutien pour qu’il puisse briguer un nouveau mandat.
Les opposants nigériens ont lancé dimanche un ultime « appel à la mobilisation pour faire échec » au référendum convoqué le 4 août par le président Mamadou Tandja pour rester au pouvoir.
La justice nigérienne a délivré jeudi un mandat d’arrêt international contre l’ancien Premier ministre Hama Amadou, libéré provisoirement fin avril de dix mois de prison pour corruption présumée, a annoncé le porte-parole du gouvernement Mohamed Ben Omar.
La Coordination des forces pour la démocratie et la république a porté plainte vendredi contre la Commission électorale nationale indépendante du Niger. Elle lui reproche de soutenir l’organisation du référendum du président Mamadou Tandja, alors que la Cour constitutionnelle s’est prononcée contre ce sctutin.
La grève générale de 48 heures prévue à partir de jeudi au Niger pour s’opposer au référendum constitutionnel du président Tandja a été décrétée illégale par un tribunal de Niamey, ont annoncé les médias officiels.
Le président du Niger Mamadou Tandja a affirmé mercredi soir qu’il ne cèderait pas à la pression de la communauté internationale qui brandit la menace de sanctions contre son pays s’il organise, comme prévu, un référendum pour rester au pouvoir.
Les opposants au référendum de Mamadou Tandja, qui a pour finalité de modifier la Constitution et lui permettre de briguer un troisième mandat présidentiel, sont appelés à la grève générale. Les syndicats encouragent la population à manifester son désaccord, alors que le président a, lui, affirmé un peu plus tôt que ce référendum découlait d’une volonté populaire…
Le président du Niger Mamadou Tandja a expliqué mardi soir que c’était à la demande du peuple qu’il avait convoqué un réferendum sur une nouvelle Constitution devant lui permettre de rester au pouvoir au-delà de la fin de son mandat.
L’Algérie, la Libye et le Mali vont « mettre en commun » leurs « moyens militaires pour combattre » l’insécurité dans la bande sahélo-saharienne, liée notamment à Al-Qaïda, a déclaré le président malien Amadou Toumani Touré, cité lundi dans la presse malienne.
Pour faire barrage au processus visant à terme la réelection de Mamadou Tandja, l’opposition veut faire annuler le référendum prévu le 4 août et lors duquel la population devrait approuver ou non une révision de la Constitution.
Une manifestation de femmes contestant le projet de référendum constitutionnel du président Mamadou Tandja a été dispersée mercredi par la police. Les marcheuses auraient également été battues.
Les avocats du Niger ont annoncé lundi s’être mis en grève pour 24 heures pour exprimer leur « solidarité » avec la Cour constitutionnelle, dissoute pour s’être opposée au référendum du président Mamadou Tandja décidé à rester au pouvoir.